Les enfants, comme le savent tous les parents, ne sont pas de petits adultes. Leur cerveau se développe et est profondément façonné par leur environnement et leurs expériences. Les compétences sociales et les valeurs sont transmises par les personnes qui les entourent, le travail d’équipe, la gestion des risques, les limites personnelles et la tolérance sont appris en jouant avec d’autres enfants. Leur système immunitaire intègre le contact avec l’environnement dans un ensemble de réponses qui façonneront leur santé plus tard dans la vie. Leur corps se développe et ils acquièrent des compétences physiques. Ils apprennent à la fois la confiance et la méfiance en interagissant avec les adultes.
Cette croissance physique et psychologique rapide rend les enfants très vulnérables. Le retrait de contacts étroits avec des adultes de confiance et l’éloignement forcé ont des effets émotionnels et physiques importants, comme chez d’autres primates. Le manque d’expérience les rend également vulnérables face à la manipulation par des adultes qui prônent certaines attitudes ou croyances, ce que l’on appelle souvent le « pédopiégeage ». Pour ces raisons, nos ancêtres ont mis en place des protections spécifiques et des normes de comportement qui placent les besoins des enfants au-dessus de ceux des adultes.
Cependant, protéger les enfants ne signifie pas les enfermer dans une cellule capitonnée – les responsables politiques savent que cette pratique est préjudiciable au développement psychologique et physique. Il s’agit de permettre aux enfants d’explorer leur environnement et la société, tout en prenant des mesures pour les protéger contre la malveillance, notamment de ceux qui leur feraient du mal directement ou par ignorance ou négligence.
Le fait de faire courir des risques à des enfants pour le bénéfice supposé des adultes est donc jugé comme un crime des plus graves, comme l’utilisation la plus lâche des « boucliers humains ».
L’article 3 de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant place les enfants au centre du processus décisionnel public :
« Dans toutes les actions concernant les enfants, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale. »
Lorsque nous sommes complices d’actes reconnus comme répréhensibles, nous cherchons naturellement le moyen d’éviter de reconnaître notre part de responsabilité ou de justifier nos actes en invoquant le « bien commun ». Mais se mentir à soi-même n’est pas un bon moyen de corriger un tort. Comme nous l’avons vu dans d’autres cas de maltraitance institutionnelle des enfants, le mensonge permet à la maltraitance de s’envenimer et de s’étendre. Il favorise les intérêts et la sécurité des auteurs au détriment de ceux des victimes.
COVID, un moyen de cibler les enfants
Au début de l’année 2020, une épidémie virale a été signalée à Wuhan, en Chine. Il est rapidement apparu que ce coronavirus relativement nouveau ciblait principalement les malades et les personnes âgées, en particulier celles qui suivaient un régime alimentaire occidental malsain. L’incident du Diamond Princess a toutefois montré que, même parmi les personnes âgées, une grande majorité survivrait à la maladie (Covid-19), et que beaucoup ne tomberaient même pas malades.
En réaction, les institutions de santé publique, les hommes politiques et les médias occidentaux se sont tournés vers les enfants. La société a mis en œuvre des politiques inédites, une approche globale de la société qui allait accroître la pauvreté et les inégalités, notamment pour les personnes à faible revenu, et perturber le développement des enfants. La société a imposé des restrictions aux jeux, à l’éducation et à la communication des enfants et a eu recours à la manipulation psychologique pour les convaincre qu’ils représentaient une menace pour leurs parents, leurs enseignants et leurs grands-parents. Des politiques telles que l’isolement et la restriction des déplacements, normalement appliquées aux criminels, ont été appliquées à des populations entières.
La nouvelle réponse de santé publique a été conçue par un groupe restreint mais influent de personnes très riches, souvent appelées philanthropes, et par des institutions internationales qu’ils ont financées et cooptées au cours de la dernière décennie. Ces mêmes personnes se sont ensuite considérablement enrichies grâce à la réponse qui en a découlé. Encouragés par ces mêmes personnes, aujourd’hui encore plus riches, les gouvernements s’efforcent à présent d’ancrer ces réponses pour construire un monde plus pauvre, moins libre et plus inégalitaire dans lequel tous les enfants grandiront.
Bien que rarement évoquées dans les espaces publics, les stratégies prenant pour cible et sacrifiant les enfants pour la gratification des adultes ne sont pas nouvelles. Cependant, cette pratique suscite généralement le dégoût. Nous comprenons mieux aujourd’hui, pour en avoir fait partie, comment de telles actions peuvent s’insinuer dans une société et devenir partie intégrante de son caractère. Les gens trouvent facile de condamner le passé tout en excusant le présent ; de demander des réparations pour l’esclavage passé tout en préconisant des piles moins chères produites grâce à l’esclavage des enfants d’aujourd’hui, ou de condamner la maltraitance des enfants institutionnalisée dans le passé tout en l’excusant lorsqu’elle se produit au sein de leurs propres institutions. Dietrich Bonhoeffer ne nous demandait pas de regarder vers le passé, mais vers le présent. La société la plus mûre est celle qui sait se regarder en face, calmement et les yeux ouverts.
L’abandon des preuves
Les virus respiratoires aérosolisés, tels que les coronavirus, se propagent sous forme de minuscules particules en suspension dans l’air sur de longues distances et ne sont pas interrompus par des revêtements de visage en tissu ou des masques chirurgicaux. Ce fait est établi depuis longtemps et a été confirmé une nouvelle fois par le CDC américain dans une méta-analyse des études sur la grippe publiée en mai 2020.
Le virus du SRAS-CoV-2 s’est montré quelque peu inhabituel (mais pas unique) dans la mesure où il a ciblé un récepteur cellulaire de la muqueuse des voies respiratoires, les récepteurs ACE-2, pour pénétrer dans les cellules et les infecter. Ces récepteurs sont moins présents chez les enfants, ce qui signifie que les enfants sont moins susceptibles d’être gravement infectés ou de transmettre d’importantes charges virales aux autres. Cela explique les résultats des études menées au début de l’épidémie de Covid-19, qui ont montré une très faible transmission des enfants aux enseignants et un risque inférieur à la moyenne pour les adultes vivant avec des enfants. La Suède, suivant les anciennes recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) fondées sur des données probantes, a donc maintenu les écoles ouvertes sans que cela n’ait eu d’effets néfastes sur la santé.
Forts de cette connaissance, nous (en tant que société) avons fermé les écoles et forcé les enfants à se couvrir le visage, réduisant ainsi leur potentiel éducatif et entravant leur développement. Sachant que les fermetures des écoles affecteraient de manière disproportionnée les enfants à faible revenu ayant un accès plus difficile aux ordinateurs et aux environnements d’étude à domicile, nous avons veillé à ce que les enfants des riches augmentent leur avantage pour la génération suivante. Dans les pays à faible revenu, ces fermetures d’écoles ont fonctionné comme prévu, augmentant le travail des enfants et condamnant jusqu’à 10 millions de petites filles supplémentaires au mariage et au viol nocturne.
Abus d’enfants à domicile
Pour beaucoup de ces enfants, l’école est la seule zone de stabilité et de sécurité dans leur vie. Elle assure un accompagnement psychologique et pédagogique vital qui permet d’identifier et de soutenir les enfants en difficulté. Lorsque les élèves ne sont pas scolarisés, les plus vulnérables sont les plus touchés, les enseignants ne peuvent pas détecter les signes précurseurs de maltraitance ou de négligence, et les enfants n’ont personne à qui en parler. Pour les enfants qui ont des besoins particuliers, l’accès essentiel à un soutien pluri-institutionnel est souvent interrompu.
Le sport et les activités extrascolaires sont importants dans la vie des enfants. Des événements tels que les pièces de théâtre, les voyages scolaires, les chorales, le premier et le dernier jour d’école jalonnent leur vie et sont essentiels à leur développement social. Les amitiés sont indispensables à leur développement émotionnel, en particulier pendant les phases de croissance cruciales – l’enfance, l’adolescence et le début de l’âge adulte – et notamment en cas de vulnérabilité ou de besoins particuliers, les enfants doivent pouvoir compter sur leur famille, leurs amis, les services et l’aide dont ils ont besoin.
Le résultat de cette négligence, comme le souligne une récente étude menée par l’UCL sur les conséquences des restrictions imposées par le gouvernement britannique aux enfants en 2020-2022, n’est rien de moins qu’un désastre :
« L’impact de la pandémie aura des conséquences néfastes sur les enfants et les jeunes à court et à long terme, dont beaucoup ne sont pas encore visibles, et aura des conséquences permanentes sur leur avenir en termes de trajectoires de vie professionnelle, de modes de vie sains, de bien-être mental, d’opportunités éducatives, de confiance en soi et bien plus encore. »
Comme l’indique l’étude :
« Les enfants ont été oubliés par les décideurs politiques lors des confinements Covid. »
Les nourrissons, les enfants et les adolescents ont été soumis à de nombreux confinements au cours de leurs années les plus formatrices, bien que leur nombre ne représente qu’une proportion minime des hospitalisations et des décès imputables au Covid. L’étude de l’UCL a montré que les hommes politiques n’ont pas considéré les enfants et les adolescents comme un « groupe prioritaire » lors de l’application des mesures de confinement en Angleterre. Les enfants nés dans le cadre des restrictions Covid présentent des retards marqués dans le développement de leur cerveau et de leur pensée.
L’éducation est dispensée aux enfants car elle favorise leur développement éducatif et psychologique, leur offre un environnement sûr et protecteur et constitue un moyen d’améliorer l’égalité. Il fallait donc s’attendre à ce que la fermeture des écoles entraîne des retards dans le développement des très jeunes enfants, une baisse du niveau scolaire pour tous les groupes d’âge, des problèmes de santé mentale et une recrudescence des mauvais traitements.
Au Royaume-Uni, 840 millions de jours d’école ont été perdus pour la promotion 2021, et près de deux millions d’élèves sur les neuf millions que compte l’Angleterre ne fréquentent toujours pas régulièrement l’école. Dès novembre 2020, l’Ofsted, l’organisme qui inspecte et rend compte des établissements scolaires en Angleterre, a signalé qu’une majorité d’enfants régressaient sur le plan éducatif. Des régressions ont été observées dans les domaines de la communication, du développement physique et de l’autonomie. Ces effets sont observés partout en Europe et devraient durer toute une vie. Malgré cela, les politiques se poursuivent.
Aux États-Unis, les fermetures d’écoles ont affecté environ 24,2 millions d’écoliers américains absents de l’école (1,6 milliard dans le monde) et la détérioration du système éducatif y est particulièrement évidente. Selon les dernières évaluations du National Assessment of Education Progress (NAEP), les écoliers ont pris près d’un an de retard dans leurs apprentissages. Près d’un tiers des élèves n’ont pas atteint le niveau le plus bas en lecture, et les mathématiques ont enregistré le déclin le plus marqué de l’histoire. Comme les élèves les plus pauvres ont moins accès à l’internet et à l’apprentissage à distance, les fermetures d’écoles ne font qu’accentuer les inégalités raciales et ethniques.
Lorsque les écoles ont rouvert leurs portes au Royaume-Uni, un ensemble de règles préjudiciables et restrictives ont été introduites : port de masques, tests, bulles, restrictions dans les cours de récréation, horaires fixes, etc. Les enfants du post-primaire passaient toute la journée dans la même pièce, masqués pendant neuf heures par jour s’ils utilisaient les transports publics pour se rendre à l’école. L’isolement et la mise en quarantaine entraînaient des absences répétées. Des enseignants formés pour savoir que cette approche était néfaste ont continué à la mettre en œuvre.
Le récent rapport de l’Ofsted du printemps 2022 a mis en évidence les effets néfastes que les restrictions ont eu sur le développement des jeunes enfants et aurait dû suffire à tirer la sonnette d’alarme, comme il l’a indiqué :
• Retards dans le développement physique des bébés
• Une génération de bébés qui peinent à ramper et à communiquer
• Des bébés qui tardent à apprendre à marcher
• Retards de la parole et du langage (en partie imputables à l’imposition de masques).
Cette dernière a également été notée par des professionnels tels que le chef de l’unité d’orthophonie d’Irlande du Nord :
« Un nombre croissant de jeunes enfants rencontrent d’importants problèmes de communication consécutifs aux confinements et certains d’entre eux ne peuvent pas parler du tout, grognent ou montrent du doigt ce qu’ils veulent et ne savent pas comment s’adresser aux autres enfants. »
Une étude menée par des chercheurs irlandais a révélé que les bébés nés entre mars et mai 2020, lorsque l’Irlande a été confinée, étaient moins susceptibles de prononcer au moins un mot correct, de pointer du doigt ou de faire un signe d’au revoir à l’âge de 12 mois. Une autre étude publiée dans Nature a établi que les enfants âgés de 3 mois à 3 ans obtenaient des résultats inférieurs de près de deux écarts-types dans une mesure indirecte du développement similaire au QI. Étant donné que 90% du développement du cerveau a lieu au cours des cinq premières années de la vie, cette situation peut être qualifiée de dramatique. De nombreux enfants de cette tranche d’âge commencent l’école avec beaucoup de retard, mordent et frappent, sont dépassés par les grands groupes et sont incapables de s’adapter et d’apprendre avec les compétences sociales et éducatives d’un enfant de deux ans plus jeune.
Du point de vue de la santé mentale, notre société s’est attaquée à la santé mentale des enfants, en appliquant des politiques que nous savions néfastes et même conçues pour attiser la peur – une forme directe de maltraitance. Les enfants étaient enfermés dans leur chambre, isolés de leurs amis, on leur disait qu’ils étaient un danger pour les autres et que s’ils ne respectaient pas les règles, ils risquaient de tuer leur grand-mère. Un programme de peur leur a été imposé.
Au Royaume-Uni, un million d’enfants attendent un soutien en matière de santé mentale, tandis que plus de 400.000 enfants et jeunes sont traités chaque mois pour des problèmes de santé mentale, un chiffre record. Plus d’un tiers des jeunes disent avoir l’impression que leur vie échappe à tout contrôle, et plus de 60% des 16-25 ans se disent inquiets pour l’avenir de leur génération, 80% des jeunes faisant état d’une détérioration de leur bien-être émotionnel.
Dès l’automne 2020, l’Ofsted britannique avait identifié :
• 42% d’automutilation et de troubles de l’alimentation
• Une « explosion » d’enfants souffrant de troubles tic invalidants
• Un nombre record d’enfants se voient prescrire des antidépresseurs
• Une augmentation de l’automutilation
Par ailleurs, il y a eu cinq fois plus d’enfants et de jeunes qui se sont suicidés que de morts du Covid-19 dans cette même tranche de la population au cours de la première année de pandémie au Royaume-Uni. Aux États-Unis, le CDC a indiqué que le nombre de visites aux urgences était 50,6% plus élevé chez les filles âgées de 12 à 17 ans à la suite d’une tentative de suicide. Depuis le début de l’année 2020, on sait que les enfants sont très peu touchés par le virus, qu’ils ont 99,9987% de chances de survie et qu’ils ne représentent pas un danger pour les autres.
Abuser d’enfants éloignés
Les chiffres n’étant pas des personnes, lorsque nous parlons d’enfants morts ou blessés en grand nombre, il peut être difficile de comprendre l’impact réel. Ainsi, nous pouvons minimiser cet impact. Cependant, l’UNICEF nous apprend que près d’un quart de million d’enfants ont été tués en 2020 à cause des confinements, rien qu’en Asie du Sud. Soit 228.000 enfants, dont chacun avait une mère et un père, et probablement des frères ou des sœurs.
La plupart des décès d’enfants supplémentaires survenus lors des confinements auront été particulièrement pénibles, car la malnutrition et les infections entraînent des morts difficiles. Ces décès ont été anticipés par l’OMS et les responsables de la santé publique en général. Ils auraient vécu sans les confinements, puisqu’il s’agissait (donc) de décès « ajoutés ».
L’OMS estime qu’environ 60.000 enfants supplémentaires meurent chaque année du paludisme depuis 2020. Beaucoup d’autres meurent de la tuberculose et d’autres maladies infantiles. Avec environ un milliard de personnes supplémentaires souffrant de graves carences alimentaires (proches de la famine), des millions de morts pénibles et douloureuses sont à prévoir. Il est difficile de voir un enfant mourir. Mais une personne comme nous, souvent un parent, a assisté à chacun de ces décès et en a souffert.
Alors que de nombreux acteurs de la santé publique et de l’industrie « humanitaire » racontent des histoires sur la lutte contre cette pandémie mondiale, ceux qui ont été témoins de ces décès savaient pertinemment que leur mort n’avait pas lieu d’être. Ils savaient que ces enfants avaient été trahis. Certains peuvent peut-être invoquer l’ignorance, car les médias occidentaux ont trouvé gênant de parler de cette réalité. Leurs principaux sponsors privés profitent des programmes à l’origine de ces décès, comme d’autres ont profité des abus et des massacres pour s’assurer du caoutchouc bon marché du Congo belge ou de l’extraction de métaux rares en Afrique aujourd’hui. Exposer les décès massifs d’enfants dans un but lucratif ne plaira pas aux sociétés d’investissement qui possèdent à la fois les médias et les sponsors pharmaceutiques de ces médias. Mais les décès restent les mêmes, que les médias les couvrent ou non.
Pourquoi l’avons-nous fait ?
Il n’y a pas de réponse simple à la question de savoir pourquoi la société a inversé ses normes de comportement et a prétendu, massivement, que les mensonges étaient des vérités et que les vérités étaient des mensonges. Il n’y a pas non plus de réponse simple à la question de savoir pourquoi la protection de l’enfance en est venue à être considérée comme facultative et les enfants comme une menace pour les autres. Ceux qui ont orchestré la fermeture des écoles savaient que cette mesure allait augmenter durablement le niveau de pauvreté et, par conséquent, les problèmes de santé. Ils savaient que le travail des enfants, les mariages d’enfants, la famine et la mort augmenteraient inévitablement. C’est pourquoi nous gérons des cliniques, soutenons des programmes alimentaires et tentons d’éduquer les enfants.
Tous les effets néfastes, sans exception, résultant de la réponse apportée au Covid étaient prévisibles. Les enfants des riches en ont bénéficié, tandis que les enfants des moins riches ont subi des dommages disproportionnés. C’est ainsi que la société a toujours fonctionné – nous nous sommes simplement convaincus que nous avions mis au point une meilleure solution.
Le plus inquiétant, c’est que trois ans plus tard, nous ne nous contentons pas d’ignorer ce que nous avons fait, mais nous prévoyons d’étendre et d’institutionnaliser ces pratiques. Ceux qui ont le plus profité financièrement du Covid-19, qui ont soutenu cette attaque de la société contre les plus vulnérables, souhaitent que cette pratique devienne une constante au quotidien. Il n’y a pas d’enquête sérieuse sur les effets néfastes qui découlent de cette réponse internationale, parce qu’ils étaient prévisibles et que ceux qui en ont la charge en ont profité.
La réinitialisation souhaitée a été réalisée ; nous avons réinitialisé nos attentes en matière de vérité, de décence et de soins apportés aux enfants. Dans un monde amoral, le bonheur, la santé et la vie d’un enfant n’ont que l’importance qu’on nous dit de leur accorder. Pour y remédier, nous devrions nous dresser face à ce courant. L’histoire se souviendra de ceux qui l’ont fait et de ceux qui ne l’ont pas fait.
De l’Institut Brownstone
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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