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Un homme est complètement transformé après avoir arrêté de boire 12 bières chaque soir

mai 24, 2019 16:33, Last Updated: juillet 11, 2019 0:13
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Un père californien a dit qu’il buvait jusqu’à 12 bières chaque soir en plus d’un verre de vin avec son épouse.

Lors d’une entrevue avec Tonic, Cheyne Kobzoff, un chef cuisinier dans un restaurant, a confié qu’il consommait « de l’alcool pour traiter mon anxiété, mais cela n’aidait pas ».

À 33 ans, M. Kobzoff a décidé d’arrêter complètement de boire. En même temps, il a commencé à courir pour faire de l’exercice dans l’espoir de réduire l’anxiété qu’il ressentait. Environ un an plus tard, il a rédigé un article viral sur Reddit sur sa perte de poids.

M. Kobzoff a dit que la taille de ses pantalons avait beaucoup diminué et qu’il avait perdu 24 kg en arrêtant de boire.

Le message disait qu’il n’avait pas eu un moment de désespoir qui l’avait poussé à arrêter de boire.

« Ça s’est accumulé avec le temps. L’alcoolisme existe dans ma famille, alors j’ai commencé à boire quand j’avais 15 ans. C’était normal d’aller boire tous les week-ends, ce qui s’est finalement transformé en tous les jours », a-t-il dit au journal télévisé.

M. Kobzoff ne se considérait pas vraiment comme un alcoolique. Mais maintenant, oui.

« Je l’admets maintenant, mais ça fait bizarre de le dire. Je sais juste que je ne peux pas boire. J’aurais peur que si je le faisais, je retomberais dans le même cycle », a-t-il dit.

« Je n’aimais pas ce que je devenais. Je n’aimais pas ce que ça faisait à mon corps. En fait, j’avais essayé d’arrêter il y a deux ans, le lendemain d’un mariage, j’avais bu tout ce que j’avais en vue et j’avais vomi pendant 24 heures. Mais je n’ai arrêté que pendant un mois. Je m’étais donné ce but de 30 jours, mais ensuite je m’étais remis à boire encore plus. Je buvais jusqu’à 12 bières chaque soir, puis ma femme rentrait à la maison et je prenais un verre de vin ou deux avec elle. Je me sentais tellement mal tous les matins en allant travailler. »

Après avoir arrêté de boire, M. Kobzoff a dit qu’il prenait des bonbons, il se gavait de bonbons.

« Je me gavais de bonbons, c’est sûr. Il manquait tout ce sucre à mon corps. J’ingurgitais des sacs de bonbons, toutes sortes de bonbons. Je buvais aussi du soda, qui était un gros substitut calorique pour la bière. Cela a duré environ un mois », a-t-il ajouté.

M. Kobzoff a également décrit un sentiment d’exaltation qui provenait du fait de ne pas boire.

« Je pouvais faire la queue dans un magasin puis, tout à coup, j’avais ce sentiment d’être très heureux. Je me sentais physiquement heureux au point où j’en pleurais presque. Je n’avais jamais rien ressenti de tel auparavant », a-t-il noté.

Une photo d’archives de bière (Petits visuels/Pexels)

Il a commencé à courir, puis à soulever des poids. « Je n’ai jamais été capable de faire des redressements assis. Mais, finalement, j’ai commencé à soulever des poids, à m’accroupir, à m’accroupir et à m’asseoir sur le banc de musculation et, peu de temps après, j’avais des muscles abdominaux. J’ai donc essayé de voir si je pouvais faire quelques redressements assis puis, tout d’un coup, je pouvais en faire 60. C’est plutôt cool d’en faire autant que je veux », a-t-il dit.

Mais il a aussi souligné qu’il ne s’agissait pas de perdre du poids.

« Je suis plus présent pour mes enfants et ma famille. Je me lève tôt, je ne fais pas semblant de ne pas avoir la gueule de bois, puis d’aller vomir sous la douche. Mes enfants ne me demandent plus si j’ai besoin d’une ‘bière’. En fait, ils m’ont demandé pourquoi je ne bois plus et je suis tout à fait honnête avec eux », a-t-il dit.

Il a ajouté : « Ils sont très jeunes. Le travail est plus facile, je suis plus confiant. Je peux rester debout plus tard et me lever plus tôt. Je ne prévois plus ce que je devrais manger ni quand je devrais manger juste pour pouvoir boire davantage sans avoir la gueule de bois. Je ne me réveille plus étouffé par du vin rouge régurgité au milieu de la nuit dans mon nez. Plus de brûlures d’estomac. Je conduis ma voiture, ma femme n’a plus à me raccompagner quand nous sortons. Mes cheveux ne tombent plus. Je peux faire des pull-ups, je peux courir et distancer mon chien quand nous sortons. Je n’ai ni la langue blanche ni un bronzage de bar. Je ne pue pas comme un tapis de bar aigre-doux. »

 

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