PARIS –Et si on se faisait une pause café? Tous les quarantenaires et plus, se souviennent encore de cette charmante assistante sociale qui, épisode après épisode, prenait fait et cause pour ces jeunes, démunis ou sous le coup de la justice…
Véronique Jannot, quelques printemps plus tard, est restée la même, toujours ce magnifique sourire et ce regard rieur empreint de bienveillance…
Samedi 11 avril, elle était au Palais des Congrès de Paris afin d’assister à Shen Yun. Elle a livré ses impressions concernant le spectacle de cette célèbre compagnie de danse et de musique classique chinoise. «C’était magnifique! Les décors sont superbes!» a-t-elle déclaré, très enthousiaste. «Cette idée de faire intervenir les images, les projections qui, tout à coup, arrivent dans la réalité, c’est superbe!» s’est-elle émerveillée, évoquant à titre d’exemple, la Fable du pinceau magique: « C’était le début, on voyait justement l’interaction entre les projections et le plateau, c’est une très belle idée, c’est vraiment sympa!»
En effet, l’arrière-plan numérique présent à chaque tableau, plonge le spectateur dans un paysage qui s’anime au gré de l’histoire et transpose les différents personnages de la scène, danseurs réels, en personnages animés virtuels.
Des danseurs, Véronique Jannot retiendra avant tout «des couleurs, de la gaîté» et du «talent». «Les danseurs étaient magnifiques, les costumes sublimes, je me suis régalée, je les ai trouvés formidables!» s’est elle exclamée.
L’ «harmonie» , précise t-elle, est aussi présente, notamment à travers les couleurs, chatoyantes, des costumes et les scènes présentées dans le décor animé, à l’image «des bleus et des verts» portées par les fées phénix du paradis de Saphir…
Maman d’une jeune fille originaire du Tibet, Véronique Jannot a, d’autant plus, apprécié le tableau présentant le charme rude des Tibétains dansant joyeusement au pied des cimes enneigées de l’Himalaya.
La musique classique chinoise interprétée par les musiciens solistes a aussi constitué un moment «absolument magique» pour Véronique Jannot, notamment, avec l’interprétation de Mei Xuan et le erhu, ce violon à deux cordes capable d’exprimer une immense palette d’émotions aussi variées que la joie, la tristesse ou encore la colère.
De tous les tableaux présentés, celui qui l’aura davantage touchée a été «la danse de la compassion», qu’elle a qualifié de «très, très fort». Ce tableau présente une scène de vie de la Chine contemporaine, où des pratiquants de Falun Gong, une méthode de méditation bouddhique, sont persécutés par des policiers chinois. Leur grande compassion va amener l’un des policiers à changer d’avis…
En effet, l’aspect spirituel a été très présent tout au long de l’histoire de la Chine et est donc mis à l’honneur au cours du spectacle. Véronique Jannot y a été sensible et a déclaré: «Je regrette que ce soit autant perdu, parce que la Chine est un grand pays. C’est un grand peuple et ce qu’il s’y passe n’est pas forcément ce qu’on souhaiterait pour ce pays. Je pense qu’il y a beaucoup d’interdits et que les gens ne sont pas forcément heureux! C’est très dommage, parce ce qu’il y a tellement tout pour que le bonheur y soit!»
L’approche du divin, évoqué dans les chants du ténor ou de la soprano, l’ont touchée «au plus haut point» et elle s’est dite «heureuse de voir ces belles paroles», précisant aussi que «le message spirituel est haut». Selon elle, «il faut déjà avoir commencé pour y avoir accès, mais de toutes façons, plus on parle de spiritualité, mieux c’est, on n’en a jamais trop!»
D’après un reportage de NTDTV.
Quatre compagnies de Shen Yun Performing Arts sont en tournée dans le monde entier. Pour en savoir pmus, cliquez ici.
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