La magie s’est opérée lorsqu’une photographe russe prenant des photos dans une prairie fleurie a invité un cheval blanc à se joindre à la scène.
Ses images dignes d’un conte de fées ont depuis attiré des dizaines de milliers d’admirateurs sur les médias sociaux.
La photographe Kristina Makeeva a rencontré Hidalgo (un Tinker nain) au début de l’été 2020 dans sa ville natale de Moscou. Elle affirme avoir été enchantée par le « beau cheval aux yeux bleus » dès qu’elle l’a vu.
« Nous avons filmé des champs de lupins agricoles en fleurs et avons invité [Hidalgo] à se joindre à nous », a confié Kristina à Epoch Times.
« Ces lupins sont cultivés en Union soviétique pour nourrir le bétail, ils ne sont donc pas toxiques, comme beaucoup le croient, le cheval les mange avec plaisir. Les chevaux ne mangeront pas ce qui est toxique pour eux. »
« J’aime me promener dans Moscou comme une touriste ; chaque fois, j’essaie de regarder avec des yeux nouveaux », a-t-elle ajouté.
Ce qui en est résulté du travail de Kristina est une série de photos et de vidéos magiques qu’elle a partagées sur Instagram et dans lesquelles la crinière blanche tressée, la robe pie et les yeux noirs charbonneux d’Hidalgo contrastent de façon saisissante avec les lupins violets qui l’entourent. Sur certaines photos, une ballerine se tient sur ses pointes à ses côtés, ce qui accentue le caractère féerique de la scène.
Kristina partage des photos d’Hidalgo, et bien plus encore, sur Instagram. Elle dit avoir utilisé la correction des couleurs uniquement pendant le processus d’édition.
« J’ai toujours besoin d’embellir la réalité », explique-t-elle. « J’ai fait des études de graphiste, cela a fortement influencé mon travail. Les designers créent toujours leur monde à partir de rien. »
Lorsqu’elle ne prend pas de photos de scènes extraordinaires dans la nature, Kristina aime se promener dans la ville de Moscou pour apprécier ses nombreuses « perles d’architecture » ainsi que les lanternes, les illuminations festives et les flocons de neige d’un blanc éclatant qui donnent à la ville son attrait de pays des merveilles hivernales.
Elle a obtenu son premier appareil photo à l’âge de 16 ans, une caméra vidéo Panasonic avec une résolution photo de 640 par 480 pixels en format JPG. Plus tard, elle a commencé à voyager pour élargir ses horizons.
« Les voyages nous ouvrent un nouveau monde, élargissent notre conscience, nous inspirent et nous rendent tolérants », a-t-elle ajouté. « Tout cela a grandement influencé mon travail. »
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