Comment la conscience ouvre des portes vers des dimensions supérieures

De nombreuses recherches, notamment en médecine, en psychologie périnatale et en physique, suggèrent que notre conscience est reliée à des dimensions supérieures

Par Yuhong Dong MD, Ph.D. et Makaï Albert
3 février 2025 21:18 Mis à jour: 4 février 2025 19:03

Cette série d’articles se penche sur les recherches menées par des médecins renommés pour explorer des questions profondes sur la conscience, l’existence et ce qui peut se trouver au-delà.

Le Dr Eben Alexander était au sommet de sa carrière de neurochirurgien. Titulaire d’un doctorat en médecine, il pensait comprendre la conscience et le cerveau. Cependant, le 10 novembre 2008, une infection bactérienne rare et grave a attaqué son cerveau, remettant en question tout ce qu’il croyait savoir.

Il est tombé dans le coma et, sept jours plus tard, s’est réveillé totalement rétabli. Pourtant, pendant son sommeil, son esprit n’est pas resté inactif. Il se souvient que sa conscience était partie dans une autre dimension, un endroit peuplé de nuages, d’êtres chatoyants et de paysages éthérés.

« Pendant ce temps-là, je me trouvais au milieu des nuages. De gros nuages gonflés blanc-rose qui se détachaient nettement sur le ciel d’un bleu-noir profond. Au-dessus des nuages – infiniment plus haut – des colonies de sphères translucides, des êtres scintillants parsemant le ciel et laissant derrière eux de longues traînées, comme d’immenses serpentins », écrit le Dr Alexander dans son livre A Proof of Heaven (La Preuve du Paradis).

« J’ai été témoin de tout ce royaume dans toute sa majesté », a raconté le Dr Alexander lors d’un entretien avec Epoch Times. « Bien que je ne sache pas où je me trouvais ni même ce que j’étais, j’étais absolument sûr d’une chose : cet endroit dans lequel je m’étais soudainement retrouvé était totalement réel », a-t-il déclaré.

De même, le Dr Sam Parnia, médecin et chercheur scientifique, a observé que 7 % des patients réanimés ont raconté s’être rendus dans une dimension surnaturelle au cours de leur expérience de mort imminente (EMI) – une expérience que les gens vivent parfois au seuil de la mort et dont ils peuvent se souvenir après leur rétablissement. Par ailleurs, le Dr Pim van Lommel, cardiologue aux Pays-Bas, a rapporté que 29 % des personnes ayant vécu une expérience de mort imminente décrivent avoir pénétré dans un vaste et magnifique monde au-delà de notre réalité physique.

(Illustration Epoch Times)

Ces éléments communs ont incité les experts à débattre de l’origine de la conscience. Notre conscience peut-elle être liée à une dimension imperceptible à l’œil humain et y voyager ? Alors que les croyants affirment qu’ils ont toujours eu des réponses, les médecins continuent de chercher et les physiciens affirment qu’ils sont sur le point de trouver la réponse.

Dimensions multiples

Les physiciens reconnaissent qu’il peut exister de nombreuses dimensions. La physique moderne considère le concept d’espace multidimensionnel et d’univers parallèles comme une idée scientifique sérieuse.

Les principales théories sont la théorie des cordes et la théorie M. La théorie des cordes est un cadre théorique dans lequel les éléments fondamentaux de l’univers ne sont pas de simples particules, mais de minuscules filaments vibrants, ou « cordes ».

Imaginons que l’on analyse une pomme. En l’agrandissant, on découvre des couches de structure – allant en descendant – de cellules, de molécules et d’atomes. Les théories conventionnelles s’arrêtent généralement aux particules subatomiques. La théorie des cordes revendique que les particules subatomiques infiniment petites sont en fait des brins d’énergie qui vibrent selon différents modèles, un peu comme les cordes d’un violon. Chaque vibration distincte produit des particules uniques, créant une symphonie cosmique qui constitue toute la matière.

La théorie des cordes se voient acceptées comme crédibles parce qu’elles fournissent un cadre permettant d’unifier les forces fondamentales de la Nature – la gravité, la force électromagnétique et la force nucléaire – en une seule théorie cohérente. Toutefois, elle suppose un univers comportant au moins 10 dimensions, ce qui fait partie intégrante de sa formulation et de sa cohérence mathématique.

Dans le même ordre d’idées, la théorie M est un concept de physique qui combine différentes théories sur des cordes minuscules, censées constituer la trame de l’univers. Elle suggère 11 dimensions au lieu des 4 que nous connaissons (3 dimensions spatiales – largeur, hauteur et profondeur – et 1 dimension temporelle). La théorie M vise à expliquer comment les forces de la Nature, y compris la gravité, fonctionnent ensemble dans un cadre unique, ce qui en fait une « théorie du tout » potentielle.

Bien que les théories des cordes et M soient des cadres mathématiques riches et complexes qui permettent d’expliquer certains aspects de la physique des particules et de la gravité, elles n’ont pas de prédictions empiriquement vérifiables.

Néanmoins, dans l’ensemble, ces phénomènes ouvrent la voie à des idées sur les multidimensions. D’autres dimensions, bien qu’invisibles, peuvent exister simultanément parmi nous.

Au-delà du cadre du tableau

John Burke, ingénieur diplômé et auteur de plusieurs livres sur les EMI, propose une analogie : imaginons que nous vivions à l’intérieur d’un tableau plat et bidimensionnel en noir et blanc. Dans un tel scénario, nous ne ferions l’expérience que de la longueur et de la largeur – en haut et en bas et d’un côté à l’autre – mais pas de la profondeur.

« Nous ne pourrions même pas concevoir son existence », a-t-il déclaré lors d’une interview accordée à Epoch Times.

John Burke a suggéré que les EMI pourraient être comme si notre conscience bidimensionnelle se détachait de cette peinture plate et entrait dans un monde tridimensionnel – une sphère qui a toujours existé au-delà de notre perception. De ce nouveau point de vue, nous pourrions regarder notre monde plat et le comprendre comme faisant partie d’une réalité dimensionnelle plus vaste.

Lorsque notre conscience quitte le corps, elle entre probablement dans ces espaces plus vastes et multidimensionnels, a déclaré à Epoch Times Michael Pravica, titulaire d’un doctorat en physique de la matière condensée de l’université de Harvard et professeur à l’université du Nevada, à Las Vegas.

Le tunnel

Les personnes ayant vécu une expérience de mort imminente décrivent souvent leur passage dans une étendue semblable à un tunnel, avec une lumière au bout, avant d’entrer dans l’autre dimension.

Ned Dougherty, ancien directeur de l’Association internationale pour les études sur la mort imminente, a raconté son expérience personnelle dans son livre Fast Lane to Heaven (Voie express pour le paradis). Il y explique qu’après avoir perdu la conscience physique, il a été attiré par un immense tunnel. À l’ouverture lointaine du tunnel, il a vu un autre univers.

« J’ai réfléchi à la raison d’être de ce tunnel. Il semblait s’étendre de la Terre à l’univers sur une distance mesurée en années-lumière », écrit Ned Dougherty.

Il est intéressant de noter que les tunnels décrits par les personnes ayant vécu une expérience de mort imminente ressemblent étrangement à un concept exploré dans la théorie des cordes, où des trous de ver relient différentes dimensions.

En outre, comme nous l’avons vu dans la première partie de cette série, le physicien Roger Penrose et l’anesthésiste Stuart Hameroff ont proposé que les microtubules du cerveau puissent servir de récepteurs quantiques de la conscience. Ces microtubules ont également une structure unique qui s’apparente à des objets ressemblant à des tunnels.

Dans une étude publiée en 2022 dans les Annales de l’Académie des sciences de New York, le Dr Sam Parnia et une équipe d’experts médicaux d’universités renommées ont fourni le premier consensus médical complet documentant l’existence des EMI.

(Illustration Epoch Times)

L’équipe a notamment identifié les expériences dans les tunnels comme l’une des principales caractéristiques des EMI.

Selon l’étude, le tunnel semble être une connexion avec une autre dimension, où les personnes rapportent avoir vu des êtres magnifiques et lumineux, et revoir défiler leur vie entière d’une manière qui n’est pas limitée par le temps – un phénomène appelé « révision » ou « revue » de la vie (life reviews en anglais).

Une « vie entière » intemporelle

Sur les 617 expériences de mort imminente recueillies par la Near-Death Experience Research Foundation et publiées dans une étude de 2014, 14 % des personnes ayant vécu une expérience de mort imminente ont fait l’expérience de revoir défiler leur vie. Cette expérience leur a donné l’impression de regarder un film stéréoscopique de leur vie.

Dans l’ensemble, 50 % des personnes ayant vécu une expérience de mort imminente lors du tremblement de terre de Tangshan en 1976 auraient fait l’expérience de revoir défiler leur vie.

Selon Bernard Carr, professeur émérite de mathématiques et d’astronomie à l’université Queen Mary de Londres, de nombreux éléments des EMI, tels que le phénomène des tunnels, la lumière intense et les bilans de vie, correspondent à l’idée d’une transition à travers des dimensions supérieures ou d’une interaction avec elles. Il interprète ces expériences non pas comme des hallucinations ou des phénomènes générés par le cerveau, mais comme des aperçus de la véritable nature multidimensionnelle de la réalité.

Dans son livre Evidence of the Afterlife (Les Preuves de la vie après la mort), le Dr Jeffery Long, radio-oncologue et chercheur qui étudie les EMI depuis plus de 25 ans, relate le cas d’un homme nommé Roger qui revenait de Québec lorsqu’il a vécu une expérience extracorporelle au cours d’un accident de voiture.

« J’ai alors commencé à voir toute ma vie se dérouler devant moi comme un film projeté sur un écran, de l’enfance à l’âge adulte. C’était si réel ! » se souvient Roger.

Selon lui, l’expérience était plus réaliste qu’un film en 3D, car il pouvait ressentir les sentiments des personnes qu’il avait côtoyées au fil des ans et les émotions, bonnes ou mauvaises, qu’il leur avait fait ressentir.

Les personnes qui revoient défiler leur vie au cours d’une expérience de mort imminente le racontent souvent avec un profond sentiment de réalisme. Il s’agit notamment de revivre des événements oubliés depuis longtemps, dont l’existence est souvent confirmée, et de comprendre profondément les pensées et les sentiments d’autrui lors d’interactions passées.

Selon une étude publiée dans Missouri Medicine, ces récits de vie sont toujours exacts.

Les revues de vie semblent accéder à une dimension où tous les événements sont enregistrés dans leur intégralité et où le temps s’écoule différemment, ce qui permet à la personne de revoir instantanément l’ensemble de sa vie.

Le livre Lessons From the Light (Leçons de la Lumière), coécrit par Kenneth Ring, professeur émérite de psychologie à l’université du Connecticut, qui a publié près de 100 articles sur les EMI, relate le cas d’un homme qui a déclaré avoir revécu tous les événements des 22 années de sa vie.

« La lumière m’a montré chaque seconde de toutes ces années, avec des détails précis, dans ce qui semblait n’être qu’un instant », a-t-il déclaré.

« Il s’agit d’une reviviscence des événements, pas seulement d’un souvenir des événements », explique le Dr Alexander. Il explique qu’au cours de l’expérience, si on a agi de manière égoïste envers les autres au cours de sa vie, on revit ces événements, mais cette fois-ci, du côté des personnes qui ont connu la souffrance infligée.

Il pense que c’est de là que vient le concept d’« enfer » : ceux qui ont infligé de la douleur et de la souffrance à autrui au cours de leur vie devront affronter et ressentir cette même douleur lors de la révision de leur vie. Cela devrait inciter les gens à réaliser que « nous sommes tous dans le même bateau, que nous devons prendre soin les uns des autres et nous entendre », a-t-il déclaré.

Souvenirs avant la naissance

Comme les expériences de mort imminente suggèrent des preuves de l’existence d’autres dimensions, les études sur les mémoires prénatales ont également donné lieu à des découvertes intrigantes.

Le Dr Akira Ikegawa est obstétricien-gynécologue au Japon. Entre 2002 et 2003, il a mené une enquête auprès de 3061 couples parent-enfant à Nagano, au Japon. Ses recherches sur les souvenirs prénataux visaient à fournir des lignes directrices pour les soins et l’éducation prénataux. Au cours de ses recherches, il a interrogé de nombreux enfants et parents dans tout le Japon, recueillant des rapports sur les souvenirs antérieurs à la naissance. Il a découvert que 33 % des enfants interrogés se souvenaient d’avoir été dans l’utérus avant leur naissance, tandis que 20,7 % se souvenaient de leur expérience de la naissance. La plupart des enfants ayant des souvenirs étaient âgés de 2 à 3 ans, les souvenirs semblant s’estomper avec le temps, pratiquement aucun n’ayant été rapporté après 6 ans.

À sa grande surprise, un thème récurrent dans les souvenirs était que les enfants décrivaient venir d’un endroit « au-dessus des nuages colorés », où ils coexistaient avec des anges et des fées.

Le Dr Ikegawa a consigné ces résultats dans ses livres de recherche, tels que When I See My Mom on the Clouds (Quand je vois ma Maman sur les nuages).

Les enfants se souviennent d’avoir été sur un nuage dans une dimension supérieure et d’avoir coexisté avec des anges et des fées. Lorsqu’ils retrouvaient leur mère, ils quittaient les nuages et s’envolaient dans le ventre de leur mère.

Par exemple, un garçon nommé Yuichi avait trois ans lorsqu’il a regardé la photo de mariage de ses parents et a dit à sa mère : « Je la regardais depuis le Ciel. »

Le garçon a ajouté qu’il avait vu sa mère et son père passer du temps à la plage à cette époque. Sa mère a confirmé qu’après la cérémonie de mariage, ils étaient allés à la plage.

Une jeune fille nommée Natsumi a raconté qu’avant sa naissance, elle était l’un des angelots qui volaient au-dessus des nuages et cherchaient leur future mère.

« Ils étaient six, dont moi », dit-elle. « La mère que j’ai vue à l’époque marchait sur le trottoir, vêtue d’une robe à fond bleu marine avec un motif de gouttes d’eau blanches. » La mère de Natsumi a confirmé qu’elle avait bien une robe de grossesse avec ce motif et cette couleur.

Dimensions supérieures

Le Dr Peter T. Walling a déclaré à Epoch Times que pour vraiment comprendre la conscience humaine, « nous devons envisager des dimensions supérieures ».

De même, le Dr Pravica soutient l’idée que l’étude des dimensions supérieures est un moyen raisonnable de comprendre la conscience.

« Je peux expliquer à peu près tout dans cet univers, à une exception près : la conscience. » Il précise que si les principes physiques peuvent décrire une grande partie de notre réalité, ils ne parviennent pas à expliquer notre conscience simultanée du passé, du présent et de l’avenir.

Selon le Dr Pravica, nous pouvons également comprendre la multidimensionnalité par une autre approche.

« L’esprit est le terrain de jeu de l’infini », a déclaré le Dr Pravica à Epoch Times. « Notre capacité à conceptualiser des dimensions supérieures – au-delà des quatre que nous connaissons – suggère leur existence. Si nous pouvons penser à ces dimensions, elles ont probablement une base dans la réalité, même si nous ne pouvons pas les percevoir directement. »

Le Dr Pravica soutient que nous pouvons sortir des sentiers battus en matière de multidimensionnalité grâce à des approches interdisciplinaires, notamment les mathématiques, la philosophie et la contemplation.

Bien que la discussion puisse sembler purement philosophique, un type particulier de mesure empirique du cerveau suggère un lien entre la conscience et les dimensions supérieures.

Les ondes gamma

L’électroencéphalogramme (EEG) du cerveau humain comporte cinq types d’ondes, dont les ondes gamma ont la fréquence la plus rapide (jusqu’à 32-100 Hz) et l’amplitude la plus faible.

Les ondes gamma sont associées à des fonctions cognitives de haut niveau, notamment la perception, la résolution de problèmes et la conscience. Elles apparaissent souvent lorsqu’une personne se trouve dans un état de grande concentration, de paix mentale profonde et de tranquillité.

Une étude publiée dans PNAS par Jimo Borjigin, professeur associé au département de neurologie de l’école de médecine de l’université du Michigan, fait état d’une augmentation inattendue d’ondes gamma dans le cerveau mourant de deux patients – un événement qui s’est produit après l’arrêt de l’assistance respiratoire.

Les deux patients présentaient notamment des bouffées d’activité cérébrale dans différentes gammes de fréquences dans une zone spécifique située à l’arrière du cerveau, dont on pense qu’elle est essentielle à notre conscience.

(Illustration Epoch Times)

Cependant, l’origine de ces ondes gamma ne peut être expliquée par l’activité cérébrale, car le corps des patients était en train de mourir et leur cerveau était hypoxique, c’est-à-dire privé d’oxygène.

Selon le Dr Alexander, le cerveau « sert d’émetteur-récepteur », recevant des signaux d’une autre dimension à laquelle la conscience est connectée. Il est plausible que l’augmentation d’ondes gamma observée lorsque les gens meurent indique un changement dans la dimension à laquelle la conscience est liée.

Les ondes gamma sont fréquentes chez les musiciens talentueux, les athlètes de haut niveau et d’autres personnes très performantes. Des études ont également montré que les personnes qui pratiquent la méditation sur le long-terme présentent beaucoup plus d’ondes gamma dominantes dans leur EEG cérébral.

Selon la théorie des microtubules de Stuart Hameroff, les informations liées à la conscience sont transmises à partir d’un domaine quantique à des fréquences bien plus élevées que les rayons gamma.

La « maison » céleste

Dans les trois articles précédents de cette série, nous avons présenté un grand nombre de recherches biomédicales modernes sur des personnes vivant avec un minimum de matière cérébrale, des expériences de mort imminente et des souvenirs de vies antérieures, suggérant que notre cerveau n’est pas une condition préalable à notre conscience et que la conscience est non-locale, non-physique et continue.

Tous ces rapports et études offrent des indications précieuses sur l’origine de la conscience, qui semble être intimement liée à une destination supérieure.

Dans l’étude de 2022 publiée dans les Annales de l’Académie des sciences de New York, outre le tunnel et l’examen de la vie, de nombreuses personnes ayant vécu une EMI ont déclaré être rentrées « chez elles » – un lieu souvent décrit comme ayant des entités célestes et des paysages célestes.

« Je retournais à mon origine et à l’origine de tout », a déclaré un participant à l’étude.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.


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1re partie

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