Une attitude de gratitude peut vous aider à optimiser votre potentiel, en particulier si vous êtes jeune ou en début de carrière.
Il y a quelques années, une caricature parue dans un magazine montrait un homme tenant un presse‑papiers à la main, parlant aux parents d’un enfant. Apparemment, ce dernier, assis à un bureau, venait de passer un examen. L’homme tenant le presse‑papiers disait : « J’ai de bonnes et de mauvaises nouvelles. [Les résultats de] l’examen montrent que votre fils est très intelligent. Toutefois, il indique également qu’il n’apprendra jamais à écrire des messages de remerciement. Par conséquent, votre fils n’arrivera pas à grand‑chose dans la vie. » Il y a de la sagesse dans cette caricature.
Chaque jour, des occasions de remercier les personnes qui nous aident ou qui nous ont aidés s’offrent à nous. La liste est longue : il peut s’agir de nos parents, d’enseignants, de voisins, de collègues, de supérieurs, etc. Toutefois, pour différentes raisons, la majorité d’entre nous ne le faisons pas.
Une étude publiée en 2021 relevait la proportion de personnes écrivant des messages personnalisés de félicitations et/ou de remerciements. Les résultats montrent que 31 % des personnes sondées avaient écrit un message de remerciements l’année précédente, 16 % en ont écrit un au cours des cinq dernières années, 37 % n’en ont pas écrit depuis cinq ans ou plus et 15 % ont affirmé n’en avoir jamais écrit. Pourquoi écrire des messages de remerciement vous distingue des autres ? Parce que la majorité des gens ne prennent pas le temps ni ne font l’effort de le faire.
On oublie souvent la puissance de ce geste. Dans le livre à succès « 365 Thank Yous : The Year a Simple Act of Daily Gratitude Changed My Life » (365 mercis : l’année où un simple acte de gratitude au quotidien a changé ma vie, ndt.), l’auteur John Kralik raconte son expérience de découvrir le pouvoir des messages de remerciement. À 53 ans, l’auteur était au creux de la vague. Il vivait dans un petit appartement, mal chauffé l’hiver et suffocant l’été. Ses problèmes étaient trop nombreux pour être racontés. Le premier jour de la nouvelle année, au cours d’une promenade, il a soudain eu la conviction que sa vie pourrait devenir au moins tolérable si, au lieu de se concentrer sur ce qu’il n’avait pas, il trouvait un moyen d’être reconnaissant de ce qu’il avait. Il a pensé qu’écrire des messages de remerciement pourrait être le meilleur moyen d’y arriver. Il s’est fixé pour objectif d’en écrire un par jour pendant toute une année. Cela a changé sa vie et lui a apporté des bienfaits surprenants.
Plusieurs ont des histoires à raconter sur des personnes qui leur ont écrit des mots de remerciement. Voici l’une des miennes.
Il y a des années, j’ai donné une présentation devant un grand groupe de lycéens. Je ne m’attendais pas à ce que l’on me remercie, et personne ne l’a d’ailleurs fait. Deux jours plus tard, une jeune femme s’est présentée à mon bureau avec un pain qu’elle avait cuit elle‑même, entouré d’un ruban et d’une note de remerciement. Un peu démodé comme geste ? Peut‑être, mais si elle veut que je lui ouvre des portes, non seulement vais‑je les ouvrir, je le ferai de tout cœur. Je ne suis pas surpris qu’elle ait été major de sa promotion et qu’elle soit aujourd’hui une infirmière praticienne très performante.
Un dernier commentaire : ne confondez pas la gentillesse et la faiblesse. En fait, c’est tout le contraire. Les personnes peu sûres d’elles et égocentriques sont généralement ingrates envers les autres au quotidien. Les messages de remerciement bien écrits sont une source d’inspiration pour les autres.
Terence Moore, Michigan
Président retraité du MidMichigan Health System et auteur de « Lessons in Leadership and Career Survival » (Leçons de leadership et de survie dans la carrière)
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Cherchez l’approbation de Dieu, non celle de l’homme
Résistez tôt à la tentation de rechercher l’approbation des autres. Tant d’activités de notre monde sont centrées sur le désir de plaire aux autres. Le désir de renommée, d’être le premier à faire quelque chose, le temps et l’argent consacrés à notre apparence, telles une garde‑robe et une coiffure à la mode, la propension à parler un « jargon » à la mode, vouloir un emploi prestigieux, vouloir être proches de personnes influentes, etc. La liste des façons de vouloir plaire aux autres est longue. Beaucoup d’entre nous ne s’en rendent compte qu’en vieillissant. Combien est‑il préférable de commencer tôt à rechercher uniquement l’approbation de Dieu et la lumière de l’éternité passée avec Lui.
Claudia Shick, Idaho
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Vous voulez vous marier et fonder une famille heureuse ? Voici quelques conseils pour atteindre votre objectif.
Pour fonder une famille harmonieuse, il est important que la discipline du père se conjugue aux soins affectueux de la mère et travaillent main dans la main vers l’objectif de guider l’âme de leurs enfants vers le ciel.
Parlez de spiritualité à vos enfants dès leur naissance et apprenez‑leur à prier chaque jour. Lorsqu’ils approchent de l’âge des relations amoureuses, parlez‑leur du but réel de Dieu (la procréation) dans Son don d’intimité entre un homme et une femme.
Le fait d’avoir courtisé un conjoint potentiel qui avait les mêmes croyances spirituelles que vous montre que vous êtes engagés à respecter les vœux de mariage, « jusqu’à ce que la mort vous sépare ». Cela vous aidera à traverser les épreuves difficiles de la vie. (Sans engagement spirituel, les probabilités de divorce sont plus grandes, rendant encore plus nombreuses les familles et les âmes brisées).
Apprenez à vos fils à traiter les filles avec respect, même si elles‑mêmes ne l’exigent pas des autres.
Apprenez à vos filles à se respecter elles‑mêmes et à respecter leur conjoint potentiel en ne se mettant pas dans des situations provocantes.
Si vous n’êtes pas d’accord avec vos enfants, dites‑le‑leur. Ne soutenez pas une action ou un style de vie pécheur. S’ils continuent dans cette voie, agissez en conséquence et respectez votre parole. Par exemple, ne leur donnez pas la chambre et la pension gratuites, l’ordinateur ou le téléphone gratuits, ou accès à la voiture. Vous craindrez peut‑être qu’ils vous aimeront moins. Toutefois, au bout du compte, vous verrez qu’ils vous respecteront plus pour votre détermination. Surtout en réalisant que vos conseils les auront conduits sur la bonne voie.
Renseignez‑vous sur la politique de votre pays et discutez‑en avec vos enfants plus âgés. Faites‑leur remarquer qu’il n’est pas bon d’élire des politiciens influencés par ceux qui soutiennent l’enlèvement de vies innocentes par l’avortement et les comportements contre‑nature et déviants. Car ces dirigeants, une fois élus, détermineront qui vit et qui meurt, et ce qu’est un comportement normal même s’il est déviant.
Protégez, à tout prix, votre famille. Ne vous laissez pas berner par les éditoriaux insensés des médias grand public de gauche. Ils ne sont pas les experts de la vie familiale saine, pas plus que ne le sont les politiciens ou les vedettes hollywoodiennes en quête de gloire et richesse. Examinez leur vie : drogues, mariages multiples, divorces et suicides. Réfléchissez‑y. Sont‑ils de bons modèles pour votre famille ?
Nourrissez vos enfants de bonnes choses. Abreuvez‑les de lectures inspirées et inspirantes. De nos jours, les enfants se gavent sur Internet de sports, de films, de jeux et de médias sociaux, glorifiant les gratifications physiques et évacuant toute quête spirituelle.
Bonne chance et que Dieu vous bénisse dans votre nouvelle entreprise.
Rosmary Grisafe, Californie
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En tant qu’abonné à Epoch Times, je lis avec intérêt vos lettres publiées par des lecteurs qui offrent leurs conseils ou leurs expériences à la jeune génération. Voici un incident qui m’est arrivé et qui pourrait intéresser vos lecteurs.
Mon cousin est décédé.
Allan avait 77 ans lorsque son cœur s’est arrêté. Il vivait avec sa femme et sa fille à Las Vegas et je vivais à Palm Springs lorsque j’ai appris la nouvelle. Nous n’étions pas très proches, mais pour une raison quelconque, j’ai senti que je devais être présent à ses funérailles. C’était un petit service funèbre, 10 personnes dans un endroit isolé du cimetière. Je me tenais à l’arrière du petit groupe de personnes en deuil lorsque j’ai remarqué que sa fille se tenait la tête basse. Elle avait des problèmes avec sa mère à ce moment‑là, alors elle se tenait seule. Bien que je ne sois pas ouvertement religieux, j’ai senti une force dans mon dos qui me poussait vers elle, ce que j’ai fait. Puis, alors que je me tenais à côté d’elle, j’ai senti cette force, une fois de plus, qui m’a fait passer mon bras autour d’elle. À ce moment‑là, j’ai compris pourquoi j’avais fait 800 km pour assister aux funérailles de mon cousin.
Steve Lurie, Illinois
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Quels conseils aimeriez‑vous donner aux jeunes générations ?
Chers Lecteurs, si vous le souhaitez, vous pouvez aussi partager les valeurs de bien et de mal que la vie vous a apprises et transmettre le flambeau de cette expérience durement acquise aux générations futures. Nous avons le sentiment que la transmission de cette sagesse se perd au fil du temps alors qu’il s’agit d’une base morale indispensable aux générations futures pour pouvoir prospérer.
Envoyez‑nous votre expérience et vos conseils pour les jeunes générations, ainsi que votre nom et vos coordonnées à redaction@epochtimes.fr ou par courrier : Epoch Times, À nos chères futures générations, 83 rue du Château des Rentiers, 75013 Paris.
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