Aseem Malhotra, cardiologue britannique de renom, effectuera une tournée en Australie pour sensibiliser le public aux effets secondaires et aux éventuelles complications cardiovasculaires liés au vaccin contre le Covid-19.
« Les autorités médicales et réglementaires ont soutenu des politiques contraires à l’éthique, coercitives et désinformatrices, sapant les principes du consentement informé », a-t-il déclaré dans un communiqué.
« Ces actions regrettables démontrent des dégâts de la désinformation médicale – c’est la pointe de l’iceberg de mortalité, car les médicaments prescrits seraient la troisième cause de décès dans le monde. »
La population australienne est l’une des plus vaccinées au monde depuis que les autorités fédérales et des États ont mis en œuvre une série de mesures visant à obliger les gens à être vaccinés.
Il s’agit notamment de faire de la vaccination une condition préalable à l’emploi, à l’entrée dans les magasins et les espaces publics, et même au franchissement des frontières intérieures entre les États.
Les gouvernements font aujourd’hui face aux conséquences d’une intervention aussi grave dans la société : les Australiens ont déposé des demandes d’indemnisation pour des dommages causés par les vaccins.
Le Dr Malhotra demande que toutes injections des vaccins Covid-19 à ARNm soient suspendues jusqu’à ce que leurs effets secondaires fassent l’objet d’une enquête approfondie.
« Il est de notre devoir éthique d’informer les gens de ces risques et de veiller à ce qu’ils disposent des informations nécessaires pour prendre des décisions éclairées concernant leur santé », a-t-il expliqué.
Il effectuera une tournée dans les grandes villes australiennes à partir du 27 mai et bénéficie du soutien du syndicat des médecins alternatifs, de l’Australian Medical Professionals Society et de TNT Radio.
Les préoccupations cardiaques et les sociétés pharmaceutiques
Le Dr Malhotra a déjà mis en garde contre la protéine spike du vaccin, qui se propage à tous les organes vitaux du patient et qui a « soit un effet toxique direct sur les tissus du cœur, soit une réaction auto-immune ».
« L’aspect le plus inquiétant, de mon point de vue de cardiologue, est qu’il provoque une accélération de la maladie coronarienne », a-t-il précisé lors de l’émission American Thought Leaders d’Epoch TV.
« Cela signifie qu’il y aura des effets tardifs. Par exemple, mon père a eu un arrêt cardiaque six mois après avoir reçu la deuxième dose du vaccin.
« De mon point de vue, avec le recul, cela a été très probablement la cause de son arrêt cardiaque, car cela a accéléré quelque chose qui était relativement bénin et qui est devenu très grave en l’espace de quelques mois. C’est ce qui l’a conduit à l’arrêt cardiaque. »
Le cardiologue britannique a également demandé plus de transparence sur l’efficacité des vaccins.
« Il s’agit d’un aveuglement volontaire de la part de l’establishment médical et des gouvernements. Ils ferment essentiellement les yeux sur la vérité concernant les vaccins du fait qu’ils veulent éviter les conflits, protéger leur prestige et réduire l’anxiété », a-t-il ajouté.
« Il ne faut pas non plus sous-estimer le pouvoir de ces multinationales, en l’occurrence les grandes sociétés pharmaceutiques, qui exercent un contrôle tellement important sur les gouvernements, les corps médicaux et les organismes de réglementation que personne ne veut s’en prendre à elles. C’est un gros problème. »
Malgré ces inquiétudes, les gouvernements assument la responsabilité liée aux vaccins Covid-19, car cela est généralement une condition préalable à la conclusion de contrats avec de grandes sociétés pharmaceutiques pour la création de vaccins à utilisation de masse.
La censure médicale s’estompe
En Australie, les discours publics sur les torts causés par les vaccins deviennent de plus en plus courants. Toutefois, pendant les années de pandémie, cette question était taboue et causait souvent des problèmes aux médecins.
Par exemple, le Dr William Bay, de North Brisbane, a été suspendu après avoir interrompu une conférence nationale de l’Australian Medical Association en juillet 2022 pour dire aux participants d’arrêter d’imposer les vaccins aux gens.
En septembre 2021, le Dr Paul Oosterhuis, anesthésiste, a été suspendu après que deux « plaintes anonymes » ont été déposées concernant son activité sur les réseaux sociaux où il remettait en question l’efficacité des confinements et des tests PCR.
En juin 2022, une étudiante en soins infirmiers a réussi à faire annuler la décision de son professeur d’université de la suspendre après qu’elle a exprimé des doutes sur le vaccin au cours d’une conversation informelle lors d’un stage.
« Remettre en question les preuves scientifiques sur l’innocuité d’un vaccin, pour autant que cela soit fait de manière rationnelle, ne peut guère, voire jamais, être considéré comme une infraction [au Code de conduite des infirmières]. Il en va de même pour l’évocation de la possibilité d’effets à long terme ou de la possibilité d’effets indésirables dans certaines situations cliniques », a écrit le juge Guy Parker dans son jugement.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.