PARIS — Ce samedi 2 mars, Shen Yun présentait sa dernière représentation au Palais des Congrès avant d’y revenir en avril prochain.
Pierre Chambrin a été « vraiment séduit par le spectacle ». « C’est splendide ! » a-t-il déclaré. Pour cet éditeur, les artistes de Shen Yun sont de « grand professionnels » qui « prennent plaisir à jouer », véhiculant ainsi une belle énergie.
La Chine d’autrefois était nommée « Empire céleste », car les Chinois croyaient en une culture héritée du divin. Du plus humble paysan jusqu’au prestigieux empereur, tous recherchaient l’harmonie entre les Hommes, le Ciel et la Terre.
Aujourd’hui, en faisant revivre les 5000 ans de culture traditionnelle chinoise, Shen Yun place également la spiritualité — bouddhisme, taoïsme, confucianisme — au cœur de ses histoires dansées et chantées.
M. Chambrin a ainsi pu ressentir cette connexion au divin, laquelle est, pour lui, « intrinsèque à la culture chinoise ». « C’est quelque chose qui est profond et fabuleux en même temps ! » s’est-il enthousiasmé.
L’éditeur explique ainsi qu’à « notre époque où les temps sont en train de changer et que l’homme s’interroge sur sa présence sur terre et son destin futur… On ne peut pas faire l’impasse sur cette question. »
Avec poésie, l’éditeur ajoute que Shen Yun est ainsi porteur d’un « supplément d’âme pour les gens, les spectateurs. » En effet, M. Chambrin a été sensible aux valeurs universelles et fondamentales dans le spectacle, telles que la compassion.
« Cela me fait penser au Christ, a-t-il confié. Je ne peux pas vous dire autrement. Oui, il y a une similitude entre le Christ et le Bouddha qui descend sur Terre, et la compassion devrait être un sentiment partagé par tous. »
Reportage par NTDTV et Sarita Modmesaïb.
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.