La divulgation d’une partie des 41.000 heures de vidéos du 6 janvier 2021, dissimulées au public pendant plus de deux ans, a déclenché un nouveau débat national aux États‑Unis sur l’ampleur de tout ce qui est encore ignoré concernant l’incursion du Capitole.
L’animateur de Fox News Tucker Carlson a obtenu du président de la Chambre des représentants Kevin McCarthy (Parti républicain‑Californie) un accès exclusif à des vidéos de sécurité du Capitole et à d’autres séquences, pour la plupart dissimulées au public.
Si les images diffusées lors de la première émission spéciale de Tucker Carlson le 6 mars constituent une information véritable, le narratif dominant sur le 6 janvier est en passe de s’effondrer. Parallèlement, la liste des interrogations troublantes sur ce qu’impliquent les événements du 6 janvier ne cesse de s’allonger.
Grâce aux médias, le public a eu un accès limité à ce qui représente l’équivalent en durée à 4,7 ans d’images [une année équivaut à 8760 heures] capturées par les caméras de sécurité, les caméras corporelles des policiers et les dizaines de milliers de manifestants le 6 janvier.
Une grande partie de ces vidéos ont été scellées par une ordonnance de protection judiciaire. Il n’est pas certain que le Congrès, en tant que dépositaire des vidéos de sécurité de la police du Capitole, ait fourni l’ensemble de ses vidéos au département de la Justice. Pendant plus d’un an, les procureurs ont fait référence à seulement 14.000 heures d’images.
Les émissions spéciales de Tucker Carlson ont été diffusées les 6 et 7 mars et elles ont été très suivies. Cela faisait longtemps déjà que les avocats en charge de défendre divers accusés du 6 janvier se plaignaient que les vidéos et d’autres preuves n’avaient pas été divulguées. C’est pourtant ce qu’exigeaient les arrêts de la Cour suprême.
Avec les révélations de Tucker Carlson sur le « Chaman de QAnon », Jacob Chansley, et le mystérieux Ray Epps, deux grandes figures du 6 janvier, les protestations des avocats de la défense concernant les preuves à décharge vont probablement se multiplier dans les semaines et les mois à venir.
Puisque le 6 janvier a sans doute été l’événement le plus photographié et le plus filmé de l’histoire, la vérité sur cette journée devrait être facile à établir.
Cependant, l’énorme quantité de preuves numériques a été étroitement contrôlée, voire manipulée, avec pour conséquence un effet considérable sur l’opinion publique. L’accès public illimité à l’ensemble des vidéos – s’il est accordé – fragilisera encore tout ce qui a été mis en place grâce au narratif des grands médias et creusera le clivage politique aux États‑Unis.
Ce qui suit est un aperçu des très nombreux enjeux sur lesquels les 41.000 heures de vidéos auront très probablement un impact.
Échec du commandement lors de l’évacuation
L’évacuation du Sénat et de la Chambre des représentants le 6 janvier est peut‑être l’exemple le plus clair de la façon dont une vidéo de sécurité peut permettre une meilleure analyse d’une situation jugée critique.
Le 7 mars, dans sa deuxième émission spéciale, Tucker Carlson relate le témoignage du lieutenant Tarik Johnson, de la police du Capitole. Celui‑ci explique que le 6 janvier, le chef adjoint de la police du Capitole, Yogananda Pittman, l’a laissé sans aucune instruction.
Après avoir demandé par radio l’autorisation d’évacuer le Sénat, Tarik Johnson n’a reçu aucune réponse. Même après que le répartiteur de l’USCP (United States Capitol Police) a répété l’appel de Johnson, le centre de commandement est resté silencieux.
Le lieutenant Johnson a donc continué ce qu’il avait à faire et dirigé l’évacuation de la Chambre des représentants. Par radio, il a annoncé qu’il était prêt à en assumer les conséquences et à accepter les mesures disciplinaires qui s’imposaient pour avoir agi de son propre chef. L’émission « Tucker Carlson Tonight » s’appuie en partie sur un article d’investigation d’Epoch Times, qui a rapporté l’histoire du lieutenant Johnson en janvier.
« Je n’ai reçu aucune réponse de qui que ce soit du centre de commandement », a expliqué le lieutenant Johnson à Epoch Times. « Avant même de lancer l’évacuation, j’ai indiqué clairement : ‘Il est temps de penser à faire sortir les gens avant que ce ne soit trop tard.’ »
« Je n’ai entendu aucune réponse. J’ai alors demandé l’autorisation d’évacuer. Je n’ai entendu aucune réponse. »
Le silence du centre de commandement lui a fait perdre un temps précieux, un temps qui aurait pu empêcher la mort par balle de la manifestante Ashli Babbitt vers 14h45.
Tarik Khalid Johnson s’est fait connaître de la plupart des Américains comme le lieutenant de police du Capitole qui portait une casquette rouge vif « Make America Great Again » (MAGA) alors qu’il travaillait avec deux Oath Keepers pour sauver 16 agents de police de l’USCP piégés dans le hall à l’intérieur des énormes Columbus Doors [portes situées sur la façade est du Capitole].
Le lieutenant Johnson a été suspendu par l’USCP et accusé d’avoir violé le règlement. On lui a notamment reproché une conduite inappropriée pour avoir porté la casquette de Trump et collaboré avec les Oath Keepers pour sauver des agents. Il estime que ces accusations surviennent parce qu’il a dû prendre des décisions du ressort de ses supérieurs dans l’urgence pour évacuer et gérer une situation critique. Selon lui, cette réalité est embarrassante pour le chef adjoint Yogananda Pittman.
Les actions de la police soulèvent des questions
Le lieutenant Carlson a diffusé une vidéo de sécurité montrant la police du Capitole escortant le Chaman QAnon autour du bâtiment et le laissant entrer dans le Sénat. Il a alors pris des photos dans les tribunes et prononcé un discours.
De nombreux autres aspects ont déjà été examinés et critiqués, notamment la présence de policiers en civil et le comportement étrange de la police.
L’exemple le plus frappant est probablement celui de l’agent de la police métropolitaine (MPD) Daniel Thau avec tout type d’armes à disposition sur la façade ouest du Capitole.
Les images de la caméra corporelle de plusieurs policiers de la MPD montrent Daniel Thau faire tomber au moins quatre manifestants avec un taser, lancer un nombre incalculable de munitions explosives dans la foule très dense, diriger un pistolet de pulvérisation de poivre sous le vent, de sorte que le poivre revient droit sur ses équipiers, et tirer une balle de défense 40 mm vers la foule.
Sa propre caméra corporelle le montre se précipitant vers un autre officier sous l’échafaudage de l’inauguration et criant : « Nous avons besoin de plus de munitions *** ! » [voir vidéo ici, 12e minute]
Daniel Thau a probablement été le policier le plus actif pour tester la « tolérance à la douleur » de la foule. Il a finalement conclu que cette stratégie ne fonctionnait pas. Il a déclaré à un autre policier que cela revenait à « tirer sur des zombies » en ajoutant : « Nous les rendons plus nombreux en leur tirant dessus. »
L’usage de la force par la police est devenu un sujet brûlant qui a donné lieu à beaucoup de discussions, du moins dans l’opinion publique. La police métropolitaine a affirmé que tous ses recours à la force le 6 janvier étaient justifiés.
L’ancien officier Stan Kephart, désormais consultant spécialisé dans les pratiques policières et notamment le recours à la force a commenté le documentaire d’Epoch Times de juillet 2022 intitulé « La véritable histoire du 6 janvier ». Il n’est pas de cet avis. Selon lui, les grenades pour contrôler les foules, les balles en caoutchouc, balles de défense, ainsi que les produits chimiques ont été utilisés à mauvais escient par la police.
Une grenade lacrymogène lancée par l’officier de police Rich Khoury à la demande de Daniel Thau a mal fonctionné et a atterri au milieu de ses supérieurs et des agents de police. Le nuage de gaz qui en a résulté a fait fuir les policiers, affaiblissant la rangée de police voisine.
Presque au même moment, l’agent Anthony Alioto lançait une cartouche à charge CS dans la foule depuis une position en hauteur. Un manifestant l’a renvoyée juste à temps avant qu’elle ne libère sa charge d’irritant chimique. Cet acte a poussé les policiers à entrer dans le Capitole et a conduit la foule à monter les escaliers menant à la terrasse inférieure ouest.
Mark Griffin, voilà un homme qui sait fort bien ce qui s’est passé. Il vit à Canadensis, en Pennsylvanie. Il a été touché par une balle de 37 mm presque à bout portant dans l’après‑midi du 6 janvier.
Mark Griffin se tenait au niveau des barricades de la police sur le front ouest, expliquant à un jeune officier du MPD pourquoi lui et tant d’autres étaient venus à Washington. Il a ensuite été projeté au sol par une balle qui l’a touché au‑dessus de son genou gauche, lui fendant le fémur et nécessitant des interventions chirurgicales qui, d’après son témoignage, lui ont coûté 250.000 dollars.
« Je suis tombé et quelques personnes m’ont aidé à me relever », a expliqué Mark Griffin à Epoch Times. « Je n’avais aucune idée de l’ampleur de ma blessure. »
Les balles conçues pour le contrôle des foules ne sont généralement pas destinées à une utilisation rapprochée. Elles ne doivent jamais être tirées directement sur une personne, explique Stan Kephart. Selon les mises en garde des fabricants, le fait de tirer à proximité de personnes peut entraîner des blessures graves, voire mortelles.
Mark Griffin a déclaré qu’il espérait que la diffusion d’une vidéo de surveillance de l’extérieur du Capitole permettrait d’identifier le policier qui a tiré pour lui briser la jambe.
Ce même jour, un autre manifestant, Derrick Vargo grimpait sur une balustrade pour tenter d’accrocher un drapeau de Donald Trump sur le côté d’un escalier. Il a esquivé les coups de matraque d’un policier, mais lorsqu’il s’est relevé, un motard de la police du Capitole l’a poussé pour le jeter dans le vide.
« Il sait parfaitement où il se trouve dans ce bâtiment du Capitole. Vous savez, il travaille ici », a déclaré Derrick Vargo à Epoch Times. « Ce n’est pas un simple citoyen. Il travaille ici. Il connait parfaitement la hauteur de la balustrade. Il ne m’a pas poussé d’un bras, mais des deux. Cela signifie qu’il voulait me dégager. C’était complètement intentionnel. »
Derrick Vargo a souffert d’une fracture de la cheville et d’importantes blessures au milieu du pied qui ont nécessité plusieurs interventions chirurgicales. Les chirurgiens ont utilisé une vis pour maintenir la cheville fracturée. Des plaques et des vis ont été utilisées pour réparer deux orteils et les os du milieu du pied qui avaient subi une fracture de Lisfranc et une dislocation.
Des agents fédéraux ont‑ils été impliqués ?
Depuis plus d’un an, les hypothèses augmentent autour d’agents en civil et officiers de police ayant joué un rôle actif dans les émeutes en encourageant les manifestants à entrer dans le Capitole.
Bobby Powell, alors journaliste radio dans le Michigan, a filmé un homme qui selon lui était un agent sous couverture en train de retirer une grande vitre de verre trempé d’une fenêtre située dans le patio près des Columbus Doors.
L’homme s’était auparavant approché de Powell et lui avait demandé pourquoi il ne profitait pas de la fenêtre déjà brisée pour pénétrer dans le Capitole. Lorsque Powell s’est détourné et a fait demi‑tour, sa caméra a filmé l’homme en train de retirer le verre et de le laisser tomber sur le sol.
Bobby Powell a également rencontré un autre homme, vêtu d’une tenue tactique tenant les Columbus Doors ouvertes à l’aide d’un long tourillon en bois et poussait les gens dans le hall menant à la Great Rotunda.
Ni l’homme à la vitre ni le portier n’ont jamais figuré sur le site Internet des personnes recherchées par le FBI.
Bobby Powell a passé deux années frustrantes à essayer d’attirer l’attention du FBI et des médias sur sa vidéo. Entre le 6 janvier 2021 et le 22 novembre 2022, le stress a provoqué quatre crises cardiaques Puis trois nouvelles au cours des trois mois qui ont suivi.
Le 6 janvier, le défendeur, William Pope, de Topeka, Kansas, a découvert une vidéo GoPro montrant trois agents infiltrés de la police municipale sur les escaliers extérieurs nord‑ouest du Capitole. L’un des hommes escaladait une barricade, poussait les manifestants dans les escaliers et les incitaient à se diriger vers l’entrée du Capitole, a indiqué William Pope dans un recours visant à obtenir la levée les scellés de la vidéo.
Les deux autres policiers marchaient derrière Ashli Babbitt. L’un d’eux a déclaré que quelqu’un allait se faire tirer dessus ce jour‑là. Environ une heure plus tard, Ashli Babbitt était abattue par le lieutenant Michael Byrd de l’USCP alors qu’elle grimpait sur une fenêtre brisée menant à l’entrée du Speaker Lobby. Son décès a été constaté 30 minutes plus tard.
L’avocat de la défense, Brad Geyer, a passé des mois à enquêter sur plus de 100 individus suspects qui se trouvaient au Capitole. Geyer a identifié un noyau dur qui a participé à l’ouverture des Columbus Doors et a incité une foule présente à l’est du bâtiment à pénétrer dans le Capitole.
De nombreuses personnes figurant sur la liste de suspects de Geyer étaient liées à la Salt and Light Brigade, un groupe chrétien basé dans l’Ohio. Brad Geyer a soutenu dans ses dépositions que certains de ses membres s’étaient engagés dans une « conspiration choquante » pour attaquer le Capitole. Cependant la plupart d’entre eux n’ont fait l’objet d’aucune inculpation. Quelques semaines après la publication d’un article sur le groupe dans Epoch Times, un pasteur de l’Ohio lié à la Salt and Light Brigade, William Dunfee, a été arrêté par le FBI.
D’autres protagonistes suspects continuent d’attirer l’attention. Un homme connu uniquement sous le hashtag #RedOnRedGlasses a été vu sur une vidéo en train de lancer un long morceau de bois à travers une fenêtre du Capitole, puis essayer de défoncer les portes des bureaux. RedOnRed se trouvait dans le couloir à l’extérieur de l’entrée de la présidence lorsque Ashli Babbitt a été abattue. Il figure au 300e rang sur la liste des personnes les plus recherchées par le FBI, mais n’a pas été identifié officiellement.
Ray Epps, qui a été filmé le 5 janvier dans une vidéo virale incitant les manifestants à se rendre au Capitole le lendemain, fait à nouveau l’objet d’intenses spéculations après l’émission spéciale de Tucker Carlson du 6 mars. Selon Tucker Carlson, Ray Epps a menti aux enquêteurs de la commission spéciale du 6 janvier sur l’heure à laquelle il a quitté l’enceinte du Capitole.
Ray Epps a envoyé un texto à son neveu à 14h12 affirmant qu’il avait « orchestré » la manifestation. Il a déclaré à la commission qu’il n’était plus au Capitole lorsque le message a été envoyé. Tucker Carlson a attesté que la vidéo de sécurité trouvée par lui montre Ray Epps sur une des terrasses ouest une demi‑heure plus tard.
Il avait enjambé une barricade renversée sur la façade ouest et avait été aperçu à de nombreuses reprises dans la foule tout au long de l’après‑midi.
Ray Epps a été interrogé par la commission spéciale et par le FBI à deux reprises, mais il n’a jamais été arrêté ni inculpé pour ses actions au Capitole, bien qu’il ait reconnu être probablement coupable d’intrusion.
Ray Epps a déclaré au FBI qu’il avait montré à son fils comment faire un garrot le 6 janvier parce qu’il s’attendait à un attentat à la bombe près du Capitole.
« J’avais peur qu’ils déclenchent une explosion dans une des rues secondaires », a déclaré Ray Epps, selon un enregistrement de l’entretien obtenu par Epoch Times. « Nous avons donc essayé de rester dans le centre, d’arriver tôt et de rester à l’écart des côtés. Et si quelque chose comme ça arrivait, j’avais une trousse de premiers secours. Je pouvais aider. »
Une mystérieuse femme bien habillée qui portait un béret rose est recherchée par maître Kira West, une avocate de la défense, pour déterminer si elle a attiré son client au Capitole pour qu’il soit inculpé. L’avocate, qui représente Darrell Neely a déclaré qu’elle avait besoin d’identifier « le béret rose » afin de défendre pleinement son client.
« L’entrée de M. Neely dans le Capitole a été supervisée par le béret rose » a affirmé maître Kira West dans une déposition. « Elle avait des associés dans le bâtiment ce jour‑là et semblait disposer d’informations bien supérieures à celles d’un citoyen normal venu protester. »
« M. Neely a besoin savoir qui elle est et pourquoi elle était là », a ajouté Kira West. « Il doit également comprendre si elle l’a pris pour cible ce jour‑là et dans quel but. »
Rétention de preuves à décharge
De nombreux avocats de la défense se sont plaints du fait que le département de la Justice n’a pas fourni toutes les preuves à décharge comme l’exige la loi. L’ancien adjoint du shérif, Ronald Colton McAbee, a affirmé dans ses dépositions que le département de la Justice avait présenté une vidéo de la caméra corporelle qui ne contenait pas de son.
Lorsqu’un enquêteur a trouvé cette même vidéo avec le son, le dossier a montré que McAbee n’avait pas agressé un agent sur la terrasse inférieure ouest. Mais, bien au contraire, il l’avait protégé et avait essayé de l’aider à se relever, selon le dossier. Malgré cette découverte et la demande de McAbee d’être libéré de sa détention provisoire, le juge de district Emmet Sullivan a décidé qu’il devait rester incarcéré.
Le juge Sullivan a qualifié McAbee et d’autres manifestants du 6 janvier de « terroristes » lors d’une audience au tribunal. Depuis, le juge Sullivan a été dessaisi de l’affaire.
Les preuves à décharge sont devenues l’un des principaux points conflictuel du procès pour association subversive, qui s’est déroulé de fin septembre à fin novembre 2022, contre le fondateur des Oath Keepers, Elmer Stewart Rhodes III, et quatre autres personnes.
Le juge Amit Mehta a refusé d’autoriser les avocats de la défense à appeler à témoigner un ancien sergent de police new‑yorkais et membre des Oath Keepers. Les avocats souhaitaient que ce policier décrive comment lui et d’autres Oath Keepers ont aidé un lieutenant de la police du Capitole à sauver 16 agents de police coincés dans le hall à l’intérieur des Columbus Doors.
Michael Nichols, de King Ferry, dans l’État de New York, s’est approché du lieutenant Johnson près des marches est du Capitole, pour l’aider à sauver ses collègues. Nichols a conduit Johnson et Steve Clayton, un autre membre des Oath Keepers, ainsi qu’un groupe de policiers vers un escalier pour qu’ils puissent descendre et se mettre à l’abri. Cette manœuvre a été capturée par le vidéaste Rico La Starza, basé en Floride, dans un film devenu viral.
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