BORDEAUX – Ce samedi 25 janvier, la capitale girondine a accueilli la première de six séances du spectacle Shen Yun à l’Arkea Arena.
« C’est somptueux ! » a déclaré Guillaume de Champeaux, responsable des approvisionnements pour une chaîne de distribution. « C’est franchement exceptionnel ! »
« Les décors sont splendides ! Puis j’aime beaucoup aussi la philosophie de ce spectacle ! » s’est-il enthousiasmé. En faisant revivre 5000 ans d’histoire et de culture traditionnelle chinoise, Shen Yun place la spiritualité au cœur de ses tableaux dansés et chantés. Les Chinois croyaient que leur culture avait été transmise par les cieux. Aussi respectaient-ils l’harmonie entre le Ciel, la Terre et les Hommes.
Guillaume de Champeaux a été touché par « le message sur le fait que le monde oublie le bon Dieu ! C’est très triste aujourd’hui et je trouve que c’est un signe d’espoir et d’espérance. Je trouve ça beau, très beau ! »
« Les danseurs et les danseuses sont phénoménalement dynamiques, extrêmement souples ! C’est très, très beau ! »
« C’est le bon côté de l’homme »
Le niveau artistique de Shen Yun est « la perfection », estime Olivier Flamant. « C’est extrêmement athlétique ! Je pensais que c’était plus doux que ça, mais c’est très vivant ! » a précisé le cadre commercial.
Shen Yun est, selon Olivier Flamant, « très poétique et à la fois plein d’énergie ! »
Outre les personnages et événements de la culture ancestrale chinoise, Shen Yun expose également la persécution actuelle des pratiquants de la discipline Falun Dafa par le parti communiste chinois. Les pratiquants de cette discipline de méditation basée sur les principes de vérité, de bienveillance et de patience subissent, depuis 1999, emprisonnements, tortures à mort et prélèvements forcés d’organes.
« On sent la bienveillance » a apprécié cet ingénieur commercial. Et d’ajouter : « On sent le côté très humain relié au divin. C’est le bon côté de l’homme ».
En dénonçant les exactions commises par le parti communiste chinois, Shen Yun constitue, selon M. Flamant, un vecteur de « paix ». « Que du bon, que du bien, c’est très bien ! »
« Un voyage » pour se « connecter à l’au-delà »
Jean-Philippe Maté a aussi été sensible au côté « poétique » de Shen Yun. Ce chef d’entreprise dans le digital connecté a été impressionné par les effets spéciaux du fonds de scène animé. « Je trouve que le mariage entre les danseurs et le digital, le numérique, c’est bien. »
L’orchestre de Shen Yun est unique, réussissant à combiner les sonorités d’un orchestre symphonique occidental avec des instruments de musique orientaux. Le dirigeant d’entreprise a été ravi de découvrir du « nouveau dans l’approche, avec des instruments plutôt modernes », ainsi que « des instruments qui font partie du folklore chinois. Le mariage des deux est aussi quelque chose de bien approprié. J’apprécie ! »
M. Maté a été heureux de découvrir la connexion au divin présente au sein de Shen Yun. « On a tendance à oublier ces aspects avec l’au-delà. C’est l’histoire de la Chine, 5000 ans d’histoire ! C’est bien de le mettre en avant ! Le régime communiste a empêché un peu les gens de s’exprimer, [le spectacle] est un moyen de s’exprimer et d’expliquer l’histoire de la Chine. L’histoire de la Chine, c’est lié entre le divin, les humains et l’humanité. C’est bien de le rappeler et de le mettre en musique et en spectacle. C’est une belle chose ! »
En faisant appel à des technologies de pointe afin de conter l’histoire et la culture ancestrale chinoise , Shen Yun constitue, selon ce dirigeant en numérique, « une association du passé et du futur ».
Le spectacle est comparable à « un voyage », permettant de se « connecter à l’au-delà » et « voir quelque chose qu’on ne voit pas tous les jours. C’est un peu ça l’idée. Cela me plaît ! »
« L’art nous connecte avec des choses bien au-delà de l’homme »
Léo-Paul Vaurs a passé « un très bon moment partagé en famille » avec Shen Yun. Cet ingénieur chez Michelin a pu ressentir l’harmonie « d’un niveau artistique très élevé qui mélange la grâce et une grande maîtrise de tous leurs gestes et une très, très bonne harmonie avec la musique ».
La connexion au divin présentée au sein du spectacle constitue pour M. Vaurs une forme d’art qui « nous connecte avec des choses bien au-delà de l’homme et c’est ce que l’on ressent dans ce spectacle ».
Shen Yun est vecteur « d’amour et de beauté » : « C’est la culture chinoise qui nous est offerte et qui est partagée dans le monde entier ! »
« On arrive avec une attente, on repart avec plein de bonnes vibrations et de la positivité » a-t-il confié, ajoutant « si tout le monde s’ouvrait aux autres cultures, on aurait un monde qui serait bien plus harmonieux et bien plus agréable à vivre ! »
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.