Dong Nguyen pense qu’il a de la chance d’avoir survécu à sa rencontre avec le Covid-19 l’automne dernier. Au moment le plus critique de sa vie, il a trouvé un traitement inhabituel qui l’a aidé à se rétablir.
M. Nguyen, âgé de 66 ans, habitant au Texas, est rarement sorti l’année dernière en raison de la pandémie du virus du PCC (Parti communiste chinois). Mais le 3 août 2020, il est sorti en douce pour tenter sa chance à la loterie. Il a dit qu’il portait un masque et qu’il est juste entré et sorti du magasin.
Plus tard dans la journée, il a développé une fièvre et une toux qui se sont aggravées dans la soirée.
Le lendemain matin, il a demandé à sa femme et à son fils de l’emmener aux urgences où il a été testé positif au Covid-19, la maladie causée par le virus du PCC. Il a immédiatement été hospitalisé, mis en quarantaine et traité pour Covid-19, hypertension et hyperglycémie.
« Le médecin m’a donné des antibiotiques par voie intraveineuse et m’a administré trois ou quatre autres médicaments », a dit M. Nguyen au journal Epoch Times. « Mon taux de sucre dans le sang atteignait 400 mg/dl, bien que je n’aie jamais eu de diabète auparavant. »
Selon les Centers for Disease and Prevention (CDC), un taux de glycémie normal avant un repas est de 80 à 130 mg/dl et de moins de 180 mg/dl deux heures après un repas.
M. Nguyen toussait aussi sans arrêt et il était incapable de manger ou de dormir. Son état s’est rapidement détérioré, nécessitant un supplément d’oxygène.
« Le personnel de l’hôpital m’a rapidement mis sous oxygène », a-t-il dit. « Du soir jusqu’au lendemain à l’aube, j’étais dans un état de semi-coma. »
M. Nguyen a dit que les médicaments n’ont pas fait baisser son taux de sucre dans le sang ni sa pression artérielle. Il avait également de la difficulté à respirer, il se sentait étourdi et avait l’impression que « quelqu’un l’avait coupé en deux ».
Se sentant désespéré quant à son rétablissement, M. Nguyen a demandé à son médecin de le laisser sortir trois jours après avoir été hospitalisé pour se mettre en quarantaine chez lui avec l’aide de sa famille. Son état ne s’améliorait pas et il ne voulait pas être seul. Il pensait qu’un autre patient atteint du Covid-19 pourrait utiliser son lit d’hôpital.
Le médecin a permis à M. Nguyen d’obtenir son congé pour être avec sa famille puisque son fils était interne en médecine. L’hôpital lui a donné son congé pour rentrer chez lui avec plusieurs médicaments, des injections d’insuline et deux machines à oxygène.
« Parce que j’étais si faible, ma femme et mon fils ont dû me soutenir pour aller à la maison, même si c’était une courte distance », a-t-il dit. « Je me sentais craintif, inquiet et pessimiste. »
« Je sentais que mes poumons étaient abîmés, en partie à cause du virus du PCC, des médicaments et de l’impossibilité de manger ou de dormir pendant [presque] une semaine », a-t-il ajouté.
Chez lui, un appel d’un ami de la famille l’a encore plus déprimé après avoir appris qu’une de leurs connaissances avait également le Covid-19 et était dans le coma.
À ce moment de désespoir, il s’est souvenu d’un ami qui lui avait présenté une pratique de l’esprit et du corps et qui se trouvait être également médecin. Il lui a téléphoné, lui a parlé de son état et lui a posé des questions sur cette pratique.
Rien à perdre
Après avoir réfléchi à sa situation pendant la nuit, M. Nguyen, qui pratique la médecine traditionnelle chinoise, a décidé de prendre sa situation en main.
Le 8 août, sans aucune amélioration de son état et contre l’avis de son fils, M. Nguyen a pris la décision d’arrêter de prendre les médicaments pour faire baisser son taux de sucre dans le sang et sa pression artérielle.
Il a demandé à son épouse de lui préparer un remède traditionnel vietnamien pour le rhume et la grippe, composé de gingembre, d’ail, de citron, de vinaigre et de miel.
M. Nguyen a aussi décidé qu’il voulait commencer à vivre selon les principes d’authenticité, de bienveillance et de tolérance qui sont les principes fondamentaux du Falun Dafa, la pratique spirituelle chinoise qui est devenue extrêmement populaire au début des années 1990 et dont son ami médecin lui avait parlé.
Le Falun Dafa, aussi connu sous le nom de Falun Gong, se distingue des autres pratiques de qigong du fait qu’il comporte un aspect spirituel qui vise à améliorer le caractère moral d’une personne.
Malheureusement, la popularité de cette pratique et l’accent mis sur les valeurs traditionnelles en ont fait une cible du Parti communiste chinois qui continue d’arrêter arbitrairement, d’emprisonner, de torturer et de prélever les organes des personnes qui pratiquent cette discipline.
Son état s’améliore
M. Nguyen a dit qu’il avait tout de suite remarqué une amélioration même s’il devait s’asseoir pour faire les exercices lents du Falun Dafa.
« L’effet a été miraculeux », a-t-il dit. « Quand je suis arrivé au troisième exercice du Falun Dafa, je me suis senti mieux. »
« Ma respiration est passée de 10 % à 50 %, ma voix était plus claire et je ne me sentais plus fiévreux. Ma toux s’est aussi calmée et mon taux de sucre dans le sang s’est abaissé à 135 mg/dl », a-t-il ajouté.
De plus, M. Nguyen a dit qu’il n’avait plus besoin d’oxygène supplémentaire.
Après deux jours, M. Nguyen a affirmé qu’il se sentait assez fort pour faire, en position debout, les exercices méditatifs du Falun Dafa, tandis que sa « respiration augmentait à 85 % ». Sa pression du sang et son niveau de sucre se sont également stabilisés.
M. Nguyen a dit qu’il a finalement subi un nouveau test Covid-19 plusieurs jours plus tard et qu’on lui a dit qu’il n’était plus infecté par le virus du PCC.
M. Nguyen a dit qu’il était reconnaissant envers le Falun Dafa pour son rétablissement et sa nouvelle attitude positive dans la vie.
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