Paris – Pour sa troisième représentation de sa saison 2019 en France, la compagnie Shen Yun Performing Arts a fait une nouvelle fois salle comble et apporté de chaudes couleurs à l’hiver parisien.
Ce vendredi 18 janvier 2019, les spectateurs se bousculaient encore pour assister, au Palais des Congrès de Paris, à ce que Shen Yun souhaite être la « renaissance de la culture chinoise » – au point que le rideau a dû attendre pendant de longues minutes l’arrivée à leur siège des nombreux spectateurs avant d’enfin s’ouvrir.
Dans la salle, Christian Moaligou, ancien président de plusieurs grandes entreprises publiques et privées. Ce Breton, marathonien, découvrait la compagnie et a eu « une impression ma foi, magique ! Beaucoup de magie, beaucoup de couleurs, beaucoup de mouvements… »
Cette force et cette diversité des couleurs, soigneusement choisies fonction de leur valeur symbolique traditionnelle, est en effet ce qui impressionne en premier lieu les spectateurs découvrant Shen Yun. Monsieur Moaligou confesse lui aussi avoir pour la première fois « fait la découverte de la danse chinoise » et avoir en premier été surpris par « une explosion de couleurs, de vêtements très amples qui permettent d’accentuer les mouvements extrêmement déliés et gracieux de la danse. »
Passée cette première impression, c’est l’ancrage dans une tradition culturelle profondément liée au divin qui marque notre spectateur. La Chine avec ses 5000 ans d’histoire a toujours considéré l’être humain comme lié au ciel et à la terre, et a vu coexister pacifiquement le bouddhisme, le taoïsme et le confucianisme, qui ont modelé sa pensée et son esprit.
Dans un des tableaux intitulé « Destinée », la notion de prédestination est par exemple illustrée au travers de l’histoire d’un jeune couple dont les liens se maintiennent et forcissent malgré tous les obstacles mis entre eux. Christian Moaligou y a vu « une jeune fille et un jeune homme qui se rencontrent par la grâce de Dieu » et une scène qui « touche nécessairement, car nous sommes tous à la recherche d’un amour parfois impossible. »
Au-delà même de l’expression d’un amour persistant, les danses « ont bien traduit cette recherche et cette quête, cette quête de l’amour et de l’intervention divine. » Le spectacle « montre un Dieu, on montre le ciel, le ciel, le paradis… C’est un émerveillement, un émerveillement de tous les instants », conclut-il.
Propos recueillis par NTD Television
Epoch Times considère Shen Yun Performing Arts comme l’un des évènements culturels les plus importants de notre temps et assure la couverture des réactions du public depuis la création de la compagnie en 2006.