Dans un article exclusif, le Journal du dimanche révèle que 3 500 détenus, sur les quelque 70 000 que compte la France, ont été libérés depuis le début du confinement.
« Les mesures exceptionnelles que nous avons prises ont eu un impact significatif dans les prisons », se réjouit la ministre de la justice Nicole Belloubet.
La crise sanitaire que la France traverse actuellement à cause de la pandémie du virus du PCC a poussé la garde des Seaux à agir afin de désengorger les établissements pénitentiaires du pays.
Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus, à l’origine de la maladie COVID-19, de « virus du PCC » parce que la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine avant d’être transmis dans le monde entier.
COUVERTURE SPÉCIALE : VIRUS DU PCC
En janvier 2020, la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a condamné la France pour la suroccupation de ses prisons, dont le taux d’occupation est de 116 % en moyenne.
Les détenus libérés sont assignés à domicile et « ils seront réincarcérés s’ils ne respectent pas les obligations du confinement », précise la garde des Sceaux.
Les libérations spéciales qui se font actuellement à cause de l’épidémie de coronavirus ne s’appliquent pas aux détenus condamnés pour crime, violences conjugales, ni pour des faits de nature terroriste.
Au début du confinement, la ministre de la Justice avait annoncé que 100 000 masques de protection seraient envoyés dans les prisons du pays malgré la pénurie de masques, une mesure destinée principalement à éviter de possibles mutineries.
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