Il n’est pas possible de calculer le temps dont on aura besoin pour se désintoxiquer d’un vaccin. Il faudra se résoudre à fournir des efforts au jour le jour. L’accumulation de toxines, en particulier les métaux lourds comme le mercure, peut prendre beaucoup de temps pour être éliminée de l’organisme. Dans le cas des toxines vaccinales, celles‑ci peuvent s’être cumulées au fil des vaccinations, s’ajoutant à la charge toxique que nous recevons au contact quotidien des toxines environnementales.
Pour les personnes ayant reçu un vaccin et souffrant de graves conséquences, il est nécessaire d’adopter un mode de vie favorisant la désintoxication, et ce, pour toute la vie.
En réalité, il se peut que nous ne puissions jamais éliminer toutes ces toxines endommageant le corps. Mais adopter un mode de vie aussi sain que possible est probablement le seul moyen de vivre sans symptômes. Rappelons au passage qu’à un degré ou à un autre, un bon mode de vie est salutaire pour tout le monde.
Il est possible d’éliminer les lésions vaccinales, à l’aide de remèdes naturopathiques et homéopathiques. Le temps entre le début du protocole et la guérison complète dépendra de la gravité des lésions, de leur ancienneté et de la quantité de traitements suppressifs (pharmaceutiques) administrés. Tous les produits pharmaceutiques doivent être éliminés de l’organisme, les dommages qu’ils entraînent doivent également être traités.
Bien des personnes se remettent d’une réaction à un vaccin en quelques semaines ou mois, mais si les dommages sont graves (lésions cérébrales) ou si le protocole et le régime ne sont pas strictement suivis (par exemple, les enfants qui refusent de manger des légumes crus), la désintoxication et le rétablissement de l’organisme peuvent prendre des années.
Les composants vaccinaux dont il faut se purifier, et pourquoi
Les composants et les dérivés comprennent le thimérosal (oui, beaucoup de vaccins qui contiennent encore du mercure), l’aluminium (plus néfaste que le thimérosal selon certains), le glutamate monosodique, les OGM et l’ADN humain. Les vaccins sont toxiques par nature. Le vaccin est conçu pour échauffer le système immunitaire. De fait, chaque composant du vaccin est toxique d’une manière ou d’une autre.
Comme nous le savons, les conservateurs sont conçus pour tuer ou empêcher la croissance des micro‑organismes. C’est ce que font les conservateurs. Les vaccins doivent en faire de même tout en préservant l’antigène. Il y a donc un antigène, toxique pour le corps bien sûr, et un conservateur, qui est généralement très lourd et très toxique et qui est conçu pour tuer les organismes. Enfin, nous avons d’autres composants conçus pour causer des dommages afin de faire réagir le système immunitaire. Il n’est pas nécessaire d’être un scientifique pour comprendre à quel point cela peut être nuisible pour le corps, surtout si on répète les vaccins encore et encore.
« La réaction d’un individu à un vaccin est souvent similaire à la façon dont le corps réagirait à la maladie naturelle. »
Une partie des dommages est due à l’accumulation pure et simple de toxines, une partie des dommages est due à la réponse immunitaire, une partie des dommages est due à l’endroit (et là, c’est un peu au petit bonheur la chance) où les toxines se déposent dans le corps. Il convient de noter que ces toxines peuvent se déplacer à tout moment, c’est pourquoi les lésions dues aux vaccins peuvent apparaître tout à coup des jours, des semaines, voire des années après la vaccination.
Ceux qui acceptent d’administrer ou de recevoir une injection ne comprennent pas l’importance des microbes dans le corps humain, le fonctionnement du système immunitaire, la sélection qui se fait naturellement dans le corps ni la façon dont les toxines peuvent nous affecter.
Parmi les composants vaccinaux typiques : le formaldéhyde (un cancérigène humain probable), le mercure (une neurotoxine et la deuxième substance la plus toxique connue de l’homme), l’aluminium (une neurotoxine connue, dont 75 % est retenu chez un nouveau‑né et jusqu’à 40 % chez un adulte, stocké dans les reins, la rate, le foie, le cœur, cerveau, les ganglions lymphatiques et les muscles), le bromure de cétyltriméthylammonium (une substance dangereuse), le MSG (une neurotoxine), le 2‑Phénoxyéthoanol (une toxine dangereuse) et le polysorbate 80 (une toxine associée à des effets indésirables graves, y compris la mort), et cette liste n’est pas complète.
Par ailleurs, beaucoup de ces toxines sont toxiques en synergie, par exemple, la toxicité du thimérosal est multipliée en présence de l’aluminium ou avec certains antibiotiques. Nous pouvons avoir des réactions nocives en lien avec nos vaccins antérieurs.
Même si chaque vaccin s’avérait sûr et efficace malgré ses composants toxiques, personne n’est en mesure d’évaluer l’ampleur des dommages causés par la combinaison de plusieurs vaccins.
Quels sont les dommages causés par les vaccins ?
La réaction d’un individu à un vaccin est souvent similaire à la réaction de l’organisme à la maladie naturelle. Dans la plupart des cas, les personnes les plus sensibles aux dommages causés par les vaccins sont celles dont le système immunitaire est affaibli, c’est‑à‑dire celles qui souffriraient le plus de la maladie naturelle si elles la contractaient.
En général, plus la personne est en bonne santé avant l’injection, moins la réaction est grave. Les instructions figurant dans la notice (notice qui fournit des instructions médicales aux médecins et des informations aux patients) indiquent spécifiquement de ne pas vacciner un enfant malade. Vacciner des enfants et des adultes malades augmente considérablement le risque de réactions indésirables.
Les effets indésirables mineurs des vaccins comprennent généralement de la fièvre, des otites, des infections des sinus, de la diarrhée et d’autres symptômes similaires. Il s’agit là des tentatives de l’organisme pour évacuer les susbtances du vaccin. Ces réactions sont souvent supprimées par des antibiotiques et d’autres médicaments. Lorsque des antibiotiques sont administrés, l’intestin est envahi par des champignons et des microbes pathogènes résistants aux antibiotiques. Les composants du vaccin à eux seuls peuvent encore provoquer des maladies intestinales, en raison de leur puissante nature antimicrobienne.
« …si vous pensez que les vaccins sont ‘parfaitement sûrs’ ou ‘sains’, vous ne saisissez pas sur quoi repose une bonne santé… »
De nombreux composants des vaccins persistent dans l’organisme, en particulier les virus. Les vaccins sont des cocktails de conservateurs, d’agents pathogènes et d’adjuvants. Les adjuvants vaccinaux sont destinés à stimuler la réponse immunitaire aux agents pathogènes introduits par le vaccin. S’ils réussissent à stimuler le système immunitaire, ils détruisent les tissus sur leur passage. Le mercure et l’aluminium sont utilisés comme adjuvants et agents de conservation. Il s’agit donc d’un cas où le remède de la maladie (le vaccin) peut être plus néfaste que la maladie elle‑même.
Il est donc facile de comprendre maintenant la nécessité d’expulser les toxines vaccinales du corps avant que celui‑ci arrête de réagir à la maladie contre laquelle le vaccin était censé le protéger.
Les composants des vaccins peuvent également provoquer de graves réactions allergiques à certaines protéines injectées dans l’organisme. Soit il y aura une réaction allergique immédiate (anaphylaxie), soit une sensibilité à certains aliments, en d’autres termes une allergie aux arachides, par exemple, ou aux œufs. L’organisme ne cessera pas de réagir aux allergènes tant qu’il n’aura pas expulsé les composants du vaccin et qu’il n’aura pas retrouvé sa pleine santé.
Les vaccins perturbent gravement l’équilibre des minéraux dans l’organisme, ce qui déclenche également des déséquilibres en vitamines et autres nutriments. Le système endocrinien s’en trouve affaibli, à son tour, cela entraîne des déséquilibres hormonaux et un mauvais fonctionnement du cerveau, ainsi que de la fatigue. Finalement, si l’intestin n’est pas guéri, le corps se détériore et devient un organisme auto‑immun. (Cela se produit parfois très rapidement et parfois très lentement.) Presque toutes les maladies sont basées sur l’inflammation. Les vaccins sont conçus pour provoquer une réponse immunitaire, et donc entraîner une inflammation. Jusqu’à ce que les composants du vaccin soient expulsés de l’organisme, le corps est dans un état inflammatoire constant. Rien d’étonnant donc, que la sclérose en plaques, le cancer, la fibromyalgie, le lupus, le diabète et tant d’autres maladies auto‑immunes soient liées aux vaccins.
Si on comprend les fonctionnements biologiques de base, comment se comportent les cellules et ce que certains des composants vaccinaux engendrent (tel que prouvé par la science), une seule conclusion s’impose : les vaccins sont toxiques pour l’organisme. Encore une fois, si nous pensons que les vaccins sont « parfaitement sûrs » ou « sains », nous ne saisissons pas vraiment sur quoi repose une bonne santé et, par conséquent, il nous sera beaucoup plus difficile de nous rétablir.
Les symptômes courants des dommages engendrés par les vaccins comprennent (la liste reste ouverte) : l’anaphylaxie, la fièvre, les convulsions, les toux persistantes, les crampes, un faible de taux de plaquettes dans le sang, les retards de développement, les affections dégénératives, l’acné, les troubles de l’attention, le TDAH, les allergies alimentaires, les allergies saisonnières et environnementales, le syndrome d’Asperger, l’asthme, l’autisme, les caries, les rhumes et les grippes (souvent continus), la confusion et la désorientation, les problèmes digestifs, la diphtérie, les otites, l’eczéma, l’émaciation, l’épilepsie, les éruptions, les troubles du comportement, le cancer, les maux de tête, l’hépatite, l’urticaire, l’incapacité à manger divers aliments, l’incapacité à se concentrer, l’insomnie, les troubles de l’apprentissage, les problèmes hépatiques et rénaux, la rougeole, les déficits neurologiques, la polio, les pathologies récurrentes la méningite, la sclérose en plaques, les névralgies, l’agitation, les affections rhumatismales, la septicémie, le zona, l’état de choc circulatoire, la mort subite du nourrisson, les éruptions cutanées, l’épuisement, l’insomnie, la tendance à tomber malade, les tics, les accès de violence et les verrues.
La raison pour laquelle les vaccins provoquent des dommages et que le corps peut réagir par tant de maladies et d’affections différentes est que les vaccins « énervent » le système immunitaire et que les toxines vaccinales s’accumulent, elles ne se dissipent pas facilement.
Avant de se faire vacciner : prendre quelques mesures
Si on nous impose une vaccination, il ne faut pas accepter de payer, ni signer aucun formulaire d’autorisation ou de consentement. Si nous sommes sur le point de nous faire vacciner, si nous estimons que les bénéfices dépassent les risques (perte d’emploi ou de la garde d’enfant, décrets de vaccination, etc.), nous pouvons minimiser les dommages en éliminant les métaux lourds de notre corps, en renforçant le système immunitaire et en veillant à ce que la flore intestinale soit équilibrée et saine. Pour ce faire, il faut commencer le protocole de désintoxication quelques semaines avant l’administration du vaccin.
Le jour de la vaccination, en emmenant une poche de glace que l’on appliquera immédiatement après la piqûre sur le point d’injection, il est possible d’atténuer la réponse immunitaire.
Protocole(s) de détoxification des vaccins pour les adultes
La première étape est de bien manger. Manger le bon type d’aliments favorise une désintoxication constante, appropriée, douce et saine.
Il ne s’agit pas d’un protocole spécifique et la médecine naturelle n’est pas une science exacte. Certaines personnes tireront plus de bénéfices d’un aspect du programme que d’autres. Mais il y a une constante : il est primordial d’avoir un bon régime alimentaire. On ne peut pas s’attendre à guérir avec de la malbouffe. Pour la désintoxication et la guérison, le régime alimentaire est bien plus important que les compléments. En fait, la plupart des personnes qui souffrent d’une séquelle liée à un vaccin pourraient guérir complètement en suivant uniquement la diète qui sera présentée, sans prendre de compléments, mais cela prendrait plus de temps et varierait en fonction de la gravité de la situation. La supplémentation sans une bonne alimentation peut réduire et même inverser certains symptômes mais cela prend beaucoup plus de temps et le patient ne retrouvera pas sa vitalité.
Manger pour détoxifier le corps
Les fruits et les légumes ont tous des propriétés de détoxification sous une forme ou une autre. Le seul problème des fruits est leur forte teneur en sucre. Lorsque l’intestin d’une personne est endommagé, le sucre peut favoriser la prolifération du Candida. Par conséquent, en cas de symptômes de candidose, il convient de limiter fortement les fruits et de les consommer avec des compléments antifongiques.
Les légumes doivent être variés et abondants. L’idéal est de consommer chaque jour une grande salade composée de nombreux légumes différents, d’introduire de nouveaux légumes et des herbes fraîches dans les salades, de varier les légumes quand on fait ses courses. Les aliments ont des propriétés synergiques, et c’est particulièrement vrai pour les légumes (et les fruits considérés comme des légumes, comme la tomate).
Une alimentation saine se compose d’un minimum de 80 % de produits frais crus, avec beaucoup plus de légumes que de fruits. Il est bon d’ajouter des condiments, comme l’ail, l’origan, la cannelle, le curcuma et d’autres épices et herbes aux bienfaits étonnants pour la santé. Il est préférable de ne pas consommer les épices moulues, mais entières, comme le curcuma, la racine de gingembre, l’écorce de cannelle. Les aliments auront un bien meilleur goût et le corps sentira la différence. La coriandre, l’ail et le persil sont bien connus pour leur capacité à chélater les métaux et ils ont de nombreux avantages, notamment d’énormes propriétés de renforcement du système immunitaire.
Il faut éliminer les aliments raffinés, arrêter de fumer du tabac (ou de la marijuana), et limiter ou supprimer tout ce qui peut introduire des métaux lourds et d’autres toxines dans l’organisme. Cela peut malheureusement inclure le riz et de nombreux types de poissons. Ces aliments sont normalement bons pour la santé, mais ils sont trop souvent contaminés par des métaux lourds. Si nous mangeons du riz ou du poisson, faisons nos recherches et trouvons les marques dont la propreté a été prouvée (sans arsenic dans le riz) et les poissons les moins contaminés (au mercure). Évitons les légumes racines et les herbes qui ne sont pas cultivés dans un sol propre. Cela signifie de choisir des légumes biologiques et d’éviter tous les légumes cultivés en Chine. Il est conseillé de consommer l’ail cultivé localement.
Manger beaucoup de légumes riches en souffre comme le chou, le chou‑fleur, les choux de Bruxelles, le bok choy, le brocoli, les oignons, les échalotes, l’ail et les poireaux.
À consommer 3 litres par jour
Voici ce dont nous aurons besoin pour la limonade au jus de canneberge :
- Un bocal en verre ;
- 14 tasses (env. 3 litres) d’eau de source propre et sûre ou d’eau distillée ;
- 1 tasse de jus de canneberge biologique, non concentré ;
- 3 citrons frais biologiques ‑ extraire le jus ;
- Un presse‑agrumes ;
- Stévia liquide ‑ au goût ;
- Du liquide de cayenne ‑ au goût.
Pour la plupart des gens, l’idéal est d’en boire trois litres par jour. Certaines personnes ne peuvent pas le faire pour des raisons de santé ou à cause de leur petite taille, mais quoi qu’il en soit, nous pouvons en boire beaucoup, et cela aidera à nettoyer tout l’intérieur du corps. Cette recette présente de nombreux avantages, mais assurons‑nous d’utiliser des ingrédients sains et biologiques et de l’eau potable et saine.
Équilibrer et guérir le tractus gastro‑intestinal
Il faut aller à la selle une fois par repas ou au moins deux à trois fois par jour. Si cela est difficile, il faut prendre un produit de nettoyage intestinal avec des ingrédients de haute qualité. Pour la plupart des gens, le transit intestinal se fera facilement, peu de temps après avoir adopté le régime riche en fruits et légumes mentionné ci‑dessus.
Si les selles ne sont pas faciles, surtout pour les personnes qui mangent des produits crus et d’autres aliments riches en fibres, l’hypothyroïdie peut être un problème. Il est très fréquent que le mercure affecte la thyroïde. Si notre fonction thyroïdienne est bonne, l’autre raison pour laquelle nous aurions du mal à aller à la selle avec un régime alimentaire approprié est une carence en magnésium. (Cette carence est susceptible de se corriger d’elle‑même avec un régime alimentaire approprié).
Le bien‑être n’est pas possible sans une flore intestinale équilibrée. La prise d’un probiotique et de suppléments connus pour tuer le Candida et d’autres levures peut équilibrer la flore. Le nettoyage intestinal équilibre et tue également le Candida et les autres parasites. Tout probiotique doit être formulé ou encapsulé pour traverser l’acide gastrique vivant.
Il faut offrir au corps tout le repos et le sommeil dont il a besoin. Pendant la désintoxication, de nombreuses personnes ont besoin de plus que les 8 heures généralement recommandées.
Autres suppléments détoxifiants recommandés
Une bonne alimentation est de loin l’aspect le plus important de la santé, de la guérison et de la désintoxication. Dans les cas où les effets sont graves ou si nous souhaitons simplement stimuler ou accélérer le processus, les suppléments peuvent aider. Les compléments ne remplacent pas, et ne remplaceront jamais, une bonne diète. Ils sont un complément diététique et rien de plus. En réalité, ils ne sont pas efficaces avec une mauvaise alimentation.
La niacine, le charbon de bois, la vitamine C, la spiruline, la chlorelle, la terre de diatomées, les argiles de terre comestible, les graisses bénéfiques et d’autres nutriments et herbes peuvent radicalement accélérer le processus de détoxification, lorsqu’ils accompagnent un régime alimentaire sain.
Bouffée de niacine
La niacine, également connue sous le nom de B3, est un moyen très peu coûteux de renforcer l’efficacité d’une désintoxication. Il s’agit d’un produit pour purifier le corps. Les médecins recommandent généralement de commencer par 100 mg, mais jusqu’à 5 000 par jour ont été utilisés pour la désintoxication de drogues dures et d’autres besoins urgents de désintoxication (comme l’empoisonnement chimique).
Il n’est pas bon de consommer de la niacine sur une trop longue période. La prise d’une seule vitamine B pendant une longue période, entraîne un déséquilibre ou une carence des autres vitamines B. La prise de niacine à forte dose et à long terme peut entraîner des problèmes de santé. L’utilisation à long terme et à haute dose de B3 peut également endommager le foie.
Il est recommandé de la prendre le matin. Après 30 à 45 minutes, quand elle fait effet, le mieux est de faire de l’exercice ou d’aller au sauna. Il faut boire du thé chaud, boire beaucoup (comme la limonade au jus de canneberge) et éliminer les toxines par la transpiration. La niacine ne sera d’aucune utilité si nous n’évacuons pas les déchets du corps, pendant que nous la prenons. C’est un produit assez fort. Il se peut qu’on sente des démangeaisons, une bouffée de chaleur ou que la peau rougisse. La plupart des gens dont le foie n’est pas gravement endommagé peuvent facilement supporter 500 mg, pendant quelques jours. Les effets durent environ une heure.
Au début, peut‑être qu’une dose réduite de 15 à 25 mg évitera un accès de panique et permettra de s’y habituer de manière plus douce.
Un mot sur la façon de consommer la niacine s’impose, bien des patients n’ont pas la moindre idée de la meilleure façon d’utiliser cette vitamine pour se purifier.
Pour commencer, il vaut mieux prendre une petite quantité. S’il n’y a aucun effet, c’est‑à‑dire de « bouffée de niacine » (chaleur, rougeur, picotements), il faut augmenter la dose, jusqu’à ce qu’on ressente cette bouffée. Ensuite, il faut rester à cette dose jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’effets, puis augmenter la dose jusqu’à ressentir à nouveau une bouffée. De nouveau, on maintient cette dose jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’effet, puis on augmente une troisième fois, on reste à ce niveau jusqu’à ce que la bouffée disparaisse. À partir de là, il faut s’arrêter pendant quelques semaines, un mois ou deux selon son état de santé, avant de recommencer.
Se désintoxiquer avec des compléments de charbon actif
Le charbon activé est obtenu par combustion de substances organiques pures et non polluées, comme des noix de coco ou certains bois, sans aucun produit chimique toxique pendant l’opération. Le charbon de bois forme une liaison chimique avec les métaux lourds et de nombreuses autres toxines et est facilement éliminé du corps.
« Le charbon actif agit par adsorption et non par absorption des toxines. L’adsorption est l’attraction électrique des toxines et des métaux lourds, mais pas des nutriments bénéfiques, sur les surfaces des fines particules de charbon. Il s’agit plutôt d’un processus de chélation. Le charbon lui‑même n’est pas absorbé par l’organisme, les toxines attachées aux particules de charbon sortent donc par les intestins. Ne soyez pas surpris par des selles noires. » – Natural Society
Pour la vitamine C, la spiruline et la chlorelle, ou tout autre complément multi‑nutritionnel, il est vivement recommandé d’utiliser une marque de poudre nutritionnelle composée d’aliments moulus, purs et complets sur le plan nutritionnel, avec des enzymes encore intactes. La chlorelle et la spiruline ne sont pas seulement des superaliments étonnants qui chélatent et détoxifient le corps, ce sont aussi des protéines hautement biodisponibles, et elles ont un effet synergique avec les autres ingrédients. Il faut s’assurer que la chlorelle ou la spiruline proviennent d’une source fiable. Ces ingrédients, lorsqu’ils proviennent de sources bon marché, sont connus pour contenir des contaminants.
Le Dr Shillington, docteur en naturopathie, propose une cure de désintoxication intestinale, qui contient du psyllium, du lin, de la pectine, de l’argile bentonite et du charbon de bois.
Sels d’Epsom, bains d’argile et hydrothérapie chaude et froide
Les sels d’Epsom et les bains d’argile aident à éliminer les toxines du corps, tout en nettoyant la peau et en débouchant les pores pour permettre à davantage de toxines d’être évacuées de l’organisme. L’hydrothérapie chaude et froide augmente la circulation sanguine dans tout le corps. L’eau chaude pousse et augmente le flux sanguin à la surface de la peau tandis que l’eau froide pousse le sang en profondeur vers le centre.
L’alternance d’eau chaude et d’eau froide apporte du sang frais avec de l’oxygène et des nutriments aux organes et aux glandes, et évacue les toxines et les agents pathogènes. Le Dr Shillington suggère de commencer par de l’eau aussi chaude que possible pendant au moins deux minutes. Ensuite, on arrête l’eau chaude pour deux minutes d’eau froide – plus elle est froide, mieux c’est. Il faut alterner les deux pendant 20 minutes au total, en terminant par l’eau froide.
Désintoxication pour les enfants
Il est évident qu’il est particulière délicat d’imposer une diète et une supplémentation régulière aux jeunes enfants. Les smoothies sont un excellent moyen d’introduire subtilement des superaliments et des compléments dans leur alimentation quotidienne. Le Dr Shillington suggère du curcuma, du gingembre et de petites quantités de compléments pour adultes. Il propose également un nettoyage intestinal pour enfants à base de sirop de figue, sirop de pruneau, feuille de séné, racine de gingembre, graine de fenouil, cerise sauvage, écorce d’orange, racine de rhubarbe de dinde ou écorce de cascara sagrada dans du sirop d’érable. Pour les enfants présentant des éruptions cutanées ou tout autre signe de Candida, cette formule doit être prise avec un probiotique puissant. Pour les enfants qui ne veulent pas prendre de capsules, on peut essayer des probiotiques sous formes de yaourt. On ne doit pas acheter n’importe quel yaourt. La plupart des yaourts font plus de mal que de bien. La Bio‑K par exemple, est une bactérie spécialement conçue pour voyager à travers l’acide gastrique vivante et en bonne santé.
Dosages pour les enfants
Les indications et posologies des remèdes naturels proposés pour l’usage interne sont ordinairement conçues pour des personnes adultes. Mais il y a une règle facile à appliquer qui consiste à administrer une dose proportionnelle au poids de l’enfant.
Par exemple, si un homme pèse 80 kg, le dosage adéquat pour un enfant de 10 kg sera de 10/80. On réduit la fraction et on obtient finalement 1/8. La dose de l’enfant sera 8 fois inférieure à celle de l’adulte.
Comment inverser les dommages causés par les vaccins
En plus du protocole ci‑dessus, le système endocrinien (thyroïde, glandes surrénales, etc.) et les microbes intestinaux doivent être pris en compte pour tout type de maladie grave, qu’il s’agisse de dommages causés par un vaccin ou d’un problème auto‑immun. Des probiotiques puissants et de haute qualité doivent être pris chaque jour, jusqu’à ce que tous les symptômes soient atténués. Le gluten, la caséine, les OGM, le glutamate monosodique, les ingrédients artificiels et autres toxines, y compris les ingrédients présents dans les produits cosmétiques et produits de soins corporels, doivent être complètement évités.
On peut renforcer le système immunitaire avec de l’échinacée, de l’huile d’origan, des doses élevées en vitamine C bio et des enzymes. L’échinacée de bonne qualité crée un effet anesthésique sur la langue. Ces suppléments sont particulièrement bénéfiques pour le soutien antioxydant et le soutien immunitaire, ce qui est parfait pour toute personne sujette aux infections et devant faire face à une grosse désintoxication. La cayenne, l’ail, la racine d’hydraste, les graines et la racine de bardane sont tous de puissants purificateurs du sang. Un sang pur est synonyme d’un système immunitaire plus fort.
On doit veiller à ce que les graisses soient équilibrées et que le corps ait suffisamment de vitamine D. Celle‑ci est essentielle à la guérison et à la construction d’un système immunitaire fort, et permet au corps d’assimiler correctement d’autres nutriments.
Dans de nombreux cas, les améliorations ne seront pas visibles tant que l’intestin et la thyroïde ne seront pas rétablis. Un régime alimentaire strict est essentiel. Avec des dommages liés aux vaccins et des fuites intestinales, les progrès peuvent rapidement s’inverser si on s’écarte de son régime. Le corps, qui réagit déjà aux envahisseurs étrangers et aux dommages causés par les toxines, n’a pas besoin de se battre contre une nouvelle vague de Candida, d’autres protéines étrangères et d’autres toxines qui pénètrent dans la circulation sanguine par le biais d’un intestin perméable.
Vitamines B et magnésium pour l’autisme
Le Dr Gaby rapporte les informations suivantes concernant la vitamine B6 et le magnésium :
« Dans plusieurs études, une supplémentation en vitamine B6, seule ou en association avec du magnésium, s’est avérée bénéfique pour les patients autistes. Les améliorations comprenaient une vigilance accrue, une meilleure communication et de meilleures interactions sociales, un quotient intellectuel (QI) plus élevé, moins de crises émotionnelles et moins d’automutilation. La plupart des études ont utilisé de fortes doses de pyridoxine (30 mg/kg de poids corporel par jour, jusqu’à un maximum de 1g/jour dans certaines études ; 75 à 3 000 mg/jour dans d’autres études). Cependant, une étude a rapporté des résultats positifs en utilisant une dose relativement faible de pyridoxine (0,6 mg/kg/jour) en association avec du magnésium. Lorsque le magnésium était utilisé, la posologie était de 6 à 15 mg/kg/jour. L’association de la vitamine B6 et du magnésium a semblé être plus efficace que l’un ou l’autre des nutriments seuls. Chez un petit nombre de patients dont la réponse initiale favorable à la pyridoxine s’est estompée, une amélioration a de nouveau été observée, lorsque les patients sont passés au phosphate de pyridoxal (la forme biologiquement active de la vitamine B6). Bien que le mécanisme d’action de la vitamine B6 et du magnésium ne soit pas connu, on pense que ces nutriments agissent en partie en modulant le métabolisme de la dopamine. » – Gaby, Alan R., MD. Médecine nutritionnelle
Supplémentation enzymatique pour les dommages causés par les vaccins, l’autisme et toute autre maladie
Une enzyme est une grosse molécule de protéine que l’on trouve dans tous les êtres vivants, des aliments aux humains. Les enzymes contrôlent la vitesse des réactions chimiques dans le corps. Elles sont responsables du processus chimique qui convertit les aliments en particules microscopiques ou nutriments qui composent les tissus et organes, les cheveux, la peau et les ongles. Sans enzymes, aucune activité métabolique ne peut avoir lieu. Certaines enzymes, comme celles de l’intestin, décomposent les grosses molécules en plus petites. D’autres, comme les enzymes qui fabriquent l’ADN, utilisent les petites molécules pour construire de grandes molécules complexes. Les enzymes aident également les cellules à communiquer entre elles, ce qui permet de contrôler la croissance, la vie et la mort des cellules. Les enzymes sont essentielles à la vie.
Les enzymes digestives décomposent les aliments. Les enzymes végétales décomposent les aliments dans la phase pré‑digestive avant que l’acide gastrique ne les inactive. Les enzymes métaboliques, également appelées enzymes systémiques, décomposent les protéines étrangères et la fibrine et débarrassent le sang de ses impuretés. Il faut considérer les conséquences de ce processus. Lorsque le corps est endommagé, la fibrine s’accumule et c’est un élément important du processus de guérison. Les enzymes éliminent ce tissu cicatriciel ainsi que les virus.
Lorsqu’un virus entre en contact avec une cellule humaine, son revêtement externe interagit avec la cellule, finalement le virus parvient à y pénétrer et va alors détourner le génome pour se répliquer rapidement. Mais il existe des enzymes, les enzymes protéolytiques qui consomment le revêtement extérieur des virus et les rendent définitivement inertes. Elles décomposent également les complexes immuns circulant (CIC) dans le sang. Elles améliorent l’élasticité des érythrocytes et réduisent l’agrégation des plaquettes sanguines, augmentant ainsi la fluidité du sang et sa circulation dans les tissus. Les enzymes permettent à la fois d’ éliminer les déchets et de reconstruire le corps. Mais le corps ne peut en produire qu’un nombre limité.
« Si l’organisme cesse de produire des enzymes protéolytiques ou digérant les protéines, responsables du contrôle des niveaux de fibrine, le corps meurt dans les 24 heures. Plus l’organisme reçoit d’enzymes, plus notre régime alimentaire en contient, plus nous vivons longtemps. C’est aussi simple que cela. Crise cardiaque, accident vasculaire cérébral, quelque part, d’une manière ou d’une autre, le corps cessera de fonctionner. » – Dr Tim Kelly
Les enzymes sont la fontaine de jouvence, s’il en est une. Le vieillissement semble commencer entre 27 et 35 ans, lorsque la production d’enzymes qui dissolvent les protéines commence à diminuer. Les cicatrices restent en place plus longtemps et sont plus proéminentes. Les douleurs mettent plus de temps à s’estomper, les blessures sont plus lentes à guérir et le corps se rétablit plus lentement. Plus nous vieillissons et plus nous avons besoin d’enzymes pour réparer les dommages.
Mais pour obtenir une quantité optimale d’enzyme dans notre alimentation, il faut cultiver soi‑même ses propres légumes avec les meilleures pratiques pour produire des plants denses en nutriments. Avec tout cela, ça ne sera pas encore suffisant, notre besoin en enzymes sera supérieure à ce que nous consommerons. Notre corps produit des enzymes, mais en quantité limitée. Plus nous consommons d’aliments dépourvus d’enzymes, plus nous épuisons nos réserves limitées.
Il y a deux types de compléments enzymatiques : les enzymes digestives et les enzymes systémiques. Les enzymes digestives viennent avec les aliments pour faciliter la digestion. Les aliments crus contiennent aussi des enzymes qui facilitent l’absorption et l’assimilation des aliments.
Les enzymes systémiques (enzymes pancréatiques, enzymes protéolytiques, enzymes métaboliques) sont un peu plus compliquées. Il n’est pas facile de faire passer les enzymes du tube digestif dans la circulation sanguine. Les enzymes libérées dans l’estomac aideront à digérer les aliments mais ne survivront pas à l’acide gastrique. C’est pourquoi les enzymes systémiques sont généralement proposées dans une capsule résistante aux acides. La capsule est conçue pour être libérée dans l’environnement plus alcalin du tractus intestinal. Tant que les enzymes sont prises à jeun, les résultats sont spectaculaires.
Les enzymes systémiques ont été utilisées pour traiter des problèmes et éliminer avec succès des affections telles que les blessures physiques, l’arthrite, les maladies cardiaques, le cancer, l’hypertension artérielle, l’autisme, l’herpès, le VIH, la fibromyalgie, l’asthme et bien d’autres encore. De nombreuses recherches ont été publiées à leur sujet, mais la supplémentation orale en enzymes systémiques commence tout juste à voir le jour.
Avec les enzymes systémiques, pas d’effets secondaires signalés. Les doses massives n’entraînent pas de complications ou d’effets secondaires, contrairement aux fortes doses de médicaments pharmaceutiques ou aux doses trop élevées de suppléments et d’herbes. La dose initiale, qui consiste souvent en un comprimé d’enzymes puissantes pris trois fois par jour, 45 minutes avant ou après un repas, peut être augmentée jusqu’à trois comprimés par jour tous les quelques jours, jusqu’à ce que la réponse thérapeutique souhaitée se développe. Une personne ayant pris plus de 3700 comprimés d’enzymes en une journée a souffert de diarrhée, mais cela a été attribué aux capsules, et non au contenu. Les seuls effets secondaires des enzymes elles‑mêmes seront une réduction de l’inflammation et une réduction des cellules endommagées et en décomposition, de la fibrine, des virus et d’autres protéines qui ont été introduites par une fuite intestinale ou par les propres protéines mutées du corps (ce qui se produit en cas de stress).
La supplémentation en enzymes n’est pas une solution miracle, mais avec le temps, elle donne des résultats étonnants. Il est bien d’envisager la supplémentation en enzymes systémiques pour réparer les dommages causés à l’organisme par les vaccins, les infections, les toxines ou tout ce qui peut causer des dommages. Les enzymes peuvent aider le corps à inverser les effets de l’âge. Qu’est‑ce que l’âge, sinon des dommages accumulés ?
À long terme
Comme mentionné plus haut, la plupart des personnes souffrant d’un quelconque problème de santé sont parfaitement capables de se rétablir par leur seule alimentation… et cela inclut les dommages causés par les vaccins. La question est de savoir à quel degré et si le corps a déjà compensé ou guéri de ce dommage.
L’avantage des traitements concentrés à base de plantes et de suppléments est leur capacité à accélérer le processus de guérison et de détoxification. Mais la plupart de ces remèdes ne fonctionnent pas si le régime alimentaire n’est pas correct. Plus le régime alimentaire est mauvais, plus il faudra de compléments pour compenser, jusqu’au moment où la diète est si lamentable que les compléments, au mieux, ne font que ralentir la dégradation de l’organisme.
Pour ceux qui sont très malades et qui ne peuvent pas fonctionner suffisamment bien pour suivre un régime équilibré, un protocole de supplémentation peut faire la différence entre la vie et la mort, ou alors entre une vie épuisante et la guérison.
Ces processus ne doivent pas être entravés par des médicaments visant à supprimer les symptômes. S’il n’est pas forcément judicieux d’arrêter de prendre des médicaments dans certaines circonstances, le mieux que l’on puisse espérer, même avec le programme de désintoxication et de révision de l’alimentation le plus radical (comme celui‑ci), c’est un corps qui fonctionne mieux. Mais pour être réellement en bonne santé, on ne peut pas continuer à consommer des niveaux élevés de toxines, or les produits pharmaceutiques sont surchargés de substances toxiques.
Les thérapies ci‑dessus ne s’appliquent pas à tout le monde, certaines peuvent être trop fortes pour une personne moyenne qui cherche à se désintoxiquer avec un budget limité. Mais il y a l’embarras du choix et il est possible de trouver la formule adaptée pour soi. Si on est particulièrement malade, faisons de notre mieux pour comprendre l’ensemble du processus, et intégrer autant que possible ce qui convient à notre budget et à notre santé. Quelle que soit l’affection, ce protocole peut guérir presque tout le monde, s’il est pratiqué suffisamment longtemps. Les vaccins nous endommagent sous de nombreux aspects, et une approche holistique de la guérison est essentielle pour inverser les dommages.
Les dommages multiples causés par les vaccins exigent que chaque affection ou maladie prenne son propre temps pour guérir et être éliminée du système. Lorsque le système immunitaire sera plus équilibré, il sera capable d’éliminer la toxicité. Les symptômes allergiques diminueront et les fonctions cognitives augmenteront à mesure que les ingrédients des vaccins auxquels le corps réagit seront éliminés.
Si nous sommes débordé ou si le budget est serré, il est recommandé de prendre seulement un supplément puissant d’acide undécylénique et un produit contenant un mélange d’enzymes, de probiotiques et d’oxydes de magnésium ozonés. Il faut également se focaliser sur une bonne alimentation. Bien manger est primordial, et quand il s’agit de guérison, les compléments ne sont pas très efficaces pendant longtemps, sans un régime alimentaire approprié.
Le régime alimentaire est essentiel – plus important que les compléments. Il faut manger une grande salade variée, tous les jours.
Article original sur OrganicLifestyleMagazine.com
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