Donald Trump continue à affirmer que les élections présidentielles sont « loin d’être terminées » et il a promis samedi dernier d’entamer de multiples procès pour contester les résultats annoncés jusqu’à présent. Bien que les médias aient déjà proclamé l’ancien vice-président Joe Biden comme « président élu », le simple fait de le dire ne suffit pas.
Peu importe ce que vous pensez de l’un ou de l’autre des candidats, mais Trump a raison : les élections ne sont pas terminées tant qu’il n’a pas cédé ou tant que les États américains n’ont pas certifié les résultats. Les délais de certification sont déterminés par la loi et varient d’un État à l’autre. Toutefois, la certification doit avoir lieu avant la réunion du collège électoral du 14 décembre.
En attendant, il y a de nombreuses indications de fraudes électorales importantes et susceptibles de modifier les résultats des élections – l’équipe de Trump mènera une enquête sur ces cas dans les prochains jours.
Notamment, sur le refus des autorités électorales de Detroit, Atlanta, Philadelphie et d’autres villes de permettre la participation au comptage des votes des observateurs de l’équipe de campagne de Trump, ou sur des augmentations de votes hors du commun pour Biden à minuit dans plusieurs États où les responsables électoraux ont déclaré avoir renvoyé leur personnel chez lui pour la nuit.
La plus urgente de ces anomalies à résoudre est le « bug » informatique annoncé par le greffier du comté d’Antrim (Michigan) vendredi dernier – le « bug » qui a provoqué une hausse de 6 000 votes pour Biden dans un comté que Trump a remporté haut la main en 2016.
Une fois le « bug » corrigé, ces votes ont été crédités à Trump.
Laura Cox, la présidente du Parti républicain de l’État du Michigan, a annoncé : « Depuis lors, nous avons découvert que 47 comtés ont utilisé ce même logiciel dans le même but. » C’est plus que dans la moitié des 83 comtés du Michigan.
Un « bug » similaire a été découvert par les responsables électoraux dans deux comtés de Géorgie le jour du scrutin et cela a interrompu le vote pendant plusieurs heures. Comme au Michigan, ces comtés ont utilisé des machines à voter fabriquées par Dominion Voting Systems et des carnets de vote électroniques fabriqués par KnowInk. Ces entreprises « ont téléchargé quelque chose hier soir, ce qui n’est pas normal, et cela a causé un pépin », a déclaré à Politico la superviseure des élections du comté de Spaulding. « C’est quelque chose qu’ils ne font jamais. Je ne les ai jamais vus mettre à jour quoi que ce soit la veille des élections », a-t-elle ajouté.
C’est exactement ce que je viens de décrire en détail dans mon nouveau livre The Election Heist, où des personnes malveillantes téléchargent un « patch » sur un serveur VPN contrôlé par le fabricant de matériel de vote dans le but de tromper des responsables électoraux peu méfiants.
Comme l’a dit à juste titre Marcia Ridley, superviseure des élections du comté de Spaulding, c’est quelque chose qui ne se fait pas. Ce n’est pas normal. Et ce n’est peut-être pas un accident.
Nous apprenons maintenant que le même équipement électoral, fabriqué par Dominion Voting Systems, est utilisé dans pratiquement tous les États clés que le président Trump gagnait confortablement le soir de l’élection – pour ensuite perdre de justesse après que davantage de votes ont été « comptés ».
J’ai mis « compté » entre guillemets délibérément, car les comptages manuels pourraient bien déterminer que ces votes ont en fait été mal comptés.
Bien que mon livre soit une fiction et qu’il ait été publié trois mois avant les élections, il ne s’agit pas d’une fantaisie. Il est basé sur une enquête approfondie des défauts de systèmes de vote électronique américain que j’étudie depuis plusieurs années, en comparant mes notes avec celles d’experts en cybersécurité du secteur privé et du gouvernement.
Dans mon livre, j’ai également prédit que les médias nationaux projetteraient de faux décomptes de votes pour créer l’impression que Trump avait perdu l’élection, afin de décourager les électeurs de Trump et les fonctionnaires républicains de poursuivre les accusations de fraude électorale.
Il m’est apparu évident dans mes recherches que la seule façon pour les démocrates de prédire avec confiance la victoire sur un président aussi énormément populaire que Donald Trump – dont les rassemblements de dernière minute ont attiré des dizaines de milliers de personnes en comparaison aux dizaines de personnes qui sont sorties dans leur voiture pour assister aux rassemblements du candidat à la présidence Joe Biden – était de falsifier les sondages et de pirater le logiciel électoral.
On voit maintenant clairement que de nombreux sondages ont été truqués. Un sondage de l’ABC News-Washington Post montrait que Biden devait remporter le Wisconsin avec 17 % d’avance sur Trump quelques jours avant le jour du scrutin. À mon avis, ce sondage et d’autres sondages similaires visaient à éliminer la participation des électeurs de Trump le jour du scrutin – en voyant un avantage ainsi énorme de Biden, ils seraient démotivés d’aller voter en pensant que leur voix ne changera rien.
Lors d’un entretien avec les journalistes juste la veille du jour du scrutin, Jen O’Malley Dillon, directrice de campagne de Biden, a passé en revue les calculs montrant les pourcentages en nombre de votes que Trump devrait gagner ce jour afin de parvenir à remporter les élections dans chaque État.
En Arizona, par exemple, elle a déclaré que Biden avait sur son compte 53 % des votes par correspondance et des votes anticipés, de sorte que Trump « devrait obtenir 60 % des votes restants pour gagner ».
Le jour des élections, Trump a remporté 65,9 % des votes, selon des résultats non officiels publiés par le secrétaire d’État de l’Arizona.
De même, en Pennsylvanie, Jen O’Malley Dillon a estimé que Biden avait remporté 67 % des 2,6 millions de bulletins de vote anticipés et par correspondance. Pour surmonter cet avantage, Trump avait besoin de 59% de votes le jour du scrutin.
Les résultats réels ont montré que Trump a remporté 66 % des votes ce jour-là et qu’il a quand même perdu, car Biden avait remporté 76,95 % des votes anticipés et par correspondance.
Ce serait complètement sidérant d’apprendre que l’équipe de Biden avait manqué autant de votes anticipés et par correspondance dans ses projections préélectorales. Que s’est-il donc passé ? Nous ne le savons pas encore.
Mais je suis certain qu’il y a une façon de détecter tous les « bug » informatiques – c’est de procéder à un recomptage manuel des bulletins de vote en papier. Si le logiciel a été piraté, le fait de recompter les bulletins par les mêmes machines ne fera que reproduire le même mauvais décompte. Seul un recompte manuel pourra permettre de découvrir la vérité.
C’est ce qui est sur le point de se produire en Géorgie et au Wisconsin, et devrait se produire au Michigan, en Arizona, au Nevada et en Pennsylvanie. Que le recompte de votes commence !
Kenneth R. Timmerman est l’auteur de best-sellers, dont ISIS Begins; Deception: The Making of the YouTube Video Hillary and Obama blame for Benghazi et le récent livre The Election Heist.
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Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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