TOURS – Jean-Pierre Melon est un ancien commerçant devenu maire de son village, l’Isle-Jourdain, dans la Vienne, à une soixantaine de kilomètres au sud de Poitiers.
Ce mardi 11 février, l’édile a parcouru plus de 300 km afin de vivre l’expérience Shen Yun au Palais des Congrès de Tours. M. Melon s’est dit « époustouflé » par de « très, très beaux tableaux, des danseurs acrobates » et « des musiques superbes ».
« Les artistes sont formidables ! On voit qu’ils ont beaucoup de pratique au niveau de la danse ! Ce sont des acrobates ! C’est vraiment une souplesse incroyable ! Donc, vraiment, une belle école de danse ! » a estimé l’édile.
En présentant au monde la « Chine d’avant le communisme », Shen Yun célèbre sur scène les traditions ancestrales de la Chine et sa culture d’inspiration divine. En effet, pendant des millénaires, la Chine a été connue sous des noms tels que « le pays du divin » et « l’empire céleste ». La civilisation tournait autour du concept d’harmonie entre le ciel, la terre et l’humanité, et la culture était profondément spirituelle.
M. Melon a été touché de découvrir la mission de Shen Yun : « En France, on est très attachés à nos traditions, à notre culture, et je pense que c’est important pour la Chine aussi de nous faire découvrir cette culture ».
Cependant, comme nombre de spectateurs de Shen Yun, l’édile a été surpris du décalage existant entre la Chine contemporaine et la Chine ancestrale présentée à Shen Yun. « C’est un pays communiste et on évoque le Dieu, on évoque les esprits, donc c’est un peu surprenant », a confié le maire de l’Isle-Jourdain, soulignant également : « J’ai compris aussi que ce spectacle ou certains tableaux en tout cas, auraient du mal à être produits en Chine ».
« On est assez bluffé par cette prouesse technique »
Florence et Gérard Barbier sont venus d’Orléans afin de « profiter de moments magnifiques comme celui-ci », s’est enthousiasmé Florence Barbier. Ces anciens agents immobiliers ont d’abord été impressionnés par « la technique » affichée : « C’est incroyable. Les fonds… les danseurs qui disparaissent dans le ciel… Puis le côté sportif de ces danseurs, c’est impressionnant ! »
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« On est assez bluffé par cette prouesse technique », s’est enthousiasmé M. Barbier.
Florence Barbier a « adoré la magie, la poésie des couleurs, toujours en harmonie avec les fonds graphiques. »
Gérard Barbier, confiant pratiquer lui-même le chant, a « beaucoup admiré la soprane ! » « On ne connaît pas tellement la musique chinoise, mais j’ai beaucoup aimé le morceau qu’elle a chanté. »
« Ce qui est super, c’est que c’est sous-titré donc ça ajoute à l’émotion, à la compréhension du texte », a complété son épouse.
Le couple a aussi été touché par la mission de Shen Yun : « Grâce à la compagnie, la Chine ancienne revient ! C’est assez émouvant de se dire que ça se passe à New York. Cette renaissance passe par l’Occident pour l’instant. »
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.