WASHINGTON, D.C. – Le cinéaste Jason Jones a assisté au spectacle Shen Yun Performing Arts avec ses deux filles au Kennedy Center Opera House dans la soirée du 28 janvier.
« C’était à couper le souffle », a confié M. Jones. « C’était magique et j’étais tellement reconnaissant. Mes filles sont à moitié chinoises, et j’étais si reconnaissant qu’elles puissent être là. »
M. Jones a dit qu’il souhaitait que ses filles aient un lien avec leur héritage chinois.
« Je veux qu’elles voient et soient très fières de tout ce qu’elles sont (…) Je veux qu’elles soient les gardiennes de leur culture. Si nous oublions nos ancêtres, nous oublions notre postérité. »
Basé à New York, Shen Yun a été fondé en 2006 par un groupe d’artistes chinois qui avaient fui le gouvernement communiste oppressif de la Chine. Shen Yun est rapidement devenu la première compagnie de danse classique chinoise et de musique au monde, et sa mission est de faire revivre la culture traditionnelle chinoise et de montrer à son public la beauté de la Chine avant le communisme.
En plus d’être cinéaste, M. Jones est également auteur, activiste et défenseur des droits de l’homme.
Il a partagé sa conviction de l’importance de préserver et de partager la culture traditionnelle.
« Nos histoires, quelle que soit notre culture, nous appartiennent, nous devons donc restaurer ces histoires et les partager. Shen Yun m’a inspiré et m’a donné l’espoir que les histoires soient préservées. Le patrimoine est préservé et partagé ici même, dans notre capitale nationale. »
M. Jones a aussi dit qu’il espérait que la Chine se libère du communisme.
« La Chine existait avant le communisme et la Chine existera après le communisme », a-t-il dit. « Le PCC (Parti communiste chinois) est à bout de souffle et s’effondrera bientôt. »
Selon le site Web de Shen Yun, autrefois, la Chine était appelée la « Terre du Divin », et le peuple chinois croyait que sa culture – profondément enracinée dans les enseignements spirituels du confucianisme, du taoïsme et du bouddhisme – provenait des dieux. Ces croyances ont été abolies lorsque le régime communiste athée est arrivé au pouvoir, et une grande partie de la culture traditionnelle a été détruite pendant la révolution culturelle, que M. Jones a décrite comme « un pesticide sur l’ancienne culture de cette grande civilisation ».
En plus de danses narratives, le programme de Shen Yun comprend des chansons interprétées dans le style bel canto traditionnel. Les paroles d’une chanson condamnent l’athéisme et la théorie de l’évolution et appellent à un retour à la croyance dans le divin.
« J’ai trouvé cela merveilleux, car ce que cela communique vraiment, c’est la dignité et la beauté incomparables de la personne humaine », a expliqué M. Jones.
« Il n’y a rien dans le cosmos de plus merveilleux que la personne humaine, et c’est ce qui a vraiment été communiqué à travers le spectacle. »
Reportage réalisé par Terri Wu et Wandi Zhu
Epoch Times est un partenaire privilégié de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
