Donald Trump a été calomnié et diffamé des milliers de fois.
Chaque fois qu’un journaliste, une personnalités des médias ou un juge le qualifie d’« insurrectionniste » ou affirme qu’il est coupable d’« insurrection », il s’agit d’un nouveau cas flagrant de diffamation. Il en va de même pour les autres participants des émeutes du Capitol le 6 janvier 2021.
L’insurrection est un crime fédéral grave, passible d’une peine pouvant aller jusqu’à dix ans de prison en vertu du titre 18 du code des États-Unis 2383. Pourtant, alors même que les ennemis de Trump sont à la tête du ministère de la Justice et d’autres organes chargés de l’application de la loi, et malgré toutes les manigances dont ils se sont rendus coupables, personne n’est parvenu à le condamner en vertue de cette fameuse « insurrection ». Dans nos systèmes de gouvernance, aucun juge n’a le pouvoir d’accuser et de condamner quelqu’un de façon unilatérale, et encore moins sans que l’accusé ait la possibilité de se défendre ou de faire appel. C’est pourtant ce qui se passe lorsque des tribunaux et des fonctionnaires du Maine et du Colorado retirent Trump des bulletins de vote des primaires de l’élection présidentielle pour cause d’ « insurrection ». C’est le summum de la diffamation. Et nombreux sont ceux qui sont d’accord avec cela, pour la simple et bonne raison qu’ils n’aiment pas Trump.
Au vu des preuves actuelles, il est raisonnable d’émettre l’hypothèse que, en plus de tous les autres complots que les ennemis de Trump ont pu mettre au point, dans ce cas précis, ils ont manigancé à l’avance le rassemblement du 6 janvier 2021 pour le transformer en « insurrection », et ainsi se préparer une « police d’assurance » l’empêchant de se représenter.
Autrefois de telles hypothèses étaient considérées comme farfelues, mais la donne a changé. N’oublions pas que Peter Strzok, alors agent du FBI, et Lisa Page, son amante présumée, se sont envoyés des SMS en 2016 disant qu’il n’était pas question de laisser Trump accéder à la présidence. Selon leurs messages, les discussions avaient bon train avec le directeur adjoint du FBI de l’époque, Andrew McCabe sur ce sujet. « Je veux croire à la piste que vous avez soumise à l’examen du bureau d’Andy, à savoir qu’il n’y a aucune chance que [Trump] soit élu », a écrit M. Page, « mais je crains que nous ne puissions prendre ce risque. C’est comme une police d’assurance couvrant le cas improbable où vous mourriez avant vos 40 ans. »
La théorie qui voudrait que les ennemis de Trump aient préparé le terrain pour que le 6 janvier soit qualifié d’« insurrection » afin de compromettre sa candidature pour 2024 pourrait expliquer pourquoi tous les agents des forces de l’ordre et les informateurs placés au préalable parmi les partisans de Trump le 6 janvier n’ont pas rempli leur mission usuelle, à savoir prévenir les crimes et désamorcer les risques. Au lieu de cela, selon de nombreux témoignages, ils se sont contentés de laisser faire, ont facilité les choses, ont laissé les infractions se produire et ont décidé de ne pas séparer les instigateurs et les organisateurs comme ils l’auraient systématiquement fait en temps normal.
Pourtant, en fin de compte, il n’y a pas eu d’insurrection – c’est en tous cas ce que pensent les procureurs, sinon ils se seraient déjà saisi du dossier. Et Trump a contribué à anéantir toutes chances qu’on puisse officiellement l’en accuser en demandant expressément à ses partisans ce jour-là de « faire entendre leur voix de manière pacifique et patriotique ».
Les adversaires de Trump, tant dans les rangs démocrates que républicains, sont tellement ravis de le voir persécuté, ils se sentent tellement menacés par une nouvelle présidence Trump, sa présidence échappe tellement aux intérêts traditionnels du pouvoir et de l’argent, qu’ils facilitent la diffamation et soutiennent toutes les manigances à son encontre. À quelques exceptions près, par exemple Robert F. Kennedy Jr. Mais ceux qui, en temps normal, auraient critiqué le type d’actions montées contre Trump, restent silencieux. Ils ont trop peur d’être assimilés à des partisans de Trump dans un environnement où ce genre de positionnement les expose à l’ostracisme voire pire. Les médias et ceux qui contrôlent notre information sont tellement empêtrés dans leurs préjugés respectifs qu’il n’y a plus personne pour mettre fin à cette folie.
La véritable signification de ce qui est infligé à Trump est la suivante : en réalité ils sont convaincus qu’il va gagner. Malgré les mises en accusation, les écoutes téléphoniques illégales, la censure, les conspirations des agences de renseignement, les accusations criminelles, les poursuites civiles et les renégats opérant contre lui – la popularité de Trump a augmenté. Cela ne l’a pas empêché de revenir sur le devant de la scène en 2024. Il est là ! Il est venu sans Twitter. Il est venu sans Facebook. Il est venu sans Snapchat, Discord ou Stripe. D’une manière ou d’une autre, il est toujours là !
Le retrait de Trump des bulletins de vote est la dernière tentative en date de la part de l’establishment pour censurer un candidat dont ils pensent clairement qu’il gagnera. Nous avons atteint un seuil dangereux et inquiétant lorsque tant de personnes sont prêtes à détourner le regard tant que la personne qui est attaquée n’est pas leur candidat à eux.
Trump peut potentiellement intenter une action pour diffamation contre tous ceux qui continuent à le qualifier d’insurrectionniste. Les juges de la Cour suprême du Colorado et la secrétaire d’État du Maine, Shenna Bellows, en font partie. Mais c’est peut-être une bataille perdue d’avance. La présidentielle de 2024 en revanche? C’est une autre affaire.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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