À l’occasion de la sortie du très attendu « Gladiator 2 » dans les salles obscures, dont il partage l’affiche avec Paul Mescal et Pedro Pascal, la star américaine s’est confiée à BFMTV.
C’est bien simple, Denzel Washington crève l’écran dans ce second volet du chef d’œuvre de Ridley Scott. L’acteur y interprète Macrinus, un ancien esclave devenu marchand d’armes. Vivant dans l’abondance, il suit de près les affrontements de gladiateurs. Lorsque Lucius, le personnage principal incarné par Paul Mescal, arrive à Rome, Macrinus va l’acheter afin de le faire combattre dans l’arène.
Dans ce film attendu depuis un quart de siècle par les fans, l’acteur est au sommet de son art. En amont de la sortie en salles du péplum à gros budget, la star s’est confiée à nos confrères de BFMTV sur sa préparation pour son rôle. « J’ai fait exprès de ne pas revoir (le premier) en me préparant, parce que je ne voulais pas être influencé », confie-t-il. « Je voulais me lancer avec la tête fraîche, comme si c’était un nouveau film. »
L’acteur révèle également ne pas avoir ressenti de pression particulière, lui qui n’a pas eu à succéder à Russel Crowe, absent de cette suite, qui a reçu l’oscar du meilleur acteur en 2001 pour son interprétation inoubliable de Maximus. « Je ne peux qu’imaginer ce que ça a été pour ce jeune homme de 26 ans, qui a été brillant. Prendre la suite de Russell Crowe, ça, c’est de la pression. Et il a été à la hauteur. »
« Je prends mon travail plus au sérieux que jamais »
L’interprète de Macrinus assure que Ridley Scott lui a laissé « beaucoup de libertés » dans son jeu. Il faut dire que la confiance est grande entre les deux hommes, qui ont déjà travaillé ensemble dans « American Gangster » en 2007. Une relation de travail appréciée par l’homme de 69 ans, qui sait s’adapter au rythme du réalisateur britannique.
Le temps ne semble pas avoir d’emprise sur le quasi-septuagénaire, aussi en forme qu’un gladiateur : « J’ai un mode de vie très sain », affirme-t-il. « Je ne bois pas, je n’ai pas bu un verre de vin depuis dix ans. Je ne fume pas. Je suis ennuyeux ! », plaisante-t-il. Une forme qu’il perçoit malgré tout davantage comme une bénédiction accordée par le divin.
« J’en suis à un point dans ma vie où je veux maximiser ce que Dieu m’a donné. Je prends mon travail plus au sérieux que jamais. Je me prépare pour Othello, puis après je ferai Hannibal. Mon objectif, pour Hannibal, c’est de me tenir debout sur un éléphant, sans t-shirt. À 70 ans. »
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