LAUSANNE – En ce dimanche de janvier, des spectateurs de toute la Suisse ont assisté à la deuxième représentation de Shen Yun au Théâtre de Beaulieu.
Luca Granieri et Sylvia Bellomo viennent de la province du Valais, en Suisse romande. Lui est entrepreneur en sidérurgie, elle, pharmacienne.
« C’est fantastique ! » s’est exclamé Luca Granieri, « les mouvements sont tellement agréables, tellement naturels qu’on reste vraiment fasciné. »
Tous deux ont trouvé « le spectacle très intéressant » et ont été sensibles aux spécificités de Shen Yun. « Même s’il n’y a pas de paroles, on arrive à comprendre tout ce qu’ils veulent communiquer avec facilité », a noté Luca Granieri.
En effet, si chaque tableau dansé est préalablement expliqué par le couple de présentateurs, en français et en chinois, les danseurs vont évoluer sans besoin de parler, la danse classique chinoise permettant d’exprimer les émotions et les sentiments de chacun.
Mme Bellomo a aussi été touchée par cet aspect si exceptionnel de la danse classique chinoise : « Il y a la danse classique qui exprime la valeur des sentiments, donc c’est génial ! »
Elle a aussi exprimé sa surprise quant aux « effets 3D », faisant ainsi référence au fond de scène animé, affichant de somptueux paysages traditionnels tout en interagissant avec les mouvements des danseurs.
« Dans toutes les histoires, il y a la lumière »
Mais le couple a surtout tenu à exprimer son ressenti quant à la présence du divin, perceptible dans nombre de tableaux dansés et chantés.
Luca Granieri déclare ainsi avoir ressenti à la fois « plusieurs émotions, de joie mais aussi de tristesse… surtout dans l’épisode où la divinité descend pour sauver la situation. C’est ce qui m’a le plus touché ». Il évoque ainsi le tableau d’histoire contemporaine abordant la persécution des pratiquants de Falun Dafa en Chine. Cette pratique de méditation, basée sur les principes d’authenticité, de bienveillance et de tolérance, subit depuis 1999 une brutale répression par le régime chinois. Les pratiquants sont emprisonnés, torturés, assassinés pour leurs organes et font l’objet d’un trafic perpétré par le Parti communiste chinois.
Mme Bellomo confie être en connexion avec le divin : « Je suis un peu comme cela, je sens le divin tous les jours », expliquant qu’elle est sensible au fait que « dans toutes les histoires, il y a la lumière. Même si c’est triste comme dans les histoires de la Chine moderne, pour finir, il y a Dieu qui arrive et donc la lumière qui s’ouvre. »
« Un message d’espoir, pour encourager les gens à croire »
Pour Luca Granieri, Shen Yun constitue « un message très positif, dans le sens qu’il faut apprendre de l’expérience du passé, éviter de faire la guerre, le malheur des autres, et vivre avec la joie et dans la présence de la divinité… »
Mme Bellomo va dans le sens de son compagnon, précisant que Shen Yun est « un message d’espoir, surtout pour encourager les gens à croire », soulignant aussi le caractère exceptionnel de « la danse associée au divin ».
« Cela me transmet la lumière, l’espoir, la joie ! Je conseille vivement de le voir », conclut-elle à propos de Shen Yun.
Propos recueillis par NTD Television.
Epoch Times est un partenaire privilégié de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.