Le Dr Ryan Cole, pathologiste, a observé des tendances sanitaires alarmantes depuis le lancement des vaccins Covid‑19, notamment des cancers inhabituels, d’autres maladies du système immunitaire, des lésions cardiaques et des décès. Selon le Dr Cole, les vaccins sont formulés pour une souche du virus qui a disparu, mais la protéine spike contenue dans les injections provient de la souche originale de Wuhan et c’est elle qui est à l’origine de ces problèmes de santé.
« Nous savons maintenant que le vaccin est plus dangereux que le virus lui‑même, parce que le vaccin a encore toutes ces capacités pro‑coagulation, toutes ces capacités inflammatoires, alors que la protéine spike d’Omicron n’en a pas », explique le Dr Cole en interview pour American Thought Leaders d’EpochTV.
Au départ, le Covid‑19 était une maladie de la coagulation, poursuit le Dr Cole, mais avec le variant Omicron, le risque de coagulation diminué.
« Le spike vaccinal est toujours le spike original de Wuhan. C’est le spike qui provoque la coagulation. Le spike Omicron n’est pas un spike de coagulation. Cette protéine spike, purement et simplement, est pathophysiologiquement toxique pour le corps humain. »
Le Dr Cole continue à observer des taux plus élevés de cancers peu communs dans des groupes d’âge inhabituels, ainsi que la réactivation de virus à l’origine de maladies comme Epstein‑Barr et le zona, ce qui est en grande partie confirmé par les chiffres de nombreux pays.
« J’étais dans le Kentucky le week‑end dernier. Un radiologue interventionnel est venu me voir. Il m’a dit : ‘Vous ne croiriez pas le nombre de jeunes femmes que je vois avec un cancer du sein, stade 4, agressif’. Je lui ai répondu que je le croyais. »
Le Dr Cole reçoit chaque jour des appels de médecins du monde entier choqués par l’augmentation des cas. Souvent, il est presque impossible pour les patients d’obtenir un rendez‑vous avec un oncologue en raison de l’arriéré, déclare‑t‑il.
Un sondage commandé par l’organisation Children’s Health Defense montre que 15% des sondés ont eu un nouveau problème de santé après avoir été vaccinés contre le Covid‑19. Selon le Dr Cole, une des raisons pour lesquelles ce pourcentage n’est pas plus élevé tient au fait que de nombreuses personnes ont reçu des doses d’ARNm affaiblies qui se sont dégradées en raison des délais et de la température.
Les caillots sanguins
La protéine spike du virus original, qui est encore présente dans de nombreux vaccins, induit des « caillots thrombogènes », explique le Dr Cole.
Il existe des récepteurs dans tout le corps humain, y compris sur les plaquettes sanguines et les parois endothéliales des cellules sanguines.
« Une fois que ce spike se lie, il déclenche toute cette petite cascade. » Tous les éléments chimiques qui servent à lier le spike à divers récepteurs créent des caillots sanguins.
Le Dr Cole a vu ces caillots non seulement post‑mortem mais aussi chez des patients vivants. Ils sont blancs et caoutchouteux, alors que les caillots après la mort sont « rouges et gélatineux ».
En outre, le Dr Cole constaté que les vaccins suppriment l’interféron, « une protéine très importante que les cellules fabriquent pour recruter d’autres cellules qui réagiront aux infections ou au cancer ».
Des doses suffisamment élevées d’ivermectine peuvent aider les personnes souffrant de ce type de caillots, signale le Dr Cole.
Un système immunitaire compromis
La dégradation de la santé est liée à l’affaiblissement du système immunitaire et à l’incapacité de l’organisme à combattre les infections. Les cellules immunitaires qui ont pour rôle de répondre immédiatement aux menaces dans l’organisme cessent de remplir leurs fonctions.
« On a maintenant une tempête qui permet à d’autres infections d’attaquer le corps humain. Cette réponse immédiate n’est pas aussi robuste qu’elle est censée l’être chez la majorité des personnes qui ont reçu le vaccin. »
Selon le Dr Cole, on ne sait pas combien de temps ces vaccinés resteront dans un état d’immunodépression.
« Il semble que ce soit un effet accumulé par la dose. La toxicité des spikes dépend de la dose. Plus il y a de spikes, plus le corps continue à en fabriquer, et plus les systèmes affectés négativement sont nombreux. »
Certaines études indiquent que le vaccin Pfizer diminue la réponse immunitaire innée, poursuit le Dr Cole. Il mentionne une étude réalisée par le chercheur néerlandais F. Konstantin Föhse qui conclut que l’ARNm du vaccin Covid‑19 de Pfizer/BioNtech « induit une reprogrammation fonctionnelle complexe des réponses immunitaires innées, ce qui devrait être pris en compte dans le développement et l’utilisation de ce nouveau type de vaccins ».
Epoch Times a contacté Pfizer pour une demande de commentaires.
Les non-vaccinés « ont une réponse large et non spécifique à toute infection », poursuit le Dr Cole. Ils peuvent combattre l’infection en dix jours environ. Mais pour ceux qui ont reçu les injections, la protéine spike reste dans le système bien plus longtemps et fonctionne telle une toxine.
« Des niveaux infimes peuvent tout de même déclencher tous ces effets néfastes sur le système immunitaire. »
L’étude de Katharina Röltgen, de l’université de Stanford, a révélé que la protéine spike reste dans l’organsime pendant 60 jours au moins.
Les dommages cardiaques
« Nous savons que si la protéine spike pénètre dans les tissus cardiaques, elle va induire toutes ces autres cellules inflammatoires et faire gonfler le cœur. »
Le Dr Cole a examiné les tissus de triathlètes morts en nageant. Ces athlètes étaient au sommet de leur forme, une ou deux semaines seulement après avoir reçu leur deuxième dose de vaccin, et l’autopsie pratiquée par un médecin légiste a révélé une cardiomégalie, c’est‑à‑dire une hypertrophie du cœur.
Le Dr Cole encourage tous ses collègues à rechercher la protéine spike dans ces cas de mort subite d’adultes afin de trouver le lien potentiel avec la protéine spike provenant des injections contre le Covid‑19.
Il semble également y avoir une corrélation entre la période où les jeunes ont commencé à recevoir les vaccins et l’incidence des lésions cardiaques et des décès dans cette cohorte, poursuit le pathologiste.
« Le spike en lui‑même ne détruit pas les tissus. Il atterrit, puis déclenche une réaction inflammatoire. Le corps veut y réagir, alors toutes ces cellules inflammatoires libèrent des cytokines et des produits chimiques qui vont finir par ronger ces tissus. »
Certains membres de l’establishment médical ont déclaré que la myocardite causée par les vaccins était bénigne et qu’il ne fallait pas s’inquiéter. Mais le Dr Cole affirme « qu’il n’existe pas de myocardite bénigne ». Ces cas auront des conséquences à long terme.
Certains chiffres suggèrent que ces vaccins peuvent causer la mort.
Edward Dowd, ancien gestionnaire de portefeuille pour BlackRock, a suivi les décès excessifs chez les adultes en âge de travailler en utilisant les données des compagnies d’assurance. Les statistiques de nombreux pays révèlent une surmortalité par rapport aux années précédentes, et beaucoup d’entre eux affichent des taux de mortalité de 30 à 50% supérieurs chez les jeunes ou les personnes en âge de travailler, rappelle le Dr Cole.
« L’appel à l’action est le suivant : chaque médecin légiste doit demander une coloration du spike et de la nucléocapside sur les organes d’une jeune personne décédée. »
Des vaccins expérimentaux
Dans bien des pays, les vaccins continuent d’être utilisés en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence, de sorte que les entreprises et les organismes publics sont protégés de toute responsabilité.
« Ils peuvent endommager le cœur des enfants, ils peuvent tuer des enfants avec leur protéine spike, mais ils sont intouchables. C’est pour cela qu’ils ne donnent pas aux enfants un produit vraiment approuvé, car il serait tout de suite retiré du marché. »
Les rappels et les injections bivalentes contre le Covid‑19 sont toujours nocifs, car ils contiennent le spike original de Wuhan, précise le Dr Cole.
« C’est vraiment risqué, face aux inconvénients que nous avons énumérés, et il n’y a aucun avantage en retour, juste une petite fenêtre de protection, soi‑disant. »
Chaque fois qu’une personne reçoit une piqûre de rappel, son système immunitaire est endommagé davantage, ajoute‑t‑il.
Le Dr Cole pense que les vaccins ne sont plus d’actualité pour traiter le Covid‑19. Il est grand temps, selon lui, de se tourner vers les traitements précoces.
Diabolisé pour avoir regardé les chiffres
Aucun patient n’a jamais posé plainte contre lui, cependant une grande compagnie d’assurance a rompu sa collaboration et sa pratique médicale en a souffert. Il a six enfants, dont quatre sont à l’université. C’est un véritable défi financier.
Il a été diabolisé par les médias grand public et l’establishment médical.
« J’ai proposé à quiconque d’avancer d’autres chiffres en cas de désaccord. » En réponse, ce fut le silence total.
« Je suis prêt à admettre que je me suis trompé. Ça fait partie de la science. La science consiste à poser une question, tester une hypothèse, et dire : ‘Soit j’ai raison soit j’ai tort, en tout cas, il faut que je vérifie.’ »
Le Dr Cole tient à respecter son serment d’Hippocrate qui consiste à ne jamais nuire à un patient.
« Je n’ai rien dit d’autre que ‘voici la science et les chiffres’. C’est mon travail. Je viens sur la scène de l’accident en tant que pathologiste et je rapporte ce qui se trouve sur la scène de l’accident. Le cancer, les cellules, la tumeur. »
La vraie science
La vraie science ne doit pas avoir d’ordre du jour et doit être impartiale, donc elle ne peut pas être du seule ressort des grandes revues scientifiques car celles-ci sont corrompues par l’argent des grands laboratoires pharmaceutiques. Des institutions comme les National Institutes of Health (NIH) aux États‑Unis contrôlent une grande partie du financement de la recherche.
Selon le Dr Cole, la peur des répercussions et des représailles empêche davantage d’universités et de chercheurs d’étudier les effets des vaccins Covid.
Epoch Times a contacté les NIH pour une demande de commentaires.
Tous les médecins prêtent le serment d’Hippocrate, ils s’engagent ainsi à ne pas nuire à leurs patients. Selon le Dr Cole, les médecins devraient également considérer le mal par omission. Le mal par omission, voilà ce qui est en cours actuellement alors que l’establishment médical se refuse à examiner sérieusement les conséquences des vaccins.
« Je pense que nous devons des excuses à l’humanité, en tant que médecins, de n’avoir pas fait ce qu’il fallait dès le début de la pandémie. Non seulement au niveau des traitements précoces, mais aussi des études que nous pouvons tous faire, mais qui ne sont pas financées. »
Seul un petit groupe de scientifiques questionne à l’heure actuelle l’efficacité des traitements Covid officiellement admis, la majorité évite le débat.
« Il est temps pour l’intégrité et la science de reprendre le dessus. Il est temps pour mes collègues dans leurs grandes tours d’ivoire, pour les scientifiques et les organismes publics, de se lever et de dire, ‘OK, nous avons tout bâclé, mais maintenant nous allons faire de la science à nouveau.’ »
De nombreux pathologistes parlent de ces questions en privé, mais pas publiquement par peur d’être calomniés et de perdre leur carrière, ajoute‑t‑il.
« Selon moi, le problème est que beaucoup d’entre eux, dans les milieux universitaires, bénéficient de subventions importantes. Ils savent que s’ils s’expriment contre le discours des NIH, ils n’obtiendront plus de financements. Certains des groupes privés craignent ce que j’ai vécu s’ils s’expriment contre le narratif dominant, à savoir un rejet de la communauté médicale et des compagnies d’assurance. »
« S’il était simplement question de se mentir à soi‑même, peu importe. Mais les cellules, elles, ne mentent pas. Les caillots ne mentent pas. Les organes endommagés ne mentent pas. »
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