Selon SOS Éducation, l’idéologie du genre ressenti revendique que l’identité d’un garçon ou d’une fille est une perception individuelle, sans lien avec le sexe de naissance. Le sexe est considéré comme une assignation imposée à la naissance dont il est nécessaire de se défaire. Alors que le genre consiste à s’identifier psychologiquement au genre ressenti par l’enfant sans considération de son sexe. Le genre ressenti apparaît à travers cette idéologie comme le choix identitaire éclairé de chacun, preuve d’émancipation et de fierté. Selon cette théorie, chaque enfant doit pouvoir autodéterminer l’identité de genre qui émane de son ressenti intime en se fondant sur les stéréotypes de genre féminins ou masculins. Il choisit librement de s’autodéterminer au masculin ou au féminin – en fille ou en garçon. Alors que cette idéologie est de plus en plus diffusée et valorisée dans l’espace médiatique et à l’école, les informations concernant la réalité du processus de transition, quand justement le genre ressenti n’est pas celui correspondant au sexe de naissance, sont passées sous silence. En premier, les conséquences à long terme sur la santé physique et psychique de l’enfant transgenre (qui deviendra un adulte transsexuel) ne sont pas communiquées avec précision, ni aux enfants ni aux parents.
Notre correspondant NTD David Vives a interviewé Sophie Audugé, déléguée générale de SOS Éducation, sur les tenants et les aboutissants de cette promotion du transgenrisme dans l’éducation française.
David Vives NTD : Selon vous, peut‑on parler d’entrisme de la question transgenre dans les programmes d’éducation des écoles ? Et si oui, comment la mesurez‑vous ?
Sophie Audugé : Oui, on peut parler d’un entrisme. Tous les pays occidentaux sont aujourd’hui concernés. C’est un système idéologique militant très puissant qui a infiltré les politiques des pays européens. Il y a un certain nombre de décisions législatives qui impactent le fonctionnement du système scolaire. Par exemple en France, il s’agit de la circulaire Blanquer qui prend fait et cause pour l’idéologie du genre ressenti, et demande à l’ensemble du personnel éducatif d’affirmer le genre autodéterminé de l’enfant si celui‑ci en exprime le souhait.
Je voudrais préciser que SOS Éducation défend le combat légitime pour le respect des droits des personnes transsexuelles et homosexuelles. D’ailleurs des adultes transsexuels partagent avec nous le souci de protéger les enfants de l’euphorie idéologique actuelle qui banalise la souffrance profonde qu’ils ont connue et qui se caractérise par l’incapacité persistante à habiter dans le corps de son sexe de naissance. Notre alerte commune porte sur les effets de l’idéologie du genre ressenti qui cible les enfants en leur faisant croire qu’il est facile de changer de genre et que le passage à l’autre sexe suivra. Notre préoccupation est d’informer sur la réalité du processus de transition, qui est un processus long, compliqué, risqué et coûteux à tous points de vue. Il est très important d’agir avec la plus grande prudence pour ne pas engager des enfants fragiles, en situation psychologique instable, ayant subi des traumatismes, en souffrance adolescente, etc. dans une transition prématurée, trop rapide, avec des prises de médicaments ou des chirurgies qui sont en partie irréversibles et qui présentent indéniablement des dangers pour leur santé.
Aujourd’hui cette idéologie a déjà pleinement imprégné l’opinion publique et est largement diffusée à l’école. Sous l’argument de « sensibiliser » les enfants à la diversité, en réalité on les éduque à une nouvelle norme sociale qui signifie la fluidité des genres. On inculque dans leurs jeunes esprits, malléables et en plein développement, qu’il n’existe pas de réalité biologique au sexe de naissance, qu’il est en quelque sorte déconnecté de l’enfant dont le développement personnel sera dissocié de son corps. On leur apprend que l’identité est quelque chose que l’on choisit qui relève de l’intime conviction et que rien ne le prédestine. Il s’agit de faire l’apologie d’une identification psychologique indépendante de son sexe de naissance, d’une dissociation de la personne de l’enfant avec sa propre réalité biologique. Ainsi son métabolisme et son développement émotionnel comme cognitif peuvent être entravés sur la base de son ressenti d’enfant, et ça au nom du respect de la diversité. C’est extrêmement déstabilisant pour les parents car la génération précédente était désireuse d’exactement le contraire, se libérer des stéréotypes du genre pour s’autoriser à habiter son corps de mille manières, avec toutes les nuances de garçons efféminés et de filles masculines. On revient à une forme de soumission aux stéréotypes de genre qu’on inculque très tôt aux enfants, en leur disant qu’ils peuvent choisir s’ils se sentent plus filles ou garçons. Mais comment le comprennent‑ils concrètement, et que peuvent‑ils en faire, alors qu’ils sont par nature immatures et incapables d’en projeter les conséquences sur leur vie à long terme. Là est la question fondamentale !
Comment se manifeste cette idéologie à l’école ? Peut‑on mesurer sur le long terme les impacts que cela va engendrer sur la vie d’un enfant ?
En France, elle se manifeste dans les livres pour enfants dès la maternelle, dans les manuels scolaires de biologie, science et vie de la Terre et lors des interventions d’associations qui proposent dans leurs questionnaires de s’identifier « fille, garçon, ou autre ». Mais aussi dans les interventions des institutions publiques qui assurent l’éducation à la sexualité avec des slogans du type « choisir le sujet de ma rédaction, c’est bien. Choisir le pronom qui me plait aussi ».
Au niveau du fonctionnement des établissements, la circulaire Blanquer est le principal texte de référence, même si elle n’a pas le pouvoir d’une loi. Son pouvoir a d’ailleurs été étendu par une loi promulguée quelques mois après la publication de la circulaire. Cette loi votée le 31 janvier 2022 visait au départ à interdire les thérapies de conversion c’est‑à‑dire toutes les pratiques visant à réprimer l’orientation sexuelle d’une personne. Cette loi, très soutenue par l’opinion publique et à juste titre, les lobby trans s’en sont emparés pour y associer l’identité de genre, faisant un amalgame absolument injustifié entre homosexualité et identité de genre. Ils ont réussi, la loi est passée avec cette confusion dans le texte. Il est désormais très difficile d’interroger l’enfant qui se dit transgenre sur ce qui l’amène à penser qu’il « est né dans le mauvais corps », alors même que l’intention de le questionner n’est pas de le réprimer mais de comprendre et de l’aider à y voir clair sur l’origine véritable de sa souffrance. Est‑ce une dysphorie entre sexe psychique et sexe biologique ou la souffrance a‑t‑elle une autre origine ? S’agissant d’un enfant qui se destine à changer de sexe, ce questionnement est pourtant nécessaire compte tenu des risques et de l’ampleur des traitements qui jalonneront toute sa vie. L’orientation sexuelle n’a rien à voir avec la dysphorie de genre. L’homosexualité n’est pas une souffrance, ne nécessite pas un changement d’état avec des traitements médicaux à vie qui ont des effets secondaires importants et des chirurgies invasives de mutilation. Au contraire même, certaines adolescentes qui ont détransitionné reconnaissent avoir été poussées par une forme d’homophobie intériorisée, ce qui les a conduit à s’orienter vers la transition pour « être dans la norme hétérosexuelle » avant de réaliser que ce n’était pas ce qu’elles voulaient vraiment et de se réconcilier avec leur sexe de naissance en acceptant leur orientation sexuelle. Cette confusion entre homosexualité et identité de genre inscrite dans la loi restreint davantage encore l’espace de discussion permettant de protéger l’enfant parfois de lui‑même. La circulaire additionnée de cette loi font que les établissements scolaires et les professeurs sont désormais contraints d’affirmer le genre autodéterminé de l’enfant si celui‑ci se confie à eux. Ils doivent garder l’information pour eux, ne pas informer les parents, sauf à ce que l’enfant les y autorise ! La seule limite que pose la circulaire, c’est que le changement de prénom dans les documents internes à l’école ne peut se mettre en place qu’avec l’accord des deux parents.
Certains activistes conseillent aux jeunes qui ne parviennent pas à changer de prénom dans le dos de leurs parents, de demander au moins le changement de pronom, et de se choisir un surnom mixte, la circulaire ne précisant rien sur ce point. Ils peuvent effectivement demander à ce qu’on les interpelle en utilisant un pronom du genre voulu sans que soit exigé l’accord des deux parents.
Les chirurgies de changement de genre sont désormais dix fois plus importantes qu’en 2007. Est‑on à l’aube d’une explosion du nombre de chirurgies du genre chez les enfants et les adolescents en France ?
Oui, les chiffres augmentent de façon très significative et on s’attend à ce que cela continue. Si rien n’est fait, cela va suivre ce que l’on voit dans les autres pays, notamment aux États‑Unis, avec l’explosion exponentielle de chirurgies esthétiques de féminisation du visage qu’on ne voyait pas avant. Historiquement, les adultes transsexuels engageaient leur transition après 25 ans, mais les chirurgies faciales étaient très rares, maintenant c’est l’inverse, les adolescents qui se disent transgenres dissocient le transsexualisme du transgenrisme, lequel concerne davantage le fait de se conformer aux stéréotypes esthétiques du genre. Les chirurgies masculinisantes ou féminisantes explosent car l’enjeu est avant tout de vivre le plus tôt possible avec les traits de l’autre genre et non pas, comme c’était le cas avec l’incongruence entre sexe psychique et sexe biologique, le rejet de son sexe et la souffrance due à la volonté obsessionnelle d’en changer. L’idéologie du genre ressenti défend d’ailleurs le principe qu’une personne transgenre qui fait sa transition pour ressembler à un femme mais qui conserve son pénis devrait être considérée comme une femme.
Existe‑t‑il des études sur les effets de ce type de transition de genre ?
Auparavant, la plupart des transsexuels engageaient la transition chirurgicale de changement de sexe autour de 30 ans, et cela concernait beaucoup plus de garçons que de jeunes filles.
Les médecins se sont rendu compte qu’après leur transition chirurgicale, les transsexuels présentaient durant leur vie des épisodes dépressifs. Les médecins se sont demandé si une transition plus tôt aurait pu limiter ces phénomènes dépressifs à l’âge adulte. L’hypothèse était que la transition intervenant plus jeune leur permettrait de construire une identité dans le genre correspondant au sexe ciblé au moment clé de leur adolescence, afin de vivre cette période importante de sociabilisation dans des conditions les plus proches possible de celles de leurs pairs. Un nouveau protocole destiné aux jeunes patients dysphoriques a été établi, le Dutch Protocol. Il consistait à donner des bloqueurs de puberté à l’âge de 12 ans, des hormones croisées à 16 ans et à effectuer les chirurgies à 18 ans. Cela devait permettre à ces enfants dont le trouble psychopathologique de dysphorie avait été identifié de mieux vivre leur adolescence et d’avancer leur transition chirurgicale afin d’engager leur vie de jeune adulte déjà « installé » dans l’autre sexe.
Ce protocole a fait l’objet d’une étude d’impacts. Celle‑ci a porté sur un nombre très réduit de patients. Cinquante enfants triés sur le volet puisqu’ils avaient un profil très spécifique, c’est‑à‑dire qu’ils avaient une dysphorie avérée exprimée dès l’enfance, et qu’ils n’avaient jamais eu de phénomènes dépressifs, pas de situations post‑traumatiques antérieures à la transition, pas non plus d’enfants avec des troubles développementaux de type autisme, etc. Un groupe de référence qui n’a rien à voir avec la nouvelle population d’adolescents qui consultent actuellement pour changer de genre. Parmi ces 50 sujets, les résultats n’ont pas été pleinement probants, aucune amélioration notable des troubles d’anxiété et de dépression, des complications post‑opératoires ayant conduit pour un des sujet au décès… avec des effets secondaires sur la santé de type ostéoporose, diabète/obésité, etc. Il est important de préciser qu’il n’y avait pas de groupe contrôle et que l’étude a été menée 18 mois après la transition chirurgicale. En l’absence de données probantes et du manque de rigueur de l’étude, plusieurs tentatives pour répliquer l’étude avec de nouvelles cohortes ont été engagées sans y parvenir. Pourtant, c’est ce protocole que l’on applique aujourd’hui aux enfants qui transitionnent. Un protocole qui n’a pas fait ses preuves et qu’on applique sur des enfants qui présentent des atypies neuro‑développementales, des troubles et psychopathologies, antérieurs au sentiment d’être « nés dans le mauvais corps ». Un protocole qu’on applique à des adolescents n’ayant pas exprimé dans leur petite enfance un mécontentement profond d’être né garçon ou fille, symptôme pourtant essentiel d’une dysphorie.
En plus de suivre un protocole n’ayant pas prouvé son efficacité sur la santé mentale des transsexuels devenus adultes, les traitements qui sont administrés aux enfants engagés dans ce protocole n’ont jamais reçu d’autorisation de mise sur le marché dans le cas d’une dysphorie de genre, et encore moins s’agissant d’enfants.
Qu’en est‑il des jeunes qui veulent changer de genre aujourd’hui ?
Aujourd’hui, ce n’est plus la même population qui est prise en charge. On a une explosion des demandes venant d’adolescents – avec beaucoup plus d’adolescentes que de garçons – qui n’ont eu aucun signe précurseur dans l’enfance.
Selon une étude faite en Suède, déjà en 2012, 60% des adolescentes voulant changer de genre avaient au moins un trouble psychopathologique antérieur à la transition. Elles avaient soit un traumatisme dû à des abus sexuels qui avaient abouti à un stress post‑traumatique, ou alors il s’agissait d’enfants autistes ou diagnostiqués avec des troubles de l’attention, des jeunes filles souffrant d’anorexie mentale, etc.
Il est évident aujourd’hui que l’explosion de ce phénomène est aussi poussée par l’influence et l’emprise des réseaux sociaux et des médias sur les jeunes, de telle sorte que le risque de se tromper sur soi est réel et que l’autodiagnostic de dysphorie de genre que l’enfant ou l’adolescent pose sur sa souffrance peut en cacher une autre qui restera et se développera en silence. Après la transition, l’origine de la souffrance véritable étant toujours là, elle se rappellera à la personne avec d’autant plus de violence que celle‑ci aura le sentiment d’être passée à côté d’une partie de sa vie, avec des conséquences graves sur sa santé physique et une santé mentale encore plus effondrée qu’avant.
Les médecins et les activistes qui banalisent et « héroïsent » la transition de genre des enfants, en saluant leur courage, ne communiquent pas sur les effets des médicaments sur leur santé globale, ni sur les risques et les situations post‑opératoires. Ni sur le fait que les bloqueurs de puberté, associés ensuite aux hormones croisées, auront pour effets l’infertilité et l’anorgasmie de ces personnes, qui à l’âge adulte se verront de fait privés de leur vie intime.
Alors bien sûr, on nous montre des études sur des jeunes qui disent être ravis de leur transition et ne surtout pas regretter. Mais il faut être vigilants, ces études ont souvent des biais importants. Par exemple, récemment une étude avançait de telles conclusions, alors qu’en réalité les jeunes interrogés avaient transitionné 18 mois plus tôt. Or le phénomène d’euphorie post‑transition est bien connu, il est identique au phénomène placebo. Les personnes sont sous l’effet euphorisant de la transition attendue et enfin réalisée. En médecine ce phénomène est connu, l’effet euphorisant ne redescend pas avant cinq ans et s’estompe progressivement en laissant peu à peu revenir la souffrance véritable si l’origine n’était pas la dysphorie. La plupart des personnes qui détransitionnent le font entre 5 et 7 ans après leur transition.
Toutes les études qui interrogent la satisfaction de jeunes ayant transitionné alors qu’ils étaient mineurs devraient attendre au moins cinq ans après leur transition chirurgicale : plus tôt, les résultats ne sont pas réputés probants.
La réalité est que l’on soumet des enfants, sans aucune garantie que l’origine véritable de leur souffrance soit une dysphorie, à un protocole dont l’efficacité et la sécurité n’ont même pas été prouvées pour cette incongruence entre sexe psychique et sexe biologique. On leur administre des médicaments à prendre à vie, issus de molécules n’ayant pas reçu d’autorisation de mise sur le marché pour cette situation médicale, et n’étant pas conçus pour être administrés à des enfants en plein développement !
Avec des conséquences irréversibles sur la santé physique et psychique d’enfants qui ne sont pas malades, mais qui passent indéniablement à côté de leur adolescence. Cela entrave leur développement cognitif et émotionnel pourtant indispensable à leur maturité.
Pour conclure, quelle est la position de SOS Éducation sur ces questions ?
SOS Éducation a produit il y a plus d’un an, une note de synthèse sur l’état des connaissances au niveau international en novembre 2021. À travers cette note, nous avons cherché à prendre position en dehors de tout jugement moral ou tout jugement idéologique. Nous sommes arrivés au constat que le concept d’autodétermination du genre par le ressenti de l’enfant n’est fondé sur aucune donnée probante, et relève de ce fait d’un mouvement idéologique proche d’une vision transhumaniste de la société.
L’école pour SOS Éducation doit instruire des faits et garantir la sécurité des enfants. Ce sont deux enjeux primordiaux. L’activisme transidentitaire actuel qui diffuse l’idéologie du genre ressenti à l’école va à l’encontre de l’un et de l’autre. C’est pourquoi SOS Éducation a pris la décision de demander le retrait de la circulaire Blanquer et le retrait de l’idéologie du genre à l’école puisqu’aucune étude probante sur le long terme ne prouve que la transition pédiatrique est véritablement dans l’intérêt des enfants. Sans un consensus international du corps scientifique et médical fondé sur la préoccupation primordiale de l’intérêt supérieur de l’enfant, qui doit dépasser toutes les autres velléités, poursuivre de tels traitements consiste à faire des expériences sur des enfants.
Nous avons mis en place une pétition pour demander l’annulation de la circulaire Blanquer qui a été signée par plus de 40.000 signataires.
SOS Éducation demande que l’école reste un sanctuaire dans lequel les idéologies, celle‑ci comme les autres, n’entrent pas. Souvent l’identité trans s’installe dans l’esprit de l’enfant, sans que les parents ne s’en rendent compte. C’est pourquoi il nous semble très important que les parents se documentent pour connaître exactement le pouvoir d’influence des réseaux sociaux sur ce phénomène, et qu’au‑delà de cette prise de conscience, ils s’informent des risques d’une transition trop rapide pour leur enfant, en premier lieu la transition sociale qui engage l’enfant dans la spirale du changement de sexe, abordé dans le documentaire The Trans Train. Avant toute décision, il est capital de prendre le temps de s’intéresser à la personne de l’enfant de manière holistique et non pas uniquement sur la question du genre. L’identité est un processus de maturité complexe qui prend du temps. Face à un questionnement de nature à remettre en cause sa santé et sa vie d’adulte, prendre le recul nécessaire et se faire accompagner pour rechercher l’origine véritable de sa souffrance, est essentiel pour ne pas faire une erreur qui ne se répare pas. Ne laissons pas les enfants devenir les vaches à lait des industries pharmaceutiques et de chirurgie esthétique !
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