PARIS — Philippe et Gwenaël Gayet, tous deux anciens directeurs d’hôpital, ont découvert le spectacle Shen Yun ce vendredi 1er mars 2024.
« Ce spectacle est époustouflant. À voir ! Courez-y ! » a réagi Mme Gayet, très enthousiaste. « C’est très varié. C’est extrêmement joli et cela peut plaire beaucoup à toute la famille, les enfants et les personnes âgées aussi. »
L’ancienne directrice d’hôpital s’est dite « effarée de la technique » affichée par les danseurs de Shen Yun. « On imagine derrière les heures de travail qu’il a fallu. Ce qui frappe le plus, ce sont les couleurs, la beauté du spectacle. Et la coordination… Ce sont de véritables athlètes. En fait, ils ont certainement tellement d’entraînement. C’est une coordination magique ! »
Philippe Gayet a confié avoir ressenti « beaucoup d’émotion, parce qu’il y avait des histoires, des scènes qui sont tout à fait actuelles. » En effet, Shen Yun expose, à travers des tableaux dansés et chantés, la répression brutale que subissent depuis 1999 les pratiquants de la discipline de méditation Falun Dafa, basée sur les principes d’authenticité, de bienveillance et de patience.
Shen Yun signifie « la beauté des êtres divins qui dansent » et rend hommage à une culture héritée du divin, selon les croyances des anciens Chinois.
Philippe Gayet estime qu’il est « très important » de rappeler la connexion au divin, ainsi que le lien entre le Ciel, la Terre et les hommes. « La société se désacralise beaucoup, estime l’ancien directeur d’hôpital, donc c’est intéressant de faire ce rappel ».
Pour Gwenaëlle Gayet, Shen Yun constitue un « appel à la sérénité, à la paix, à l’amour entre les hommes et au respect de la nature. »
Jérôme et Johanna Larramona sont venus de Bordeaux afin d’offrir un cadeau d’anniversaire inoubliable à leurs enfants. « C’était trop court, j’aimerais bien que ça dure un peu plus longtemps », s’est plainte en riant cette directrice d’hôpital, son mari, consultant, renchérissant : « On espérait qu’il y ait toujours un dernier numéro, un dernier numéro, un dernier numéro… mais, les bonnes choses, il faut qu’elles s’arrêtent. »
Certaines histoires contées et dansées étaient « très, très émouvantes », a souligné M. Larramona, évoquant le tableau racontant « la perte d’un être cher, cet être cher reste dans le cœur et part effectivement vers le divin aussi. Donc cela a été très poétique et par moment cela amène à penser, à réfléchir. Donc c’est un spectacle aussi intelligent ».
Jérôme Larramona a pu identifier « un message fort de lutter pour la liberté et de vouloir le bien de l’autre, le bien de chacun et de se raccrocher aux traditions aussi pour pouvoir effectivement mieux rebondir pour le futur. »
Reportage par NTDTV et Sarita Modmesaïb.
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.