Le père d’un garçon ontarien de 17 ans décédé en septembre 2021 a lancé une collecte de fonds pour poursuivre le gouvernement fédéral, alléguant que son fils est mort après avoir été obligé de prendre un vaccin Covid-19, approuvé par Santé Canada, pour jouer au hockey.
Dan Hartman soutient que son fils Sean est mort 33 jours après avoir reçu son premier vaccin Covid-19. Dans un message vidéo diffusé le 3 août, il affirme que sa demande d’indemnisation auprès du Programme canadien de soutien aux victimes de vaccins a été rejetée. Le père a déclaré que le programme lui avait répondu qu’il n’y avait « aucune preuve » que le vaccin soit responsable de la mort de son fils.
M. Hartman a affirmé que pour faire appel, il devait obtenir de nouvelles preuves médicales.
« J’ai maintenant ces preuves médicales », a-t-il dit, ajoutant qu’un pathologiste américain a « étudié les échantillons de tissus de Sean et les a colorés pour rechercher les protéines spike dans son corps, là où elles n’auraient pas dû se trouver ».
M. Hartman a déclaré qu’il allait maintenant « contester la décision du gouvernement fédéral et demander des comptes sur les décès liés aux vaccins ».
« Ce n’est que le début d’une bataille juridique qui s’annonce longue et difficile pour obtenir des réponses pour Sean, créer un précédent crucial et demander des comptes au Canada », a expliqué M. Hartman, annonçant qu’il avait mis en place une campagne de crowdfunding en ligne GiveSendGo pour l’aider à couvrir ses frais de justice.
Le père a annoncé pour la première fois dans un message sur les réseaux sociaux le 26 juillet qu’il avait trouvé des avocats pour s’occuper de l’affaire de son fils et que le Dr Peter McCullough, cardiologue et épidémiologiste américain de Dallas (Texas), avait accepté de témoigner en tant qu’expert.
« C’est l’affaire juridique dont nous avons tous besoin pour nous battre et prendre une décision ! La vérité doit éclater au grand jour ! Tout ce que mon fils voulait, c’était jouer au hockey, et ils l’ont forcé à se faire vacciner. Maintenant, nous l’avons perdu à jamais. », a confié le père.
Dans une déclaration faite à Epoch Times le 10 août, M. Hartman a indiqué qu’il avait récemment engagé deux avocats pour le représenter dans cette affaire.
Santé Canada n’a pas répondu aux demandes de commentaires à l’heure où nous publions.
« Nous allons intenter une action en justice contre le gouvernement canadien d’ici la fin du mois de septembre. Nous devons collecter suffisamment d’argent pour payer les témoins experts, leurs déplacements et leur hébergement. Le docteur Peter McCullough viendra au Canada pour témoigner », a déclaré M. Hartman.
Il n’a pas été possible de joindre le docteur McCullough pour confirmer son implication dans l’affaire.
La mort de Sean
La collecte de fonds indique que l’argent récolté, plus de 50.000 dollars à l’heure où nous publions cet article, servira à payer les témoins experts, les frais d’avocat et les débours.
« L’importance de cette affaire va au-delà de la mort prématurée et déchirante de Sean ; elle répond à un besoin plus large de transparence et de responsabilité dans les traitements pharmaceutiques obligatoires et les mesures de santé publique », peut-on lire sur la page Web de la collecte de fonds.
Une partie des dons sera versée à la fondation caritative du Dr McCullough.
Pendant la pandémie, l’Association du hockey mineur de l’Ontario a mis en œuvre une politique de vaccination obligatoire pour tous les joueurs âgés de 12 ans et plus.
M. Hartman a déjà affirmé que Sean avait décidé de se faire vacciner en août dernier afin de pouvoir continuer à jouer, le hockey étant sa passion. En Ontario, il n’y a pas d’âge minimum de consentement en vertu de la Loi sur le consentement aux soins de santé, ce qui signifie que les jeunes de l’âge de Sean peuvent se faire vacciner sans le consentement de leurs parents.
« Le 25 août, il a donc reçu le vaccin de Pfizer. Le 29 août, il s’est rendu aux urgences – il avait des cercles bruns autour des yeux, une éruption cutanée et il vomissait », a déclaré M. Hartman.
« Ils l’ont renvoyé chez lui avec seulement de l’Advil. Le médecin n’a pas fait deux analyses de sang qu’il aurait dû faire. Un autre médecin m’a dit qu’il aurait dû les faire. Et le matin du 27 septembre, il a été retrouvé mort sur le sol à côté de son lit. »
« C’était un garçon en parfaite santé. Il n’avait aucune affection sous-jacente », a indiqué M. Hartman. « Ils ne savent pas pourquoi il est mort. Personne ne peut me dire pourquoi il est mort. J’ai demandé au médecin légiste : ‘Pouvez-vous me dire à 100 % que ce n’était pas le vaccin ?’ Et il a répondu ‘non’ ».
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