Un bébé qui ne pesait que 700 grammes à la naissance a battu tous les prognostics de survie, a-t-on rapporté.
Selon le Daily Mail, Hanna, Rose, âgée de 25 ans, du Royaume-Uni, a donné naissance à un garçon, nommé George, 3 mois avant terme, en juillet 2018.
L’enfant a été mis sous respirateur artificiel quelques minutes seulement après sa naissance.
Selon le rapport, les médecins ont dit à Rose et au père, Daniel Bownes, que le bébé allait mourir après avoir contracté une méningite et une septicémie à quatre reprises. De plus, il avait reçu plus de 20 transfusions de sang.
Le bambin a maintenant 9 mois et a fait ce que certains ont décrit comme une guérison miraculeuse.
Rose a dit au Mirror : « Les médecins nous ont dit que George avait une chance sur un million de survivre et qu’il était presque impossible qu’il s’en sorte. »
« Chaque jour que nous partageons avec lui est une vraie bénédiction », dit-elle.
« J’étais convaincue qu’il allait mourir, alors c’est vraiment un miracle qu’il soit ici avec nous », a dit Rose au Mail.
À sa naissance, George a été envoyé à l’unité de soins intensifs et placé dans un « sac à sandwich en plastique » à l’intérieur d’un incubateur, a dit sa mère.
Les rapports indiquaient que George, à la naissance, ne semblait pas plus gros qu’une seringue.
Rose a confié au Daily Mail : « Il a été immédiatement opéré. On ne pouvait pas le toucher parce qu’il était né avec une peau transparente. »
Le garçon a subi une intervention chirurgicale pour une entérocolite nécrosante et souffrait d’un foie gonflé, perdant 40 % de son sang dans le processus.
En raison de sa naissance prématurée, le garçon souffrait également de septicémie et de méningite. Les médecins ont alors dit à ses parents qu’ils ne pouvaient rien faire et ont laissé entendre que sa mort était proche.
Selon le Mail, un aumônier à l’hôpital a été appelé pour donner au bambin sa dernière bénédiction.
Mais, après avoir reçu la bénédiction, les signes vitaux de George ont commencé à s’améliorer même si le personnel avait dit aux parents qu’il allait probablement mourir.
Selon le rapport, le bébé pèse maintenant 2,8 kg à 9 mois.
Mais George a toujours besoin d’une septième opération au cœur, a dit sa famille. Selon une page GoFundMe pour le garçon, « George a prouvé que tout le monde avait tort et est allé à l’encontre de tout ce que les professionnels savent et je crois qu’il va continuer à le faire. Je crois qu’avec l’aide adéquate, George prospérera, mais une intervention précoce est cruciale. »
Ses parents disent qu’ils espèrent lui donner entre 40 et 60 minutes de physiothérapie toutes les deux semaines.
Ils ont aussi dit : « Le marqueur d’infection de George était si élevé que le personnel médical n’avait jamais vu personne y survivre. Mais au fil des heures, alors que nous attendions que George soit baptisé et que ses nounous arrivent, il a commencé à montrer une légère amélioration, il luttait encore ! Le moindre espoir nous a donné une toute nouvelle force pour lutter avec lui. »
Ils ont ajouté : « Nous avons été submergés par beaucoup d’informations qui semblent toutes floues. On nous a dit qu’on allait arrêter son respirateur artificiel et que nous pourrions l’emmener dans la pièce d’à côté avec nous pour être seuls. Que nous lui choisirions des vêtements et qu’un photographe professionnel viendrait. Mon petit garçon n’a même pas encore ouvert les yeux et vu sa maman ou son papa et n’a même pas encore pleuré. »
Vous avez apprécié cet article ? Partagez-le avec vos amis et laissez-nous vos commentaires.
VIDÉO RECOMMANDÉE :
La famille pense qu’elle est en mort cérébrale.
4 ans plus tard, il se produit un miracle
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.