MONTPELLIER — Du 17 au 21 avril, le Corum de Montpellier a accueilli les sonorités uniques de l’orchestre de Shen Yun accompagnant les danses et les chants contant des histoires de la Chine traditionnelle et contemporaine.
Joël Guichard connaît bien le monde du spectacle et de la musique. Le fils du célèbre chanteur français Daniel Guichard évolue aussi dans ce milieu en tant que directeur de production. Il se trouvait au Corum ce mercredi 19 avril afin de voir Shen Yun.
« Incroyable, indescriptible ! Je pense qu’il faut venir le voir pour se rendre compte de la qualité de l’orchestre et des danseurs. Tout est millimétré. C’est parfait ! », s’est enthousiasmé M. Guichard.
« Je pense qu’ils sont hors catégorie ! Tous les tableaux s’enchaînent très rapidement… On ne voit pas le temps passer. »
Expliquant avoir passé « à travers plein d’émotions », Joël Guichard estime que Shen Yun peut apporter « de la compassion pour autrui. Beaucoup de sérénité, de calme, de partage. Et je pense qu’il faut venir voir le spectacle pour se rendre compte de l’émotion qui est transmise ».
« Ouvrir les yeux des gens sur ce qui se passe peut-être en Chine »
Vendredi 21 avril à 15h, Charles-Henri Cazac, directeur commercial et marketing, était venu assister à l’avant-dernière représentation de Shen Yun à Montpellier pour cette saison.
« Je suis amateur de ballets, d’opéras classiques, a t-il déclaré. Je trouve cela très animé, beaucoup de couleurs, avec un côté un peu féérique, un peu enfantin aussi. C’est agréable parce que cela permet aux parents de venir avec leurs enfants, donc c’est original, ça change des ballets classiques. »
M. Cazac estime que le niveau artistique est « très, très bon », précisant : « On est vraiment face à des professionnels, cela se voit. Donc c’est très agréable, vraiment, très, très agréable ! »
Le directeur commercial a pu ressentir « beaucoup de bienveillance dans ce spectacle ».
Outre les personnages mythiques et historiques, ainsi que les contes narrés dans le spectacle, Shen Yun dévoile une part de la Chine contemporaine, et cela, M. Cazac y a été sensible. « Si je comprend bien, le spectacle est aussi fait pour ouvrir les yeux aux gens sur ce qui se passe peut-être en Chine et qui semblerait-il ne peut pas être dit partout. »
En effet, le spectacle présente à travers deux tableaux dansés, la persécution brutale que subissent depuis 1999, les pratiquants du Falun Dafa, cette discipline de méditation basée sur les principes de Vérité, de Bienveillance et de Patience.
Shen Yun rend hommage à la croyance ancestrale en une culture héritée des divinités. Les anciens Chinois croyaient aussi dans le maintien d’une harmonie entre le Ciel, la Terre et les Hommes.
Charles-Henri Cazac a aussi pu ressentir cette harmonie présente au sein des tableaux de Shen Yun. « Tout est lié et forcément le divin d’en haut qui vient sur la Terre aider. Il y a une cohésion entre tout ça qui est flagrante. Les images derrière sont super bien faites, le montage est très bien fait, vraiment ! Enfin voilà, je ne sais pas si je peux vous en dire plus, mais je suis subjugué. »
« Je me suis vu à travers ces histoires »
Ludovic Bonnafous était aussi présent à Shen Yun pour la toute dernière représentation de Shen Yun à Montpellier, le soir du 21 avril dernier.
Ce viticulteur a été très touché par la magie opérée par le spectacle : « C‘est un spectacle génial, vraiment surprenant, magique, plein d’émotions, vraiment à voir et ne pas hésiter. Vraiment exceptionnel ! »
« Je peux dire que j’ai ressenti quelque chose de très fort, vraiment ! Je me suis senti touché par toute cette injustice et cette façon de voir la vie. Vraiment, cela m’a touché. »
« J’ai des larmes aux yeux, mais j’essaie de profiter au maximum du spectacle et d’apprécier chaque minute », a t-il confié. Et d’ajouter : « Je me suis vu à travers ces histoires… et le combat… et tout ce que cela représentait ! »
« J’ai été touché par la gestuelle, la façon de raconter les histoires, la chanson, la musique aussi ! Tout cela fait qu’on est touché, franchement, vraiment à l’intérieur, cela me fait quelque chose ! »
Pour le viticulteur, il est clair que, « à n’importe quel âge, dans n’importe quel pays, n’importe où… on a cette sensibilité ». « Et je pense que c’est important de trouver cela. Ça rappelle cette chose où, quand on est petit, on voit les choses merveilleuses et ça fait du bien ! », conclut-il.
Reportage par NTDTV et Sarita Modmesaïb.
Epoch Times est un partenaire privilégié de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.