Un nouveau patient originaire de l’Oise a perdu la vie au centre hospitalier de Compiègne-Noyon ces derniers jours. Après avoir annoncé 2 nouveaux décès, le maire de Compiègne a corrigé ses déclarations, assurant que le test de la seconde personne au COVID-19 était revenu négatif.
Une semaine après la mort d’un professeur originaire de Crépy-en-Valois dans l’Oise, un nouveau patient a perdu la vie, infecté par le coronavirus. « Il s’agit d’une personne âgée qui souffrait de plusieurs autres pathologies », a confirmé le maire de Compiègne à BFMTV.
Le maire de Compiègne revient sur ses déclarations: « En fait il n’y a qu’un nouveau cas de décès » dans l’Oise du fait du coronavirus pic.twitter.com/rrcUc5Oyx1
— BFMTV (@BFMTV) March 2, 2020
« Ce lundi, selon le dernier point d’information que j’ai pu avoir, il y a eu à l’hôpital de Compiègne un décès supplémentaire s’ajoutant au premier, celui de l’enseignant de Crépy-en-Valois », confirme Philippe Marini, le maire de la cité impériale et président du conseil de surveillance du centre hospitalier.
Selon des sources concordantes, la personne est originaire de Crépy-en-Valois (Oise), où travaillait le professeur de technologie de 60 ans décédé dans la nuit du 25 au 26 février, à la Pitié-Salpêtrière à Paris. M. Marini a également précisé que le quinquagénaire hospitalisé à Amiens était « toujours en train de lutter contre la mort au CHU d’Amiens », a précisé l’élu.
Des consultations médicales d’évaluation du risque de contamination au coronavirus des adolescents et membres du personnel de l’établissement où travaillait cet enseignant, le collège Jean de la Fontaine de Crépy-en-Valois, ont débuté lundi matin.
Il s’agit donc du 3e décès apparenté au coronavirus en France. Un touriste chinois de 80 ans est mort le 14 février. Son décès, annoncé le lendemain, avait été le tout premier officiellement enregistré en Europe. Le seconde personne décédée était le professeur de technologie de 60 ans décédé dans la nuit du 25 au 26 février, à la Pitié-Salpêtrière à Paris et qui a passé 3 h aux urgences du centre hospitalier de Compiègne-Noyon.
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