Âgé de 73 ans, Pierre Mreches réside à Cannes sur la Côte d’Azur. Pour pouvoir retourner dans sa maison en Floride, il a dû se faire vacciner contre le Covid-19, maladie causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois). Depuis sa deuxième injection du vaccin Pfizer, M. Mreches voit sa santé se dégrader de jour en jour.
« J’ai eu mon deuxième vaccin Pfizer contre le virus du Covid et après le vaccin, j’ai eu comme un zona sur les jambes. Je suis allé chez le docteur qui m’a envoyé chez une spécialiste pour la peau. Elle m’a donné des médicaments. Alors j’ai pris ces médicaments et au lieu que ça diminue, c’est devenu pire », raconte-t-il.
« D’abord j’ai donné la chance aux médicaments prescrits par la docteur, puis je me suis dit : ‘je vais mettre un produit pour sécher (du Mercurochrome, ndlr) car les plaies devenaient trop purulentes' ».
« Je ne dors plus »
« Au premier vaccin, je n’étais pas bien du tout. Mais si je ne faisais pas le second vaccin, on ne me laisserait plus prendre l’avion pour rentrer chez moi en Amérique dans ma maison. Alors je me suis dit : ‘Après le premier vaccin, plus malade que ça, tu ne peux pas l’être ! », précise-t-il.
« Après la deuxième injection j’ai eu de l’eczéma comme un zona et après voilà, maintenant c’est comme ça ! Je ne dors plus, car ça pique toute la nuit », confie Pierre Mreches.
« Je ne veux pas mourir »
La mémoire fait défaut à M. Mreches qui ne se souvient plus de la date de sa deuxième injection. « Je ne me souviens même plus de quel jour je l’ai faite », répond-il dans le vague.
« Ça me fait tellement mal que j’ai perdu le souvenir ». Pierre Mreches ne veut pas se rendre à l’hôpital. « Je ne veux pas mourir », lance-t-il.
Avant le vaccin, « j’étais en pleine forme »
« Je ne peux plus vraiment marcher, ‘car j’ai mal, très mal’ quand je marche », précise-t-il. « Avant de me faire vacciner, je marchais très bien, j’étais en pleine forme. Dès que j’ai fait les vaccins, j’ai eu des réactions », déplore-t-il.
Désemparé, le septuagénaire garde l’espoir de trouver un spécialiste qui pourra le soigner. « J’espère qu’on va trouver un médecin pour sauver mes deux jambes, parce que j’aimerais pas qu’on me les coupe après tout ça ! (…) », s’insurge Pierre Mreches.
« Alors je ne sais pas si je vais survivre ou mourir », s’inquiète M. Mreches.
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