Après Pfizer/BioNTech, Moderna et AstraZeneca/Oxford, la Haute autorité de santé a autorisé le vaccin Johnson & Johnson.
La Haute autorité de santé (HAS) a autorisé le 12 mars en France le vaccin Johnson & Johnson contre le Covid-19 causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois), au lendemain du feu vert européen, en recommandant de l’utiliser « de manière préférentielle » dans les zones où l’épidémie est « particulièrement active ».
Lors d’un point de presse, la présidente de l’autorité sanitaire Dominique Le Guludec a souligné que ce vaccin présente « une performance tout à fait satisfaisante », elle a également estimé que ce vaccin américain à injection unique « peut être utilisé à partir de l’âge de 18 ans », « y compris chez les personnes âgées de 65 ans et plus » et « ou à risque » de faire des formes graves de Covid.
Il s’agit du « quatrième vaccin qui vient compléter l’arsenal vaccinal », a indiqué la dirigeante, après Pfizer/BioNTech, Moderna et AstraZeneca/Oxford, qui nécessitent, eux, deux doses.
« Compte tenu du schéma de vaccination à une dose » et de sa simplicité d’utilisation (conditionnement en flacons multidoses prêts à l’emploi et conservation jusqu’à 3 mois en réfrigérateur). Ce vaccin pourrait « être utilisé de manière préférentielle dans les zones géographiques où l’épidémie est particulièrement active et où une accélération de la campagne de vaccination est estimée nécessaire« , recommande la HAS.
Premières doses livrées à partir du mois d’avril
Ce vaccin a reçu jeudi son autorisation de mise sur le marché de la Commission européenne, quelques heures après le feu vert de l’Agence européenne des médicaments (EMA). Les premières doses devraient être livrées à partir du mois d’avril.
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