La dette publique s’est établie à 2 375,4 milliards d’euros à la fin du 2e trimestre, se stabilisant à 99,5 % du PIB. C’est ce qu’a annoncé, ce vendredi, l’Insee.
Rapportée à la richesse nationale, la dette de l’ensemble des administrations publiques, mesurée selon les critères de Maastricht, s’est toutefois accrue de 16,6 milliards d’euros par rapport au trimestre précédent, quand elle représentait également 99,5% du PIB (2 358,9 milliards d’euros).
Le ratio de dette publique, qui intègre les comptes de l’État, des collectivités locales et de la sécurité sociale, est supérieur à ce stade à l’objectif que s’est fixé le gouvernement pour la fin de l’année 2019, à savoir 98,8% du PIB.
Un jour de plus en #Macronie …
Pendant que la dette publique bat un nouveau record à 99.5% du PIB…#Macron refuse de changer de cap et d’aller chercher l’argent où il se trouve
Il préfère continuer de leur faire des cadeaux, il faut bien les remercier pour son élection ! pic.twitter.com/GHNhPu6RzQ
— La Marque Jaune (@jaune_marque) September 27, 2019
Nouveau record historique pour la dette publique de la France au troisième trimestre 2019 : 2 375,4 milliards d’euros, soit 99,5 % du PIB.
Mais chut ! Puisqu’on vous dit que tout va bien, n’insistez pas…#dette #France #deniderealite #aveuglement pic.twitter.com/8oSzaqmXTD— Marc Touati (@MarcTouati) September 27, 2019
En revanche, la contribution à la dette des administrations publiques locales (Apul), a diminué de 0,3 milliard, « traduisant le désendettement des départements (-0,8 milliard d’euros), des régions (-0,2 milliard), des communes (-0,1 milliard) et des syndicats d’administrations publiques locales (-0,1 milliard) ».
Au cours du deuxième trimestre, la contribution de l’État à la dette a augmenté de 21,5 milliards d’euros, en raison principalement « de la dette négociable à long terme (+15,2 milliards d’euros) ». Les dépôts des correspondants au Trésor ont progressé (+5,2 milliards d’euros), ainsi que, dans une moindre mesure, la dette négociable de court terme (+1,1 milliard d’euros).
La Société du Grand Paris et Ile-de-France Mobilités se sont toutefois endettées à hauteur de 0,5 milliard d’euros chacune.
La contribution à la dette des administrations de sécurité sociale (Asso) a également reculé de 5,1 milliards d’euros.
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