Frank James Cellucci, un ingénieur de Santa Cruz, en Californie, a partagé avec Epoch Times sa compréhension de l’article « Pourquoi l’humanité existe‑t‑elle ? », de M. Li Hongzhi, le fondateur du Falun Gong, le 3 février. L’article a été publié à la veille du Nouvel An chinois.
« J’apprécie beaucoup cet article. La première fois que je l’ai lu, j’ai eu un sentiment d’espoir. »
M. Cellucci a sa propre entreprise de construction et d’immobilier en Pennsylvanie et en Californie. Il a lu l’article sur FalunDafa.org. L’article lui a été transmis par l’un de ses amis pratiquant le Falun Gong.
Le Falun Gong est une discipline du corps et de l’esprit. Elle repose sur les principes universels d’authenticité, de compassion et de tolérance. Toutefois, cette pratique est persécutée en Chine par le Parti communiste chinois depuis 1999. [Pour suivre la persécution, cliquez ici.]
M. Cellucci déclare : « Je pense que le professeur Li a une grande perception, une grande perspicacité, une grande sagesse et une compréhension profonde. Et je me suis fait cette opinion seulement en lisant cet article. »
M. Cellucci a lu l’article plusieurs fois.
« Plus je lis l’article, plus je le comprends, plus je peux le comparer à d’autres religions. Je pourrais le comparer à des événements survenus dans le monde, à des événements historiques. Il y a beaucoup de choses dans cet article. Une grande quantité d’informations. »
« J’encourage tout le monde à lire cet article. »
M. Cellucci se considère comme une personne interconfessionnelle. Il a étudié différentes religions et y a rencontré de bonnes comme de mauvaises personnes.
« Avertir les gens »
« Je pense que le maitre Li publie l’article pour avertir les gens », poursuit M. Celluci.
« Les avertir que nous sommes dans la phase de destruction, les prévenir de ce qui va bientôt arriver, et aussi décrire la création des trois Mondes, bien faire comprendre qu’à la fin de la phase de destruction, tous les êtres vivants périssent. »
L’article de M. Li décrit les quatre étapes du long processus de création, stabilité, déclin et destruction de l’univers, et affirme que l’humanité se trouve actuellement à la phase de destruction, la phase finale.
« En lisant l’article en entier, c’est le sentiment que j’ai, que les mauvaises personnes, les mauvaises choses que les gens ont créées, tout cela sera détruit. »
M. Cellucci décrit les mauvaises personnes comme celles qui sont « pleines de haine et de rage, qui provoquent des conflits et qui détruisent tout ce avec quoi elles entrent en contact ». Il pense que les mauvaises personnes sont peu nombreuses. « Mais ce faible pourcentage de mauvaises personnes crée des problèmes pour toutes les autres. »
« J’ai toujours cru, tout au long de ma vie, qu’il vaut mieux essayer de constamment faire le bien, la bonne chose, être utile. » Il a été abusé par certaines personnes par le passé : « Je continue à toujours essayer de faire ce qui est juste, [de] la bonne manière et d’être utile. Toutefois, je suis beaucoup plus prudent maintenant. »
M. Cellucci croit en la réincarnation, car des preuves existent sur ce point.
« Cela donne de l’espoir pour l’avenir »
« Il y a aussi une phrase dans l’article de M. Li qui dit ‘sauver les gens et leur permettre de retourner au Ciel' », rappelle‑t‑il. « J’ai pu m’identifier à cet article, dès la première lecture. Je l’ai trouvé très intéressant. Et il est porteur d’espoir. »
Il cite un extrait : « Que l’on soit riche ou pauvre en ce monde, il faut donc absolument faire de bonnes choses, pas de mauvaises, préserver la bienveillance, respecter le Ciel et le divin, aider autrui avec joie. Ainsi peut‑on accumuler des bénédictions, bénéficier dans la vie suivante d’une récompense de bonheur. (…) Le plus important dans le fait d’avoir beaucoup de ces bénédictions est de les utiliser pour paver le chemin de son propre retour au Ciel. »
« Il le dit très clairement, il y a une autre vie », souligne M. Cellucci. « Pour moi, cela donne de l’espoir pour l’avenir. »
« Pour moi, cela indique que, même si à la dernière étape, alors qu’il y a destruction complète [et] que tous les êtres vivants périssent, certaines personnes, et aussi, à mon avis, certains animaux, seront sauvés, ils iront dans un endroit meilleur. »
« Il faut avoir de l’espoir dans tout ce que nous faisons, tout ce que nous disons, dans nos rêves. Il faut avoir l’espoir que les choses vont marcher et que tout ira bien, de l’espoir en l’avenir. C’est ce à quoi nous aspirons en tant que personnes, ce pour quoi nous nous dépassons. Sauf s’agissant des mauvaises personnes, les mauvaises personnes ne veulent pas de cela, elles veulent la destruction ici et maintenant. »
M. Cellucci voit de l’espoir dans le fait que les bonnes personnes pourront « retourner vers ce que la Bible décrit comme le paradis du jardin d’Eden ».
Le monde du désir
La description de M. Li des quatre étapes du processus que traverse l’univers, ainsi que celles des trois mondes (les mondes du désir, de la forme et du sans forme), ont attiré l’attention de M. Cellucci.
Il est tout à fait d’accord avec la description que fait l’article du monde du désir, celui dans lequel les êtres humains vivent, décrit comme étant le plus difficile.
« Le monde dans lequel nous nous trouvons est sans aucun doute le monde du désir. Les gens vivent leur vie pour satisfaire leurs désirs d’une manière ou d’une autre. Et il y a beaucoup de luttes, de conflits, de problèmes, de souffrances, pour essayer d’assouvir ces désirs. »
« Dans mon cas, par exemple, j’ai toujours cru, très jeune déjà, que si je ne m’efforce pas, ni ne poursuis ces désirs, mon existence devient plus agréable, plus plaisante, plus facile à vivre. Je suis beaucoup plus coopératif avec les autres. »
« Ne pas s’efforcer de satisfaire ses désirs personnels est une façon altruiste de vivre. C’est une façon de vivre ou on prend soin des autres. Malheureusement, la plupart des gens ne le font pas. Il s’agit d’un autre élément de cet article qui a beaucoup retenu mon attention. »
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