Une infirmière des soins intensifs qui se bat en première ligne contre la pandémie du virus du PCC a partagé sur les médias sociaux une image de son visage épuisé et meurtri. L’infirmière exprime publiquement sa souffrance personnelle afin d’inciter les gens à rester à la maison.
Aimée Goold, une infirmière travaillant aux unités de soins intensifs des hôpitaux universitaires de Doncaster et Bassetlaw de la Fondation du service national de la santé, à Doncaster, dans le nord de l’Angleterre, a déclaré avoir fait des heures supplémentaires en raison de la pandémie du virus du PCC (Parti communiste chinois), communément appelé le nouveau coronavirus, à un coût personnel énorme.
L’infirmière épuisée a imploré les gens de « se souvenir de son visage » avant de franchir à la légère leur porte d’entrée.
Aimée Goold, qui n’a pas vu sa famille depuis un mois, a publié une image affligeante d’elle-même au travail, avec des marques rouges et des bleus douloureux à voir sur son nez et ses joues. Sur Facebook, le 9 avril 2020, Aimée Goold a complété son portrait d’une puissante mise en garde visant à inciter le public à respecter les règles de distanciation sociale.
« Lorsque vous serez tenté de sortir à Pâques, souvenez-vous de ce visage », a écrit Aimée, selon le Daily Mail. « C’est le visage d’une infirmière des soins intensifs. Le visage de celle qui a travaillé 65 heures au cours des six derniers jours. »
« C’est le visage de la réalité », a poursuivi Aimée Goold. « C’est le visage de la traversée de l’enfer. »
L’infirmière épuisée a ensuite expliqué qu’elle avait eu des plaies douloureuses après avoir porté l’équipement de protection individuelle (EPI) pendant près de 13 heures par jour. Elle a admis craindre pour sa propre santé et celle de ses collègues ; elle a imploré les gens d’être reconnaissants pour les innombrables sacrifices des travailleurs de la santé qui se mobilisent pour sauver la vie des autres.
« C’est le visage de quelqu’un qui n’a pas vu sa propre famille depuis près d’un mois », a écrit Mme Goold. « C’est le visage de quelqu’un qui tient la main d’un membre de votre famille mourant, afin qu’il ne soit jamais seul. »
Malgré son épuisement, Mme Goold s’est engagée à continuer à se battre sur la ligne de front de l’épidémie du virus du PCC, disant qu’elle est fière de le faire. La jeune infirmière a cependant plaidé pour des efforts réciproques de la part du public, malgré son empathie pour la sévérité des mesures de confinement.
« C’est le visage qui vous supplie de respecter les règles de distanciation sociale », a écrit Aimée Goold. « C’est le visage d’une infirmière des soins intensifs qui vous supplie de rester à l’intérieur, de nous protéger, de protéger le service national de santé et de nous aider à sauver des vies. »
L’émouvant plaidoyer de l’infirmière décrivant la bouleversante réalité de la ligne de front des soins de santé est devenu viral.
En réponse au nombre croissant de cas de covid-19 au Royaume-Uni, le ministre de la Santé Matt Hancock s’est adressé aux médias lors d’un briefing quotidien le 11 avril, selon les médias.
Il a déclaré : « N’oublions jamais que derrière ce nombre, derrière chacun d’entre eux, il y a un nom, une perte et une famille qui ne sera plus jamais la même. Nous partageons tous la responsabilité de nous attaquer à ce virus, avant tout en restant à la maison. »
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