Meurtre de Louise : deux personnes de 23 ans et 55 ans placées en garde à vue

Par Epoch Times avec AFP
10 février 2025 16:08 Mis à jour: 10 février 2025 18:11

Un homme et une femme ont été interpellés et placés en garde à vue lundi après-midi dans le cadre de l’enquête sur le meurtre de Louise, 11 ans, dont le corps a été retrouvé dans un bois à Longjumeau (Essonne), a indiqué le parquet d’Évry.

L’homme, âgé de 23 ans, est mis en cause pour meurtre sur une mineure de moins de 15 ans, tandis que la femme, âgée de 55 ans, est mise en cause pour non-dénonciation de crime. « Des vérifications sont en cours afin de déterminer leur éventuelle implication dans la commission de ces faits », précise le ministère public.

Le corps de Louise, disparue à la sortie de son collège vendredi après-midi, a été retrouvé vers 2h30 samedi dans le bois des Templiers à Longjumeau, à quelques centaines de mètres de son établissement scolaire.

Une enquête pour meurtre sur mineur a été ouverte par le parquet d’Évry. Selon une source policière, l’adolescente a été « frappée plus d’une dizaine de fois par un objet pouvant être un couteau », notamment au niveau du torse et du cou. L’autopsie réalisée à l’institut médico-légal de Corbeil-Essonnes a confirmé « que la fillette avait été lardée de nombreux coups piquants et tranchants », a précisé cette même source.

Un couple d’une vingtaine d’années avait été placé en garde à vue samedi avant d’être relâché sans poursuites. Des fouilles ont été menées dimanche jusqu’en fin d’après-midi dans le bois des Templiers. Selon une source proche du dossier, le téléphone de la victime a été retrouvé à proximité de son corps.

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.