BORDEAUX – Sébastien Couillaud et sa famille ont « passé un très, très bel après-midi » ce dimanche 26 janvier en venant faire l’expérience de Shen Yun à l’Arkea Arena de Bordeaux.
« C’est un spectacle prodigieux ! Magnifique ! Avec beaucoup d’expérience, beaucoup de témérité parce que les tableaux sont somptueux ! » a déclaré ce viticulteur dont le domaine est situé dans l’appellation « petite Champagne » à Bougneau (Charente-Maritime). Depuis cinq générations, la famille Couillaud fabrique du Cognac au sein du village de Montignac.
« Une belle coordination de tous les acteurs, aussi bien la musique que l’orchestration », a poursuivi Sébastien Couillaud.
Son épouse, Emmanuelle, chargée de clientèle en banque, a été sensible à « la synchronisation » existant « entre l’écran et la scène », faisant ainsi référence à la connexion existant entre le fond de scène numérique animé et les danseurs sur scène.
« Le niveau de danse est exceptionnel, a ajouté Mme Couillaud. Une grande souplesse, une force dans les sauts pour les hommes ! C’est un très haut niveau de danse ! »
« La danse est une façon aussi d’exprimer ses libertés »
M. Couillaud a été surpris de savoir que Shen Yun ne peut se produire en Chine. « En Chine, et ce depuis plus de soixante-dix ans, le régime communiste chinois considère la culture traditionnelle chinoise comme une menace à son pouvoir et, même aujourd’hui, ne laisse pas Shen Yun se produire, peut-on lire sur le site de Shen Yun. Certes, d’innombrables spectacles en Chine semblent traditionnels. Mais après des décennies de campagnes politiques visant à éradiquer le patrimoine culturel chinois, ces spectacles ont été vidés de leur essence intrinsèque. »
« Les libertés ne sont pas les mêmes partout dans le monde, c’est certain », a estimé Sébastien Couillaud. « Et la danse est une façon aussi d’exprimer ses libertés, donc c’est un beau message que vous faites passer aussi. »
Shen Yun véhicule, selon le viticulteur, « des valeurs d’humanité, tout simplement. Des valeurs de bien vivre ensemble, tous ensemble, dans un pays le plus harmonieux au monde, sans guerre, sans conflit et dans le respect et la tolérance. »
« Tout pays va chercher dans ses racines »
C’est le lundi 27 janvier que Luc Dalla-Torre a fait l’expérience de « l’harmonie » présente au sein de Shen Yun. « Une belle surprise, une très belle découverte avec des scènes très bien jouées artistiquement. Accompagnés par un orchestre sur place ! »
Ce chef d’entreprise à la retraite est maintenant cogérant avec son fils de leur société de vidéosurveillance.
« J’ai particulièrement aimé la danse tibétaine, qui a été interprétée par les hommes après la danse chinoise interprétée par les dames. J’ai beaucoup aimé ces deux tableaux, mais à travers cela, on voyage dans la Chine, on voyage aussi dans le temps, comme vous avez dit. C’est très bien orchestré ! »
Shen Yun signifie « la beauté des êtres divins qui dansent », suivant ainsi cette croyance ancestrale d’une culture héritée du divin. Les ancien Chinois plaçaient la spiritualité et la foi au cœur de leur quotidien, respectant l’harmonie entre le Ciel, la Terre et les Hommes.
« Ça me parle, parce que tout pays va chercher dans ses racines, ce qui a construit le pays, ce qui le fait avancer aussi », a conclu M. Dalla-Torre.
« La recherche spirituelle, on s’en sent très proche »
Annie-Louise Tenfour et Jean-Michel Bernos ont été « vraiment impressionnés par l’orchestre » de Shen Yun. Cette ancienne cadre supérieur dans l’Éducation nationale a été sensible en premier lieu à la jeunesse des artistes. M. Bernos est un ancien responsable au sein d’une société internationale de matériel pour exploitation minière. Outre l’orchestre qui réussit à combiner les sonorités des instruments de musique orientaux avec un orchestre symphonique occidental classique, Mme Tenfour et M. Bernos ont aussi découvert et apprécié la danse classique chinoise : « C’est fabuleux ! » s’est enthousiasmé M. Bernos.
« J’ai beaucoup aimé le spectacle pour plusieurs raisons. Déjà parce que ce sont des jeunes gens pour la plupart. J’ai surtout aimé l’orchestre. Je pense que le fait que ce soit sous-tendu par cet orchestre, cela a donné vraiment du sens et du panache », a déclaré Mme Tenfour.
Le couple a aussi été heureux de ressentir la connexion au divin qui caractérise Shen Yun. « La recherche spirituelle, on s’en sent très proche. On est chrétiens », a précisé M. Bernos, « donc on a retrouvé des choses sur le plan spirituel qui nous ont parlé ».
« Nous nous attachons dans notre vie de tous les jours à vivre cet esprit-là et donc, à le trouver dans des spectacles c’est quelque chose d’assez original aujourd’hui, et intéressant. »
Pour Mme Tenfour, Shen Yun « est différent. Il y a quelque chose d’autre ».
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
