Avant même que le Parti communiste chinois (PCC) ne déclenche cette pandémie dans le monde en se livrant à une dissimulation futile, notamment en autorisant les personnes infectées à quitter la Chine par avion et en propageant le virus aux quatre coins du monde, les dangers de s’associer librement avec ce régime criminel étaient évidents.
En 2005, j’ai lu un livre écrit par un homme du nom de Thomas P. M. Barnett, intitulé « La nouvelle carte du Pentagone ». Il a beaucoup parlé de la Chine dans ce livre, et de la façon dont la mondialisation représentait une fantastique opportunité pour les décideurs politiques américains de s’engager avec la Chine.
M. Barnett a vendu avec enthousiasme une vision selon laquelle les États-Unis et le régime du PCC deviendraient de si bons partenaires financiers, si étroitement liés par des liens commerciaux, que la plupart des obstacles politiques s’estomperaient progressivement à mesure que le PCC se rapprocherait de l’Occident, et qu’un conflit armé entre les deux pays serait réduit à une idée absurde.
J’ai acheté ce livre et l’ai lu après avoir surpris M. Barnett dans une émission de télévision de PBS en train de donner la présentation PowerPoint qui est devenue la base du livre. À la fin du long chapitre consacré à la Chine, M. Barnett a fait une blague sur la façon dont on fait pleurer une salle pleine de généraux américains : en montrant comment la mondialisation signifie que nous n’entrerons jamais en guerre avec la Chine.
Au lieu de cela, nous allions être leurs partenaires commerciaux.
Tout ce que je peux dire maintenant, sans rien savoir de la nature véritable du PCC à l’époque, c’est que M. Barnett a rendu tout cela plausible.
Je ne lis plus M. Barnett ; il avait tort. Le resserrement des liens et l’externalisation de nos infrastructures vitales vers le PCC n’ont pas tant « ouvert » la Chine que laissé les États-Unis vulnérables à un régime hostile.
Cela était douloureusement apparent il y a longtemps, et la pandémie actuelle ne fait que le rendre plus évident. En octobre dernier, j’ai écrit un article sur la façon dont les attentes concernant l’engagement avec le PCC étaient catastrophiquement erronées. Voici ce qu’on pouvait y lire, en partie, en parlant du scandale de l’autocensure de la NBA :
« Le monde libre tout entier a eu un aperçu révélateur sur la manière exacte dont la Chine entend utiliser son vaste levier économique en dehors de ses frontières.
« Et quel horrible aperçu !
« Le régime chinois n’a pas besoin d’exiger explicitement que les entreprises occidentales punissent ses détracteurs à leur place. De nombreuses personnes qui dirigent ces entreprises se jetteront dans la censure et l’oppression de leurs propres employés sans attendre que les Chinois l’exigent.
[…]
« La théorie populaire qui a été vendue pendant des décennies était qu’en engageant la Chine et en lui ouvrant nos portes, nous allions la ‘démocratiser’. Regardez bien ce que vous avez vu récemment, alors que les intérêts des entreprises américaines pliaient le genou devant de véritables tyrans.
« C’est exactement le contraire qui s’est produit. La Chine fait pleinement usage de son influence financière pour forcer les entreprises occidentales à agir comme des extensions politiques d’elle-même ».
Depuis plusieurs décennies, les mondialistes bureaucratiques qui ont des espoirs de paix et de prospérité économique dans le monde sont plein d’illusions concernant la direction du PCC.
Il a fallu attendre les récents scandales de la NBA et de Blizzard Entertainment pour que les gens voient comment la Chine influence les grandes institutions américaines du sport et du divertissement. Mais il aura fallu attendre le virus du PCC pour faire apparaître clairement comment le PCC influence également de nombreuses grandes institutions médiatiques américaines.
Le PCC a acheté le contrôle et l’influence sur les médias occidentaux pendant des décennies. Lentement. Avec prudence. En toute discrétion.
Oui, des pays étrangers tels que la Chine, la Russie, le Qatar, l’Iran et d’autres ne se sont pas seulement achetés une presse positive ici en Occident depuis des décennies, ils ont acheté une couverture médiatique inclinée.
Les mondialistes ont ouvert les portes et ont créé une industrie massive de corruption étrangère qui s’écoule à partir de Washington. Et oui, les médias d’information jouent un rôle clé dans la construction de cette abomination.
Mais les événements actuels rendent cette relation visible et forcent tout le monde à s’en rendre compte.
Le public américain a passé plus d’une semaine à regarder les grands reporters des médias américains fonctionner comme des mandataires de facto du régime du PCC, dans une tentative pour intimider furieusement un président américain afin qu’il répète les points de discussion du PCC.
Ils n’ont absolument pas réussi à forcer le président Trump à changer de langage, bien sûr, mais en tentant même cela, beaucoup de ces militants politiques déguisés en journalistes ont révélé leurs véritables allégeances.
La vérité a déjà fait surface
Au cours des cinq derniers mois, le gouvernement chinois du PCC a tenté de dissimuler l’épidémie du virus, l’a laissée se propager dans le monde entier et a continué à mentir à ce sujet jusqu’à la mi-janvier. Donald Trump connaît la vérité à ce sujet. Ce qui signifie qu’il y aura des conséquences, et elles seront sérieuses.
Lorsque ce président sera réélu, il y aura une panique générale parmi les mondialistes. Car il n’y a pas que la NBA et quelques autres sociétés de divertissement américaines qui aient besoin de renouveau pour enrayer l’influence pernicieuse du PCC. Toute l’élite politique à Washington et dans les médias américains a également besoin d’une réforme.
Quand M. Trump obtiendra son deuxième mandat, c’est ce qui se passera. L’influence sournoise du PCC dans le monde entier va être considérablement réduite à la suite de cette pandémie. Les industries américaines vont rentrer au pays et les médias occidentaux sous influence ne pourront pas arrêter cela.
Ils ne peuvent tout simplement pas freiner le président Trump.
Brian Cates est un écrivain du sud du Texas et l’auteur de Nobody Asked my Opinion… But Here is it Anyway ! (personne ne m’a demandé mon avis… mais le voici quand même !).
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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