Ces masques défectueux avaient été commandés par le gouvernement auprès d’un fournisseur en Chine.
La Belgique avait commandé trois millions de masques FFP2 auprès d’un fournisseur chinois. Livrés le 2 avril dernier à Bierset et suite à un contrôle réalisé en laboratoire, ils se sont avérés inutilisables. Les résultats obtenus ont attesté l’absence des qualités requises pour ce type de protection, a rapporté la Radio-télévision belge de la communauté française (RTBF).
Nouvel échec pour la Belgique
Au mois de mars, cinq millions de masques chirurgicaux livrés également par la Chine avaient tous été estimés non conforme. « Ils n’offrent pas une protection suffisante », avait déclaré le 9 avril Philippe De Backer, ministre belge de l’Agenda numérique, des Télécommunications et de la Poste.
« CORONAVIRUS : CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR »
Un « lourd revers »
D’après le ministre, c’est un « lourd revers » pour la recherche de masques censés garantir une meilleure protection contre l’épidémie du virus du PCC. Face à cette succession de défauts, un procès verbal a été libellé, a indiqué la RTBF.
Le virus du PCC, connu communément comme le nouveau coronavirus, s’est déclaré à Wuhan, en Chine, vers le mois de novembre. Il s’est répandu dans le monde entier à cause du Parti communiste chinois (PCC) qui a tout fait pour le dissimuler.
Désignés de « filtres de cafés » par le quotidien belge Het Laatste Nieuws, ces masques défectueux avaient été commandés par le gouvernement auprès d’un fournisseur peu fiable.
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