PARIS — Philippe Drobinski est directeur de recherche au CNRS, spécialisé dans la météorologie et la climatologie. Ce samedi 18 février, il est venu faire l’expérience de Shen Yun au Palais des Congrès.
« C’est une poésie ! » s’est-il enthousiasmé. « Les performances sont juste incroyables. Les danseurs sont magnifiques et l’histoire est juste incroyable ! »
Pour lui, le niveau artistique des danseurs, « c’est le top de ce qui se fait vraiment. Ce sont des sauts, cela allie à la fois la souplesse des mouvements, puis à côté de cela, des performances athlétiques qui sont juste incroyables. »
« Je trouve que l’originalité, c’est de montrer des scènes qui se déroulent à des époques différentes, dans des endroits différents. J’ai adoré la danse qui se passe au Tibet. Elle était juste incroyable ! »
Jacques Frenehard est chef d’entreprise en Normandie. Les billets de Shen Yun lui ont été offerts par sa fille et son gendre.
« Ils nous avaient dit : Vous allez voir, c’est fabuleux, et c’est vraiment fabuleux ! »
Lucas Étienne est ingénieur en ferroviaire, il était accompagné de Clothilde Gendreau, étudiante en droit.
L’ingénieur a trouvé « le spectacle très, très intéressant », avec « un niveau artistique exceptionnel, exceptionnel ! On a vu beaucoup de choses, beaucoup d’acrobaties, de grands mouvements, de grandes pirouettes et c’est vrai que c’est très impressionnant à voir ! »
L’étudiante, qui « adore la culture chinoise », a rendu hommage au temps de travail d’entraînement des artistes de Shen Yun.
Chacun de ces spectateurs a pu éprouver un ressenti particulier.
« C’était vraiment très bien fait et on s’imagine presque être en Chine il y a 1000 ans ou 2000 ans de cela », a confié Clothilde Gendreau.
M.Drobinsky a su identifier une forme d’harmonie, qu’il explique ainsi : « L’harmonie, elle est véhiculée par la facilité des mouvements, par la performance athlétique, puis la douceur et la grâce. »
M. Frenehard s’est vu submerger par « une forte émotion, puis aussi plein de sentiments mélangés entre ce qui se passe en Chine en ce moment, ce que la compagnie en démontre, ce qu’elle en espère. Cela remue énormément les sentiments internes ! »
Lucas Étienne a été sensible aux principes de Vérité, de Bienveillance et de Patience cultivés par les artistes de Shen Yun dans la discipline de méditation du Falun Dafa. Il les explique ainsi : « Alors moi, j’ai senti la patience dans le sens où, pour le travail qu’ils font, il faut une patience énorme pour pouvoir le réaliser. La bonté dans le sens où on sent qu’ils transmettaient vraiment quelque chose au public et ils aimaient ce qu’ils transmettaient. Et la vérité dans le sens où on sentait que vraiment qu’ils aimaient partager ce qu’ils partageaient. On aurait dit qu’ils vivaient un peu l’aventure qu’ils nous racontaient. Donc on a bien senti les trois symboles. »
« Cela donne une espérance dont on a bien besoin »
Shen Yun signifie « la beauté des êtres divins qui dansent », rendant aussi hommage à cette connexion au divin qui était présente dans le quotidien de chaque Chinois qui croyait en une culture semi-divine.
Étant lui-même croyant, M. Frenehard a éprouvé « un sentiment très fort… un sentiment que la foi correspond à quelque chose, une espérance! Cela donne une espérance dont on a bien besoin, notamment à cause de ce qui se passe en ce moment et pas loin de chez nous. »
« Moi, je suis très croyante », a précisé Mlle Gendreau. « Donc, j’ai tout de suite accroché et j’ai vraiment senti le divin là-dedans. Et d’ailleurs, je vais même acheter des livres pour en apprendre un peu plus sur tout cet impact là, un peu divin. »
Reportage par NTDTV et Sarita Modmesaïb.
Epoch Times est un partenaire privilégié de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
