La Première dame Brigitte Macron a assigné devant le tribunal judiciaire de Paris deux femmes ayant propagé sur Internet de fausses nouvelles prétendant qu’elle était une femme transgenre.
Les deux femmes assignées par Brigitte Macron se présentent comme une « médium » et une « journaliste indépendante » qui a été un des principaux relais de cette fausse nouvelle. Elles avaient diffusé sur la chaîne YouTube de la « médium », le 10 décembre, des photos de la Première dame et de sa famille.
Selon M6, les trois enfants de Brigitte Macron ainsi que son frère se sont joints à cette assignation notamment pour des faits d’atteinte à la vie privée, atteinte au droit de la personnalité, violation du droit à l’image.
Depuis plusieurs mois, des messages clament sur les réseaux sociaux que Brigitte Macron, née Trogneux, serait en réalité une femme transgenre dont le prénom de naissance était Jean-Michel.
Cette rumeur s’était propagée sur Twitter et avait été largement relayée sur le réseau social, où elle a fait des milliers de vues.
Une première audience a été fixée au 15 juin devant la 17e chambre du tribunal de Paris. L’action civile au fond de Brigitte Macron s’appuie sur le fondement des dispositions du code civil relatives à la vie privée, a indiqué cette source.
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