« Grâce au professeur Didier Raoult, 50 000 tests ont été déjà effectués », indique Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille, à France Info.
Face à la pandémie du virus du PCC (Parti communiste chinois) connu communément comme le nouveau coronavirus, le maire de Marseille a déclaré ce mercredi 8 avril sur France Info, que 50 000 personnes ont été testées dans sa ville.
En 2017, Marseille, seconde ville de France, comptait 863 310 habitants.
« Une personnalité importante »
« Grâce au professeur Didier Raoult, 50 000 tests ont été déjà effectués et depuis plusieurs maires de secteur ont organisé dans leur mairie le prélèvement des tests. C’est une chose indispensable, essentielle », explique l’élu (LR) qui a lui-même été testé deux fois « par sécurité » et dont les résultats s’avèrent négatif.
Pour le maire Jean-Claude Gaudin, le professeur Didier Raoult qui est encore largement critiqué pour ses traitements avec la chloroquine, est « une personnalité importante, il est en pointe dans ce domaine-là, il a prouvé que ce médicament semble avoir des effets positifs », précise-t-il à France Info.
Pas de port de masque obligatoire à Marseille
M. Gaudin, qui suit les directives du gouvernement, ne rendra pas le port du masque obligatoire à Marseille, à part que ce ne soit le cas dans tout le pays. D’après lui, « le port du masque m’apparaît surtout nécessaire après le confinement ».
Les masques… un « vrai problème »
Jumelée avec la ville de Shanghaï, Marseille a reçu 21 000 masques en cadeau de la part de cette dernière. L’élu considère que l’approvisionnement en masques est un « vrai problème » car la ville a connu plusieurs déconvenues, un véritable « choc » : « Nous avions fait des commandes avec la Turquie et la Turquie nous les a bloquées », ensuite une seconde commande est arrivée à Roissy « et il est clair qu’on nous en a piqué une grande partie », confie-t-il à France Info.
« CORONAVIRUS : CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR »
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.