WASHINGTON, D.C. – Dans la soirée du 31 janvier, le sénateur américain Roger Marshall (R-Kan.) et son épouse, Laina, ont assisté au spectacle de Shen Yun Performing Arts au Kennedy Center Opera House.
« C’est la première fois que je vois Shen Yun, c’est l’une des plus belles choses que j’ai vues de ma vie », a déclaré M. Marshall.
« Les costumes, les nuances de jaune, de turquoise et de vert, je n’avais jamais rien vu de tel auparavant. »
Selon son site web, le nom Shen Yun se traduit par « la beauté des êtres divins qui dansent ».
Avant que le Parti communiste chinois ne propage l’athéisme, les Chinois croyaient profondément au divin. Pendant des milliers d’années, leurs valeurs et leurs actions quotidiennes étaient régies par les enseignements du bouddhisme, du taoïsme et du confucianisme.
Les artistes de Shen Yun, basés à New York, se sont donné pour mission de faire revivre, à travers la danse et la musique, cette civilisation chinoise d’inspiration divine et de lui redonner sa gloire d’avant l’arrivée du communisme.
« En fait, 5000 ans d’histoire, je dois admettre que nous n’abordons pas ce genre de choses dans nos cours d’histoire. Je n’avais pas conscience de l’aspect spirituel de l’histoire. Je suis très curieux d’en savoir plus », a confié M. Marshall.
« Je suis tout simplement stupéfait de la beauté. Je suis bouleversé par la beauté du spectacle. »
Il recommande vivement à tout le monde de voir Shen Yun, car bien que son épouse et lui aient assisté à d’autres spectacles à Broadway, celui-ci est différent de tous les autres.
« Je ne suis pas un grand amateur de certains arts, mais ceci est le plus beau genre de danse qui soit que je n’ai jamais vu », a-t-il souligné.
Bien que la compagnie Shen Yun soit acclamée par le public du monde entier, le régime chinois au pouvoir lui interdit actuellement de se produire en Chine. En fait, plusieurs membres fondateurs de la compagnie ont fui en Amérique pour échapper à la persécution par le Parti communiste.
Pour Mme Marshall, Shen Yun transmet un message important sur la spiritualité et sur « la façon dont le communisme a tenté de la supprimer, et comment cela affecte les gens ».
« C’est une belle façon de raconter l’histoire. Je pense que dans n’importe quel pays, l’absence de liberté de religion ou de pouvoir la pratiquer a des répercussions sur l’ensemble du pays », a-t-elle dit.
M. Marshall, qui est également médecin, a été touché par la représentation que Shen Yun a faite des prélèvements forcés d’organes sur les pratiquants par le Parti communiste chinois pour financer le marché noir des greffes du régime.
« En tant que médecin, je suis bien conscient qu’il s’agit d’un commerce. Les pays étrangers gagnent des millions, voire des milliards d’euros avec ces organes. Malheureusement, un grand nombre de ces organes sont censés provenir de Chine et très souvent, je le crains, de prisonniers et de personnes injustement emprisonnées », a-t-il mentionné.
« Cette danse narrative met vraiment les choses en perspective. C’est une histoire vraie et c’est une histoire difficile. »
Reportage de Weiyong Zhu et Jennifer Tseng
Epoch Times est un partenaire privilégié de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
