Pendant ses travaux, un ouvrier est tombé nez à nez avec un sac-poubelle contenant des ossements humains.
Ce lundi, un ouvrier qui poursuivait des travaux de rénovation en extérieur chez un couple domicilié à Dinard a découvert un sac-poubelle rempli d’ossements sur le toit d’un cabanon.
Il a alors téléphoné aux propriétaires de la demeure, absents pendant les travaux, pour leur demander des explications. Selon Ouest-France, le couple lui a calmement répondu qu’il devait s’agir d’un squelette en plastique.
Peu convaincu, l’ouvrier a décidé de ramener le sac en question à son patron. Celui-ci a ensuite contacté le commissariat de Saint-Malo.
Dinard. L’ouvrier découvre un squelette dans un sac-poubelle https://t.co/ggzP1JLWAk
— Ouest-France (@OuestFrance) November 19, 2019
« Nous avons eu une grosse frayeur »
Convoqués par les enquêteurs, les propriétaires du logement où les ossements furent découverts ont expliqué qu’il s’agissait bien de restes humains, avant de préciser qu’ils appartenaient à un squelette d’étude dont ils avaient oublié l’existence. Ce dernier aurait été offert à leur fils, étudiant en médecine, par un ami lui-même médecin.
Les policiers ont alors interrogé le praticien concerné, celui-ci confirmant la version donnée par le couple. En l’absence d’infraction, l’affaire a finalement été classée sans suite.
« Je vous avoue que nous avons eu une grosse frayeur », a déclaré le commissaire de Saint-Malo Guillaume Catherine. D’après Ouest-France, les ossements devraient désormais être incinérés.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.
