Comment faire face à la tyrannie : un guide pratique

Cet article a pour but d’accepter le fait (pourtant révoltant) que nous sommes réellement confrontés au bulldozer du Great Reset. Il s’agit de mettre en place la victoire la plus rapide possible de l’humanité sur l’algorithme. Il s’agit d’avoir une vue d’ensemble de l’histoire, de puiser dans notre force et d’être inspiré par le courage de nos aïeux.

L’existence aseptisée que les escrocs technocrates veulent nous imposer

La vie que les technocrates veulent nous imposer est totalement aseptisée. Il semble à première vue qu’on veuille nous faire vivre confortablement, mais en réalité, il s’agit de nous condamner à vivre seuls, de nous condamner à voir le monde à travers une vitre.

Pour avoir un avant-goût de la vie dans une réalité contrôlée par le numérique, faisons connaissance avec le Digital ID de Thales, le « meilleur compagnon » d’une jeune femme telle que présentée dans le spot publicitaire de la compagnie… et qui avant tout a l’air d’être terriblement seule. Le premier argument donné par Thales dans la publicité pour faire valoir l’efficacité de son programme d’identité numérique est des plus appropriés : l’application nous rappellera de ne pas manquer notre rendez-vous chez le médecin pour recevoir notre vaccin contre le Covid (obligatoire par décret, nous précise-t-on).

Et voici un autre film terrifiant fait par la BBC, qui date de 2019. On y voit une adolescente en train d’expliquer à ses parents qu’elle se sent mal dans son corps car elle est « trans ». Le quiproquo est vite levé, il ne s’agit pas d’être transsexuel mais transhumaniste, la jeune fille veut se débarrasser de son corps afin que son cerveau soit numérisé dans le cloud et qu’elle puisse « vivre pour toujours » (une arnaque vraiment cruelle).

Au fond, il s’agit de l’âme

La condition absurde et autoritaire à laquelle nous sommes confrontés va nous permettre de crever l’abcès, traiter les questions spirituelles non résolues que nous accumulons en nous éloignant de nous-mêmes. C’est une occasion d’expulser nos fantômes, de guérir nos blessures et de retourner à nos racines.

Puisque nous ne pouvons pas simplement fermer les yeux et nier que le Great Reset nous frappe de plein fouet, autant tout faire pour transformer cette situation d’abus en un moyen de sentir notre force, notre amour, notre sagesse et les exploiter jusqu’au bout. Autant nous y mettre enfin, nous y mettre vraiment une bonne fois pour toutes, pour gagner.

Les ingrédients indispensables pour être victorieux dans cette bataille contre le transhumanisme sont : tout faire par amour ; être la meilleure version de nous-mêmes ; laisser l’univers faire sa part. Le principe névrotique qui anime les technocrates est comme une psychose contagieuse, elle peut passer d’une personne à l’autre. Il faut placer une barrière nette, ne pas autoriser ces énergies dans nos propres vies s’avérera très puissant contre la technocratie.

L’esprit d’un technocrate est guidé par le besoin de tout contrôler grâce aux machines. C’est un esprit corrompu par la peur de tout ce qui vient de la nature. Puisqu’il s’agit avant tout d’une maladie d’ordre spirituel, les réponses sont également spirituelles. En pratique, la riposte et les actes varieront beaucoup d’une personne à l’autre, il n’y a pas de schéma.

Il n’y a pas de schéma, mais pour beaucoup d’entre nous cette situation horrible est une opportunité majeure pour devenir enfin vivants – complètement et pleinement vivants, sans complexes.

Rien de nouveau sous le soleil

Ce à quoi nous avons affaire aujourd’hui nous ébranle, car c’est une situation inconnue. Pour beaucoup d’entre nous, c’est la première fois que nous sommes confrontés à des abus d’une telle ampleur. Dans l’absolu, cependant, ce n’est pas nouveau. Bien des populations ont été confrontées à des pressions et des dangers similaires, voire plus terribles encore.

Tout au long de l’histoire de l’humanité, il est fait mention d’abus, de tyrans, d’atrocités, pléthore de guerres injustes, pillages, réformes religieuses, censures, stérilisations forcées, situations d’asservissement ou d’esclavage, etc.

Les abus du gouvernement dans le cadre de la campagne de vaccination Covid n’ont rien d’original puisqu’ils reprennent sinistrement ce qui s’est passé lors de la campagne de vaccination contre la variole – ce qui est assez stupéfiant, comme nous le rappelle le substack « The forgotten side of medicine » [le côté oublié de la médecine, ndt.] un dénommé « Midwestern Doctor » :

« Le vaccin original contre la variole était un vaccin exceptionnellement nocif qui n’avait jamais été testé avant d’être adopté. Il augmentait, au lieu de diminuer, les épidémies de variole. Au fur et à mesure que le danger et l’inefficacité du vaccin se faisaient sentir, de plus en plus de personnes protestaient contre la vaccination. Pourtant, à mesure que la variole augmentait, les gouvernements du monde entier adoptaient des politiques de vaccination obligatoire plus draconiennes.

Finalement, une des plus grandes protestations du siècle s’est produite en 1885 à Leicester (une ville anglaise). La municipalité de Leicester a donc été remplacée, la vaccination obligatoire a été abolie et la communauté médicale a mis en place de nouvelles mesures de santé publique. Ces mesures ont été couronnées de succès et, une fois adoptées dans le monde entier, elles ont mis fin à l’épidémie de variole. Pourtant, la plupart des gens pensent à tort que la fin de la variole est due à la vaccination. »

Mensonges exposés, illusions brisées

Les deux dernières années ont fait remonter à la surface des mensonges et des déséquilibres remontant à des décennies de manipulations, voire à des siècles. La peur de la nature et l’ambition de la « conquérir » et de la soumettre à la technologie remontent à loin, et c’est bien cette ambition qui semble animer les membres du forum économique mondial.

Les deux dernières années ont également mis en évidence (de manière très brutale) la fragilité de nos croyances politiques fondamentales. Jusqu’en 2020, en tant qu’Occidentaux des temps modernes, nous avions des idées bien arrêtées sur nos droits et nos libertés.

Beaucoup d’entre nous ne s’attendaient probablement pas à devoir faire face au niveau actuel d’absurdité, de fraude, d’anarchie et d’abus au cours de leur vie, dans leur propre pays. Même moi, qui suis né et qui ai grandi à Moscou, j’étais convaincue que les tendances totalitaires appartenaient au passé… Et pourtant, nous sommes là…

D’un seul coup, nous devons faire face à des tyrans cruels, exactement comme tous ceux qui nous ont précédé. Et tout comme eux, nous devons trouver en nous-mêmes le courage et les réponses, nager dans l’obscurité, prier, faire sortir de nous la version la plus forte de nous-mêmes. L’histoire n’a pas pris de répit quand nous sommes nés, s’avère-t-il, et c’est à nous d’être courageux !

Aux yeux de nos « maîtres » tout en haut du pouvoir, nous n’avons jamais été libres et la seule chose qui ait changé de manière tangible depuis 2020 est la longueur de notre laisse. Cela fait une différence majeure dans la qualité de nos vies et c’est un fait important, mais le point crucial est qu’une domination sous-jacente faisait partie de notre système moderne depuis le début. Maintenant que nous voyons la laisse et le joug avec clarté, nous pouvons commencer à travailler vers la liberté perdue à ce moment-là.

La source de notre force

Nous savons maintenant que la vraie joie et le vrai pouvoir résident dans la force de notre esprit et dans notre lien avec les personnes qui nous entourent. De nombreuses choses que nous tenions pour acquises peuvent disparaître en un clin d’œil (même le droit de respirer à l’air libre) mais l’amour et la force demeurent, et c’est à partir de cet ancrage dans l’amour et la force que nous devons repousser nos limites.

En dessous tout cela, recouvert par toute cette folle technologie, le monde est ce qu’il a toujours été. Il est temps de faire ce que les hommes ont toujours fait, à savoir découvrir qui nous sommes et suivre notre chemin dans la dignité, en relevant les défis qui se présentent à nous.

La valeur de la patience et de la foi

Nos meilleurs alliés sont la patience et une humble confiance dans l’univers. Ce sont nos meilleurs alliés, tant sur le plan spirituel que pratique. Oui, nous devons aussi examiner la situation avec probité, enquêter. Oui, nous devons aussi repousser les abus par tous les moyens, mais tout ce que nous faisons doit être accompagné de patience et d’une confiance humble dans l’univers.

L’ère des médias sociaux et la promotion des « révolutions sur Instagram » ont donné, même aux meilleurs d’entre nous, l’illusion que nous repousserons les abus en ayant des résultats quasi instantanés.

La proximité engendrée par Twitter donne l’impression que nous disposons du même pouvoir d' »influence » que les plus grosses fortunes mondiales, qu’il nous suffit de « décrypter les événements » et de réciter notre explication à haute voix pour que le monde dise : « Oh. Merci de nous avoir expliqué les faits. Maintenant nous savons ! Et nous allons changer notre façon de faire ! »

Mais en réalité… pas de changements. Notre « pouvoir d’influence » est une illusion. En réalité, nous nous heurtons et à des habitudes indécrottables doublées d’egos collectifs et individuels énormes. Et au final, la seule chose qui avance réellement et transforme tout, c’est le gros bulldozer. Les médias sociaux donnent l’impression que tout est accessible. Ces reseaux planétaires nous donnent l’illusion d’être sur un pied d’égalité avec les plus grosses fortunes mondiales par le simple fait que nous nous exprimons en ligne, mais nous ne sommes pas du tout sur un pied d’égalité technologiquement parlant.

Nous avons ensemble beaucoup de pouvoir (et nous finirons probablement par gagner) mais notre force se situe très loin de la technologie.

Concrètement, nous pouvons nous moquer de Klaus Schwab et de Bill Gates toute la journée, mais ils continuent d’aller de l’avant avec les mandats, les passeports vaccinaux, l’identification numérique, l’argent dématérialisé, et ainsi de suite. Ils avancent comme un bulldozer. Il n’est donc pas judicieux d’être patient, c’est indispensable. Nous ne savons pas quand nous allons sortir de cette situation. Nous allons devoir y travailler, prier et y travailler, et nous ne savons pas combien de temps il nous faudra.

Le paradoxe Stockdale

Jim Stockdale était un vice-amiral et aviateur de la marine américaine qui a passé sept ans comme prisonnier de guerre au Vietnam. Le « paradoxe de Stockdale », tel que décrit par l’auteur Jim Collins, est stupéfiant.

Voici l’histoire. Un jour, l’auteur rencontre Jim Stockdale et lui demande comment il a réussi à tenir le coup mentalement pendant toutes ces années d’emprisonnement :

« (…) ‘J’ai toujours cru en la fin de l’histoire’, a-t-il répondu, quand je lui ai demandé. ‘Je n’ai jamais douté, non seulement que je sortirais, mais aussi que je l’emporterais à la fin et que je ferais de cette expérience l’événement déterminant de ma vie, que, rétrospectivement, je ne changerai pour rien au monde.’

« Je n’ai rien dit pendant de longues minutes, et nous avons continué la lente marche vers le club de la faculté, Stockdale boitant et faisant valser en arc sa jambe raide qui ne s’était jamais complètement remise de ses tortures répétées. Finalement, après une centaine de mètres de silence, j’ai demandé : ‘Comment étaient ceux qui ne s’en sont pas sortis ?’ »

« ‘Oh, c’est facile’, a-t-il répondu. ‘Des optimistes.’ ‘Des optimistes ? Je ne comprends pas’, ai-je dit, maintenant complètement confus, étant donné ce qu’il avait dit cent mètres avant.

« ‘Des optimistes. Oh, ce sont ceux qui disaient : ‘On sera sorti pour Noël’. Et Noël arrivait, et Noël partait. Puis ils disaient : ‘On sera sorti à Pâques’. Et Pâques arrivait, et Pâques repartait. Et puis Thanksgiving, et puis c’était encore Noël. Et ils sont morts le cœur brisé.’

« Une autre longue pause, un peu plus de marche. Puis il s’est tourné vers moi et a dit : ‘C’est une leçon très importante. Vous ne devez jamais confondre la foi en votre victoire finale – que vous ne pouvez jamais vous permettre de perdre – avec la discipline nécessaire pour affronter les faits les plus brutaux de votre réalité actuelle, quels qu’ils soient.’

Aujourd’hui encore, je garde en mémoire l’image de Stockdale réprimandant les optimistes : ‘Nous ne sortirons pas d’ici Noël, acceptez-le !’ »

Le côté positif de la pression actuelle : nous rappeler qui nous sommes.

En termes de survie et de lutte contre les abus, chacun d’entre nous est confronté à la nécessité de se reconstruire à l’intérieur. Certains d’entre nous ont effectué des changements majeurs et ont déménagé dans un autre pays ou un autre État, d’autres font les ajustements nécessaires là où ils sont. Certains s’opposent publiquement aux abus, d’autres se concentrent sur leur vie privée. Il n’existe pas de recette universelle pour faire face aux assauts de la « nouvelle normalité », mais il est très important d’écouter son cœur et de faire ce qu’il dit.

En termes pratiques, c’est probablement un très bon moment pour apprendre à être plus autonome (par exemple, j’envisage de commencer à faire pousser des aliments dans un environnement urbain). C’est le moment idéal pour utiliser beaucoup d’argent liquide. C’est le moment idéal pour investir dans la santé, et peut-être même pour faire des réserves raisonnables de certains aliments (mais sans paniquer, la panique n’aidant jamais).

Le plus important est d’établir des relations solides avec des personnes partageant les mêmes idées – et pour la plupart d’entre nous, cela s’est fait naturellement au cours des deux dernières années, depuis que les conditions ont rendu les tendances générales des gens plus transparentes qu’auparavant, et que la parenté est devenue plus visible. Les personnes aimantes offrent le type de sécurité dont nous avons tous besoin (depuis toujours, mais surtout maintenant).

Il faut garder espoir qu’en faisant face à ces « temps intéressants » nous comprendrons mieux notre valeur et la mission de notre vie. Et un jour (nous ne savons pas quand, mais un jour) cette obscurité prendra fin, et nous rirons à nouveau comme des enfants. Et nous guérirons, mais nous serons plus forts et plus sages. C’est le but qu’il faut se fixer.

Vous pouvez suivre Tessa Lena sur Tessa Fight Robots

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Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.