« Je ne vais pas dire que tout est beau, tout est réglé », a déclaré le sélectionneur de l’équipe de France Didier Deschamps après la victoire des Bleus face à la Belgique, lundi à Lyon en Ligue des nations, trois jours après la gifle reçue par l’Italie (3-1).
« Il n’y a pas de soulagement. Evidemment, je suis très content de la réaction qu’on a eue, de ce qu’on a été capable de faire face à une très belle équipe de Belgique, qui nous a posé des difficultés sur les 20 premières minutes, peut-être à cause d’une fébrilité chez nous avec le contexte. Mais on n’était pas les plus mauvais vendredi et je ne vais pas vous dire que tout est beau, tout est réglé », a affirmé Deschamps.
« Je ne mets pas toujours l’équipe dans les meilleures conditions en faisant des changements, même si ça aurait été ma fête si ça s’était mal passé. Mais je pense qu’il faut en passer par là », a ajouté le sélectionneur, qui avait décidé de modifier son onze de départ dans un désir de voir un maximum de joueurs durant la Ligue des nations.
𝗖’𝗘𝗦𝗧 𝗧𝗘𝗥𝗠𝗜𝗡𝗘
Nos Bleus remportent leur 2ème match de la Ligue des Nations face à la Belgique, 2 buts à 0 ✅
🇫🇷2-0🇧🇪 | #FRABEL | #FiersdetreBleus pic.twitter.com/vDyIiaYhu6
— Equipe de France ⭐⭐ (@equipedefrance) September 9, 2024
« Je savais que ce serait compliqué, il y a peu de joueurs qui sont à 100%. Il y a des joueurs importants qui ne sont pas là, surtout au milieu de terrain », a-t-il également noté.
Interrogé sur la bronca du public lyonnais à l’annonce de son nom par le speaker avant la rencontre, Deschamps a répondu qu’il n’avait « pas entendu ».
« J’étais dans les vestiaires, a-t-il expliqué. J’ai entendu les sifflets pour Bradley Barcola. Je ne vais pas pointer du doigt un club plus qu’un autre, c’est le seul regret quand on va jouer en province. Je n’ai pas de souci avec ça même si je savais que pour différentes raisons, je n’avais pas beaucoup de supporteurs à Lyon ».
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.