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Le Conseil d’État valide les 11 vaccins obligatoires pour les enfants et rejette la demande de retrait de ceux qui contiennent de l’aluminium

mai 6, 2019 14:28, Last Updated: mai 7, 2019 20:01
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Les anti-vaccins ont subi lundi deux revers devant le Conseil d’État qui a validé le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les enfants et rejeté la demande de retrait de ceux qui contiennent de l’aluminium.

Dans la première décision, la plus haute juridiction administrative a estimé que l’extension du nombre de vaccins obligatoires n’était pas contraire au « droit à l’intégrité physique et au respect de la vie privée », car elle était justifiée « par la protection de la santé publique ».

Le Conseil d’État a ainsi débouté la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations, qui l’avait saisi pour contester cette extension.

Le passage de trois à onze vaccins obligatoires, voulu par la ministre de la Santé Agnès Buzyn, s’applique aux enfants nés à partir du 1er janvier 2018.

Dorénavant nos chers petits chérubins se verront dans l’obligation de subir en plus du DT-Polio qui contient de l’aluminium, une palette de vaccins comme : le vaccin contre l’hépatite B –  le vaccin contre le pneumocoque – le vaccin contre le méningocoque C et le triple vaccin ROR, soit un total de … onze vaccins !

Ne cherchez pas le DT-Polio sans aluminium, il n’est plus disponible depuis 2008 en pharmacie, il a été remplacé par ce super-vaccin contenant six vaccins, dont trois qui ne sont pas obligatoires, et de l’aluminium qui n’a pas sa place dans le corps des bébés.

Plus d’un million de personnes avaient signé la pétition et toutes contestaient le refus de la ministre de la Santé d’obliger les fabricants de vaccins à ne pas utiliser de sels d’aluminium comme adjuvants.

En 2016, l’Institut pour la protection de santé naturelle (IPSN) avait lancé sur internet une pétition adressée à Madame Agnès Buzin, ministre de la Santé. Cette dernière était accompagné d’un rapport qui préconisait de mettre à la charge de la collectivité les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d’indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt que par l’industrie pharmaceutique…

D. S avec AFP

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