Le parquet de Paris a annoncé samedi avoir ouvert une enquête après la publication sur Twitter d’un message se félicitant de l’attentat de vendredi au cours duquel un professeur d’histoire a été décapité près d’un collège à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).
L’enquête de flagrance a été ouverte pour « apologie d’acte de terrorisme commise par le biais d’un moyen de communication », selon le parquet.
Ce tweet, publié samedi, dénonçait par ailleurs le fait de montrer à des élèves des caricatures de Mahomet.
“Il a insulté notre prophète” : des collégiens musulmans de Conflans “plaisantent” sur la mort de l’enseignant décapité | Valeurs actuelles https://t.co/f6ihi3Hgiq
— Yves Pozzo di Borgo (@YvesPDB) October 18, 2020
Les investigations ont été confiées à la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ).
Un professeur d’histoire-géographie, qui avait montré début octobre des caricatures de Mahomet à ses élèves, a été décapité vendredi à proximité du collège où il enseignait par un Russe tchétchène de 18 ans, Abdoullakh A., qui a ensuite été abattu par les policiers.
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