NANTES – Depuis ce mardi 18 février, la capitale de l’ouest accueille le meilleur de la danse et de la musique classique chinoise. La Shen Yun New Era Company fait revivre 5000 ans d’histoire et de culture traditionnelle chinoise à la Cité des Congrès de Nantes.
« C’est un spectacle merveilleux, a déclaré Vincent Josnin. Il nous fait rêver, il nous fait retomber en enfance et les jeux des acteurs sont exceptionnels ! Les danseurs, c’est merveilleux ! »
Cet ancien inspecteur en assurance a apprécié « ce jeu entre l’écran et les acteurs, ça nous porte sur le rêve ! Et c’est très fort, c’est très fort ! » L’orchestre de Shen Yun fut aussi une belle découverte pour M. Josnin, qui a été particulièrement touché par « des percussions extraordinaires, avec une harpiste très sympathique ! »
« Il y avait des moments d’émotion, des moments musicaux d’émotion, des danses qui nous ont fait rêver, qui nous ont portés ! De très belles histoires, très bien cadencées avec ces différents tableaux, avec de très belles choses qui nous ont permis de passer vraiment une merveilleuse soirée ! » s’est enthousiasmé le professionnel en assurances.
Shen Yun « nous touche au plus profond du cœur »
L’ancien inspecteur a rendu hommage à la mission que s’est donnée Shen Yun, faire renaître la très riche culture traditionnelle chinoise de 5000 ans d’histoire, qui, en moins de 100 ans, fut presque détruite par le parti communiste chinois.
« C’est très important, a martelé Vincent Josnin. On est dans une civilisation depuis le XXIᵉ siècle où on détruit tout le passé, que ce soit chez vous, que ce soit chez nous, c’est pareil. Donc quelqu’un a dit : “Si on ne connaît pas son passé, on n’a pas d’avenir. Eh bien, je crois que l’avenir de la Chine passe par ces traditions. »
« Ça reviendra, a-t-il prédit. Obligatoirement ! C’est un petit peu le message final en disant : « Le Sauveur revient ». Je pense que ça passera par ces traditions. C’est vrai pour vous, c’est vrai pour nous aussi ! »
Les anciens Chinois pensaient que leur culture était un héritage du divin et ils plaçaient la spiritualité au cœur de leur vie. À travers les histoires contées dans ces tableaux dansés et chantés, Shen Yun fait aussi revivre cette connexion au divin.
« C’est un lien qui est indispensable, qui est naturel, a souligné M. Josnin, citant « Gustave Thibon, un philosophe français, qui disait : “Le naturel sans le surnaturel n’est pas naturel”. C’est très intéressant comme expression ! »
« Il y a beaucoup de similitudes dans le message, a-t-il ajouté, mais qu’on soit bouddhiste, catholique ou autre religion, je pense en toute âme et conscience que ça nous porte vers le bien, et le bien, c’est l’objectif final. »
Pour M. Josnin, Shen Yun « ne peut que nous rendre aimable ! C’est la finalité de l’art, je pense que ça jette des passerelles entre des hommes et des femmes qui sont ici et qui sont sur Terre. Et je crois que c’est très important ! »
« Jean Rousset avait dit un jour, lors d’une conférence, “le bien reviendra par le beau”. Donc, ce sera par la musique, ce sera par les arts, ce sera par la danse et ce sera par tout le patrimoine chinois, très certainement, parce qu’il est merveilleux, et il nous touche au plus profond du cœur ! »
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
