DIJON — Lundi 3 février 2025, Dijon a entamé, à l’image de 150 villes de par le monde, son voyage musical vers la Chine ancestrale et ses 5000 ans d’histoire et de culture divine.
Pour la première fois, le Zénith de Dijon reçoit la compagnie Shen Yun, qui présente le meilleur de la danse et de la musique classique chinoise.
« Une chorégraphie extraordinaire basée sur des histoires »
Georges Desjardins de Gerauvilliers est le maire du village de Mantoche, blotti entre la Saône et une nature verdoyante, en Franche-Comté.
Mardi 4 février, l’ancien chef d’entreprise en informatique a découvert « une chorégraphie extraordinaire basée sur des histoires ».
« C’est émouvant, c’est très beau ! » s’est enthousiasmé l’édile, qui a souligné la prestation « exceptionnelle des danseurs et danseuses » de Shen Yun. « Les acteurs et les danseurs, plus exactement, sont très pris dans leurs spectacles et vraiment, se donnent à fond. Aujourd’hui, malheureusement, il n’y a plus beaucoup de gens qui se donnent à fond. Et là, on trouve un exemple extraordinaire de performance et de volonté. »
Shen Yun s’est donnée pour mission de faire revivre 5000 ans de culture traditionnelle chinoise inspirée du divin, que le régime communiste chinois athée n’a cessé d’essayer de déraciner au cours de ses 75 ans de règne, notamment lors de la révolution culturelle.
Georges Desjardins estime que cet engagement est « très beau ». « C’est comme les monuments historiques en France, il faut les faire revivre ! Là, c’est la même chose, mais avec des rites, avec des histoires, avec tout ce qui s’est passé autrefois. »
« C’est la pureté, la grâce, la féérie »
Gaëlle Pelletier a parcouru une centaine de kilomètres depuis Mâcon afin de faire l’expérience d’un spectacle « merveilleux ». « C’est féérique, c’est plein de poésie, des danses magnifiques ! »
La vétérinaire a été surprise par les effets spéciaux créés par le fonds de scène animée, « le jeu entre la scène, les danseurs puis l’écran qui mélange vraiment la réalité avec une bande dessinée. »
« La grâce » était, pour Mme Pelletier, au rendez-vous, les danseurs présentant « un niveau d’excellence ». Mais la vétérinaire a surtout été touchée par « la soprano », accompagnée de « la pianiste ».
« Au moment où la soprano a chanté, j’ai eu presque des frissons… J’ai trouvé ça très, très beau. C’est la pureté, la grâce, la féérie ! »
Enchantée par cette expérience, Mme Pelletier confie souhaiter « emmener les enfants » voir Shen Yun.
« Voir autant de générations réunies ce soir »
Anine Pagliarulo est une toute jeune retraitée du ministère des Finances, mais qui s’investit encore pour sa ville, Plombières-lès-Dijon, en tant que conseillère municipale.
« C’était une très belle découverte, s’est émerveillée Mme Pagliarulo, un régal de voir qu’on peut exprimer autant de choses par la gestuelle, par la danse, par la musique, par la voix. »
Mme Pagliarulo s’est dite également touchée par la mission de Shen Yun : « Ils nous ont fait découvrir leur pays à travers tous ces tableaux, à travers toutes ces scènes. On a fait un retour à la Chine antique. »
« C’est très réussi. Il y a plein de messages. On découvre leur vie », a souligné Anine Pagliarulo, précisant avoir identifié « beaucoup de messages célestes ».
« J’ai eu l’impression d’avoir voyagé… Ce n’est pas qu’une impression, d’ailleurs ! » a conclu la conseillère municipale.
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
