Un lion s’est libéré de son enclos, tuant une femme de 22 ans aux États-Unis

31 décembre 2018 20:34 Mis à jour: 31 décembre 2018 20:46

Un lion qui s’est échappé de son enclos a tué une personne au Conservators Center dans le comté de Caswell, Caroline du Nord, selon des informations du 30 décembre.

La victime a été identifiée comme étant Alexandra Black, 22 ans, originaire de New Palestine, Indiana, a déclaré le service de police de Caswell dans une déclaration. Le lion a ensuite été abattu, selon ABC11.

A. Black était récemment diplômée de l’Université d’État de l’Indiana et était engagée au Conservators Center depuis environ deux semaines.

Un lion s’est échappé de son enclos et a tué une personne au Conservators Center dans le comté de Caswell, Caroline du Nord (Google Maps).

Les agents policiers du comté de Caswell ont essayé de tranquilliser le lion mais ont échoué, alors ils ont tiré et tué l’animal pour récupérer le corps de Mme Black, a rapporté USA Today.

Le Conservators Center a publié une déclaration disant qu’il était « dévasté par la perte d’une vie humaine », a rapporté ABC News.

« Pendant qu’une équipe d’éleveurs dirigée par un gardien d’animaux professionnellement formé effectuait un nettoyage de routine des enclos, l’un des lions a en quelque sorte quitté un espace verrouillé et est entré dans l’espace où se trouvaient les humains et a rapidement tué une personne », a déclaré le centre dans un communiqué, NBC News a rapporté.

Une entrée vers le Conservators Center  (WTVD/ABC11 via AP)

Il n’est pas clair comment le lion s’est échappé de son enclos, a dit le service de police.

Le Conservators Center, situé dans le comté rural de Caswell, abrite environ 80 animaux, selon son site Web. Il est fermé jusqu’à nouvel ordre dans le cadre d’une enquête, a rapporté ABC11.

L’installation a été fondée en 1999 et se trouve à Burlington, à environ 80 km au nord-ouest de Raleigh. Sur son site Web, le centre a déclaré qu’il a commencé à offrir des visites publiques en 2007 et reçoit plus de 16 000 visiteurs par an, selon l’Associated Press.

Elle compte plus d’une douzaine d’employés et abrite actuellement plus de 21 espèces. Le centre dit qu’il a accueilli 14 lions et tigres en 2004 pour aider le Département de l’Agriculture des États-Unis à s’occuper des animaux qui vivaient dans des « conditions inacceptables ». Un appel aux commentaires a été laissé par un porte-parole du service de police du comté.

Un propriétaire de parc de safari britannique a été sévèrement mutilé par un lion plus tôt cette année, selon les rapports.

Michael Hodge enquêtait sur une odeur dans l’enclos du lion au sanctuaire animalier de Marakele en Afrique du Sud en mai 2018 au moment de l’attaque, rapporte The Guardian. Des images vidéo de l’incident ont été mises en ligne.

« Le propriétaire a été immédiatement transporté à l’hôpital avec de graves blessures. Il est actuellement en convalescence », a déclaré le lieutenant-colonel Moatshe Ngoepe, porte-parole de la police en Afrique du Sud, dans la publication. M. Hodge a ensuite été transporté par avion à un hôpital de Johannesburg en mai, rapporte le Telegraph. « Il a une mâchoire cassée et plusieurs lacérations, mais il se remet bien », a déclaré sa famille dans un communiqué.

Une femme de 22 ans a également été mutilée dans une réserve de chasse privée en Afrique du Sud en mars. Ce lion était sous les soins d’un homme surnommé le « chuchoteur de lions » en raison de ses interactions étroites avec les prédateurs.

Version originale

Cet article vous a intéressé ? Partagez-le avec vos amis et laissez-nous vos commentaires.

VIDÉO RECOMMANDÉE :

Le Safari Park Zoo, ou « zoo de l’enfer », en Albanie, a enfin fermé ses portes

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.