PARIS — Des spectateurs de tout l’Hexagone, et parfois même de l’étranger, ont choisi de venir découvrir Shen Yun au Palais des Congrès.
Loïc David est bordelais et chirurgien-dentiste. Il était présent vendredi 17 février au Palais des Congrès. Pour lui, Shen Yun, « c’est une magie extraordinaire ! »
« Cette magie en fait, c’est la coordination, le travail, l’excellence ! Les moments où ils sont fixes et les moments où on a une harmonie dans le geste… C’est incroyable !
Emmanuel Austruy est directeur associé dans un cabinet international de conseil en stratégie. Ce consultant a estimé que « le niveau artistique est très élevé ».
« Les danseurs sont très forts, très aériens, très souples par ailleurs ! Et les grandes manches amènent beaucoup au jeu scénique », a t-il souligné, précisant avoir apprécié les « très beaux costumes, un chant lyrique du chanteur extrêmement poignant également ».
Étienne de Cailleux est chef d’entreprise. Lui aussi a estimé que le niveau des artistes de Shen Yun est « très, très élevé », précisant ainsi : « Ce sont des gens très, très, très, très compétents ! Je suis allé en Russie où j’ai vu aussi des beaux ballets, mais je peux vous dire que là, c’est supérieur ! »
Nombreux sont les spectateurs qui ont été impressionnés par le fond de scène animé interactif avec les danseurs, breveté d’ailleurs aux Etats-Unis.
« J’aime ! j’adore beaucoup ce mouvement limpide entre la scène et l’image qui est derrière… c’est parfait ! » s’est enthousiasmé Loïc David.
« L’harmonie entre le Ciel, la Terre et les hommes »
Emmanuel Austruy établit un lien entre ce fonds de scène numérique et la connexion avec le divin, estimant que cette technologie favorise sur scène, cette volonté d’harmonie entre les hommes, le Ciel et la Terre : « On ressent bien cela, notamment avec l’utilisation du tableau numérique derrière avec les danseurs et les chanteurs… Cela apporte beaucoup au spectacle en fait, cela permet de projeter vers l’art divin ! »
En effet, Shen Yun s’est donné pour mission de faire renaître, entre autres, l’héritage spirituel ancestral chinois. « Autrefois, la Chine était appelée la Terre du Divin, reflétant ainsi la croyance en une glorieuse culture apportée par les dieux », peut-on ainsi lire sur le programme de Shen Yun. « Les gens visaient l’harmonie entre le Ciel, la Terre et les hommes, louaient le divin et respectaient les principes de la nature. »
Loïc David a pu ressentir « cette harmonie », ainsi que « le cœur » des artistes : « Ils ne peuvent pas s’exprimer sans avoir leur cœur sur la scène… Et j’ai adoré tout ça ! »
M. David fait ainsi référence à cette particularité unique que présente la danse classique chinoise. Outre les postures, mouvement et autres techniques de sauts et pirouettes, les danseurs ont aussi la capacité d’exprimer leurs émotions les plus profondes dans la danse classique chinoise, y mettant ainsi tout leur cœur…
Selon M. Austruy, Shen Yun constitue « un retour aux valeurs fondamentales. Que l’homme se tourne vers Dieu également et beaucoup de choses très positives. »
Etienne de Cailleux s’est dit sensible à l’image du divin, présent dans plusieurs tableaux dansés de Shen Yun : « J’ai beaucoup apprécié le côté divin et cette finalité où il y a le Rédempteur qui peut arriver et qui peut nous ouvrir d’autres portes. »
Il a aussi déclaré : « Le monde actuel, il n’est plus dans le divin, il faut qu’il s’en rapproche. Et c’est par des tableaux comme ceux-là, on peut essayer de faire réfléchir les gens qui sont complètement à côté ! »
Reportage par NTDTV et Sarita Modmesaïb.
Epoch Times est un partenaire privilégié de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
