Avant Izïa, le groupe Shaka Ponk avait également taclé le président Emmanuel Macron sur scène. Le chef de l’État était ainsi grimé en marionnettiste géant sur la scène des Solidays à Paris, le 25 juin dernier.
Lors de son concert le 6 juillet dernier, la chanteuse Izïa Higelin n’a pas hésité à décrire un possible lynchage du président de la République sur scène : « Je le connais, quelle coquine celui-là, il s’est dit là, ce qui serait bien, je pense que ce que le peuple veut, ce dont le peuple a envie, c’est qu’on m’accroche à 20 mètres du sol telle une pinata humaine géante, et qu’on soit tous ici présents munis d’énormes battes avec des clous au bout comme dans Clockwork Orange. Et là, on le ferait descendre […] et on aurait tous notre batte avec nos petits clous, et dans un feu de Bengale de joie, de chair vive et de sang, on le foutrait à terre, mais gentiment tu vois… » avait-elle déclaré.
Des mots qui ont fait réagir sur les réseaux sociaux et qui lui ont valu d’être visée par une enquête pour « provocation publique à commettre un crime ou un délit », a rapporté La Dépêche.
Cependant, avant cela, au festival Solidays le 25 juin dernier, le groupe Shaka Ponk avait lui aussi taclé le président Emmanuel Macron. Pour ce faire, le groupe avait projeté une vidéo du président grimé en marionnettiste géant, comme le montre la vidéo ci-dessous :
Sur la vidéo, on peut voir une caricature du président en train de manipuler des personnes pour qu’elles se jettent dans le vide.
« La détestation du président est si forte, qu’elle en devient mainstream », a conclu l’internaute ayant posté la vidéo.
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